Download Dissertation sur La princesse de Clèves and more High school final essays French in PDF only on Docsity! La société est-elle une source de conflits moraux insurmontables ? En quoi le roman montre-t-il le poids de la société sur les choix moraux des individus ? I. Un monde d’intrigue A/ La cour : l’illusion du paraître B/ Une moralité de façade C/ Une société patriarcale II. Dilemme morale / passion A. Education janséniste B. Passion pour Nemours C. Fidélité à l’époux II. Le renoncement A/ Le traitement de la parole B/ Le choix du renoncement C/ l’ambiguïté de la PDC I. Une héroïne vertueuse un monde d’intrigue A/ La cour : l’illusion du paraître - voyeurisme. L’art de la dissimulation vanté par merteuil dans la lettre 81. Œil indiscret, scrutateur, inquisiteur, à l’affût de signes à déchiffrer pour piéger autrui . Continuel jeu de cache cache et d’espionnage « On vous observe », annonce sardoniquement la reine au vidame. - Voir sans être vu, idéal pervers de la vie de cour B/ Une moralité de facade - Henri II qui affiche sa maitresse au mépris de toutes convenance sociale - le vidame : Mme de Tournon, Mme de Merteui - Soumise aux exigences et divertissements du Roi et des Reines : orchestrent sa rencontre avec Nemours, ce qui provoquera le coup de foudre – Marie Stuart l’entraîne dans les jeux galants. – C/ Une société patriarcale - Ne choisit pas son mari : il lui est imposé par sa mère, par l’obligation pour une jeune fille de 16 ans de se marier rapidement. - On ne sait pas du tout ce qu’elle pense de toutes les intrigues autour de son mariage (héroïne muette au début du roman), et la réponse à sa mère que le prince lui cause moins de répugnance qu’un autre suffit à la marier. Mariée sans même savoir ce qu’est l’amour. Le prince interpête sa rougeur comme le signe de la passion. - Pratique des mariages arrangés dans les familles royales et de l’aristocratie, l’individu est soumis à la logique du clan : la fille du Roi doit épouser le roi d’Espagne, Monsieur d’Anville la petite-fille de Diane de Poitiers. Ce sont les parents qui décident qui leurs enfants vont épouser. – Soumise à son Oncle, le Vidame de Chartres, qui provoque, à deux reprises, des rencontres avec Nemours + afin de lui conserver la protection de la reine, réécrit la lettre avec le duc de Nemours : Mariage et choix de son époux soumis aux jeux de pouvoirs en place et aux relations entre la Reine et la favorite, Mme de Valentinois - Mme de Merteuil II. Dilemme morale / passion A. Education janséniste . Morale incarnée par Mme de Chartres. héroïne « programmée » par l’éducation qui lui a été donnée. - Suite à la mort de sa mère : supplie son mari de la « conduire » et de prendre le relai de sa mère dans son éducation et ses choix. - . Soumise à la morale chrétienne qui imprègne cette société : il n’y a pas de divorce, et une femme doit être fidèle à son mari, sous peine de perdre sa réputation et de manquer à ses devoirs. B. Passion pour Nemours . Etymologie du mot « passion » . Coup de foudre, scène du bal. - Etymologie du terme < patior : idée de soumission, passivité de l’être humain face à la puissance de l’amour – de la passion. Princesse paraît soumise à ses passions : jalousie lors de l’épisode de la lettre – tait le vol du portrait - épisode des palissades