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analyse linéaire brume et pluies, High school final essays of French

analyse linéaire oral texte brumes et pluies de Charles Baudelaire recueil les fleurs du mal

Typology: High school final essays

2020/2021
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Uploaded on 05/04/2021

yasmine-guerraoui
yasmine-guerraoui 🇲🇦

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Download analyse linéaire brume et pluies and more High school final essays French in PDF only on Docsity! L’année 1858 est une année très importante pour la littérature française, en effet c’est celle de la publication du recueil de poèmes les fleurs du mal. Écrite par Charles Baudelaire, grand poète français du 19 siècle, ce recueil aura susciter de vives critiques de la société bourgeoise d’autrefois qui auraient qualifier le poète et son œuvre d immoral. Les conséquences en seront nombreuses : le poète connaîtras de nombreux procès et verra certaines de ces œuvres être condamnés. Le poème proposé, brumes et pluies, fait partie de la section tableau parisiens du recueil, section ou Dans ce Paris modernisé où déambule le poète, le spleen et la souffrance nourrissent l'expérience du Beau. Un parcours intime et souvent douloureux qui mene a une révélation esthétique unique. Lecture Mais comment baudelaire fait l’éloge paradoxale de l’hiver. Pour répondre à cette question, nous pouvons diviser ce poème en trois mouvement : Une éloge a la saison froide, un paysage lugubre et un gout paradoxal pour le froid et la mort Des le debut du poeme, baudelaire adopte le registre de l’éloge. Cet éloge qui est expimé a travers le o vocatif au vers 1, semble s’adresser au saison d’hivers et est amplifié par un rythme ternaire hivers, printemps trempés de boue. L’éloge continue au second vers en qualifiant ces saisons endromeurses, mais l’emploi du triple vocatif initial, qui est donc repris par l’apostrophe endormeuses saisons, nous donne l’illusion que le poete s adresse directement a ses saisons, ce qui rend le poeme assez vivant. Pourtant ce ne sont que des saisons ce qui peut semble assez excessif aux yeux du lecteurs. On retrouve un rythme binaire sur tout le premier quatrains qui semble renforcer l’amour qu’éprouve le poete pour ces saisons : le je vous aime au vers 2 adresses au saisons et juxtaposes au je vous loue, ce qui encore une fois renforce l’amour que semble porter le poete est surtout son remerciement puisqu’il les loue. De plus, dans le vers 3, le poete coordonne le mon cœur et mon cerveau, puis le linceuil vaporeux et le vague tombeaux au vers 4, ce qui nous donne cette image d’harmonisation parfaite entre chaque éléments. Ces saison comme il le dit au vers 3 l’enveloppe, ce qui pourrait être une métaphore, une image représentant la mere qui enveloppe son enfant, ces saisons sont donc très importante pour le poete, comme la présence d’une mere est importante pour son enfant. Alors que le premier quatrains semble être une eloge pour ces saisons, la second quatrain lui est la représentations d’un paysage lugubre et triste. Le poete nous informe tout d’abord du cadre spatio-temporel, avec le nom commun pleine, antéposé a l’adjectig grande au vers 5. Le poete, tout au long de ce quatrains juxtapose a des groupes nominaux des adjectifs : grande plaine, autan froid, longues nuits, tiede renouveau. Ce choix de rythme nous fait part de la perspective du poete quant a l’ambiance lugubre de cette scene. Les adjectifs grande et logues donne cette impression de grand espace et de fuite du temps, cela fait ressortir une certaine angoisse que peut eprouver le poete. Les assonances en ou au vers 5 et 6 rappelle le chant du hibou, ce qui est en quelque sorte en harmonie avec le cadre décrit, un cadre assez inhospitalier et froid comme lorsque le poete parle de l’autant froid qui renvoi au vent ou encore a l’enrouement de la girouette, dont le poete parle au vers 5 et 6. L’apposition mon ame au vers 7, nous informe que ce cadre qui est tout ce qui est de plus lugubre semble être en symbiose avec le poete. En effet, Charles baudelaire en associant des des « ailes de corbeau » à son âme demontre son état intérieur : le choix de cet animal au plumage noir et au chant dissonant. La comparaison
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