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Analyse des Adverbes Connecteurs et leur Rôle dans l'Argumentation, Apuntes de Lingüística

SémantiqueLinguistique comparéePragmatiqueDiscours

Cet article examine une classe d'adverbes ou d'adverbiaux importants, qui posent des relations d'arguments entre deux actes subordonnés et un acte directeur. Ces adverbes influent sur l'interactivité du discours en posant une relation entre un posé (P) et une phrase actuelle (Q), et en définissant une valeur argumentative. Les auteurs distinguent les arguments P et Q de leur conclusion R et expliquent que les actes reliés ne possèdent pas nécessairement le même statut. Ils examinent des exemples et établissent une classification des adverbes connecteurs adjonctifs.

Qué aprenderás

  • Comment les adverbes connecteurs posent-ils des relations d'arguments entre deux actes subordonnés et un acte directeur?
  • Quels sont les adverbes connecteurs et comment influent-ils sur l'interactivité du discours?
  • Quels sont les différents types d'adverbes connecteurs et comment se distinguent-ils?
  • Comment les auteurs distinguent-ils les arguments P et Q de leur conclusion R?
  • Quel est le rôle de la valeur argumentative dans la relation entre un posé (P) et une phrase actuelle (Q)?

Tipo: Apuntes

2021/2022

Subido el 10/10/2022

tapasdenoche91
tapasdenoche91 🇪🇸

4.5

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¡Descarga Analyse des Adverbes Connecteurs et leur Rôle dans l'Argumentation y más Apuntes en PDF de Lingüística solo en Docsity! María Muñoz Romero. CONNECTEURS ADJONCTIFS. DESCRIPTION ET CLASSIFICATION. 1. L'objectif de cette communication est la description d'un sous-ensemble homogène d'adverbes et de locutions adverbiales qui ont pour fonction d'exprimer des relations entre énoncés, contribuant par là à la cohésion et à la cohérence discursives. Nous y considérons donc une classe d'adverbes ou -si l'on préfère- d'adverbiaux, petite mais importante, dont certains ont déjà été l'objet de quelques examens et discussion1, mais qui n'a pas -que nous sachions- été étudiée comme classe fonctionnelle à part entière. Ce sont les adverbiaux connecteurs adjonctifs. Ce groupe d'adverbes ferait partie de la classe plus large des adverbes connecteurs intéractifs2 qui comprend quatre groupes fondamentaux: adjonctifs (même, d ailleurs, aussi, qui plus est, etc.), consécutifs (donc, alors, aussi, etc.), oppositifs (au contraire, par contre, pour tant, quand même, etc.) et reformulatifs ( c' est-à-dire, bref, en somme, en fait, etc.). Les adverbes connecteurs en général, et les adjonctifs en particulier, présentent des propriétés syntaxiques et distributionnelles qui inclinent à les traiter comme des «adverbes de phrase»^, c'est-à-dire comme des adverbes à fonction supra- propositionnelle. En effet, à partir du moment où ils ne remplissent aucune fonction à l'intérieur de la phrase et où ils ne font pas partie de son contenu propositionnel, leur étude dépasse le cadre de celle-ci. Il s'agit, en effet, d'adverbes fonctionnant à un niveau discursif: ils relient des énoncés, des actes de langage. Ils constituent un moyen de cohésion textuelle parmi d'autres possibles, leur caractéristique principale étant le renvoi au cotexte. Ils sont, de ce fait, des anaphoriques au sens large, dans la mesure où leur interprétation présuppose l'existence d'un énoncé précédent. Leur présence dans le discours nous indique la nécessité d'identifier l'entité sémantique à laquelle nous renvoient, faute de quoi la relation entre énoncés se dissout et la présence de l'adverbe perd toute raison d'être. J. F. Corcuera, M. Djian y A. Gaspar, eds. La Lingüística francesa. Situación y perspectivas a finales del siglo XX, Zaragoza, 1994 En effet, l'une des caractéristiques essentielles des connecteurs intéractifs c'est l'importance des présuppositions qui leur sont liées. Pour définir ces unités, il faut s'appuyer largement sur la notion de présupposition. Elles font partie de leurs contenus. Elles leur sont attachées, non conversationnellement, mais conventionnellement. Ce sont des instructions, des consignes assignées aux connecteurs pour bien interpréter l'énoncé dans lequel ils apparaissent. Nous chercherons donc à repérer les indications -les instructions-, attachées aux unités en question, qui gèrent le rapport argumentatif entre énoncés, et qui permettent d'inscrire une phrase dans un contexte -devenant de ce fait un énoncé- et de la rattacher à d'autres énoncés qu'elle pourrait viser argumentativement dans ce contexte. 2. Les connecteurs adjonctifs expriment l'addition et ils engagent tous des mécanismes similaires, dans ce sens qu'ajouter une chose c'est nécessairement l'ajouter à une autre, l'existence de celle-ci étant ainsi présupposée. Du point de vue argumentatif4, ces adverbes posent une relation d'arguments entre les deux actes subordonnés qu'ils relient, et un acte directeur^, qui serait la conclusion. En effet, les valeurs argumentatives ont un rôle important dans l'intéractivité: si l'on ponctue un discours de d'ailleurs ou de même, c'est pour entraîner autrui à vous suivre dans vos conclusions6. La forme sémantico-pragmatique de l'énoncé introduit par ces connecteurs serait celle-ci: Posé: Q Présupposé: Il existe dans le contexte textuel précédent un posé (P) qui est pertinent pour l'interprétation, dans la mesure où le connecteur pose une relation entre ce posé et la phrase actuelle (Q). Valeur argumentative: Il existe une conclusion R en faveur de laquelle, P et Q sont des arguments. D'autre part, les arguments reliés par ces connecteurs pourront être de même statut ou de statut différent, le premier argument pouvant rester implite, ce qui évite à l'énonciateur de brûler d'un coup toutes ses cartouches argumentatives: (1 ) Mais qu'est-ce qu'on attend pour partir? (R) D'a illeurs, on va fermer d'un moment à l'autre (Q). Dans ce cas, P reste implicite, pouvant être remplacé, par exemple, par le présupposé «nous avons déjà fini notre travail.» Comme le dit J.-C. Anscombre (1973: 59), l'énoncé P ne serait que «l'instanciation au niveau de l'explicite d'un implicite invoque, de manière explicite ou implicite, un certain nombre d'arguments, dont l'un, qu'il met en relief à l'aide du connecteur, est présenté comme ayant une force argumentative supérieure par rapport à la conclusion visée, c'est-à-dire comme étant la meilleure preuve de ce qu'il avance. Pour exprimer cette relation, on dispose de plusieurs connecteurs qui se distinguent toutefois entre eux par leur différente portée. En effet, si l'on fait intervenir le critère du niveau d'incidence7, on distingue aisément, à l'intérieur de cette classe trois groupes: A) Nous avons, tout d'abord, des adverbes comme il y a plus, qui plus est ou bien plus, qui sont incidents au verbe d'énonciation sous-jacent à tout énoncé, c'est-à-dire qui portent directement sur l'énonciation, sur l'acte même de dire. Ils marquent que l'on renchérit sur ce qu'on vient de dire, que l'on n'a pas encore dit le plus important. On peut les paraphraser par quelque chose comme: «Voici qui compte davantage, qui est plus surprenant». (9) On m'outrage, et bien plus, on expose la vie de Fabrice (Stendhal). (10) C'est un joueur; il y a plus, c'est un fripon. (11) Les heures les plus insignifiantes n'ont ni plus ni moins de durée que les autres. Qui plus est, l'on saitaujourd'hui que la matière cérébrale reste,par elles, impressionnée comme par les autres (Gide). Si l'on emploie une formule du type de celles utilisées par D. Gordon et G. Lakoff (1976) (où DIRE = verbe d'énonciation; AFFIRMER/CROIRE/CONSIDÉRER/ PROMETTRE/VOULOIR/DEMANDER/... = verbe modal; L = locuteur; A = auditeur; E = énonciateur ou sujet modal; D = destinataire; X= contenu propositionnel ou dictai de El; Y = contenu propositionnel ou dictai de E2), on aurait pour (9), (10), et (11) la formule suivante: El: DIRE (L, A [AFFIRMER (E, X) ] ) E2: DIRE (L, A [une autre chose plus import.: AFFIRMER (E, Y)]) B) Puis, nous avons ceux qui sont incidents au verbe modal explicite ou implicite, c'est-à-dire ceux qui portent sur l'acte illocutoire réalisé. Ce deuxième groupe est constitué par un seul marqueur: même. Du point de vue argumentatif, il introduit, en vue d'une certaine conclusion, un argument plus fort que d'autres arguments déjà énoncés préalablement pour cette même conclusion, qui peut toutefois rester implicite, de même que les autres arguments. (12) Vous devriez le connaître (R), car il est aussi de la police (F), et même il doit être quelqu'un de haut placé (Q). La formule correspondante serait celle-ci: El: DIRE (L, A [AFFIRMER (E, X) ] N J. F. Corcuera, M. Djian y A. Gaspar, eds. La Lingüística francesa. Situación y perspectivas a finales del siglo XX, Zaragoza, 1994 E2: DIRE (L, A [CROIRE (E, une autre chose plus surprenante: Y)]) L'exemple (12) nous montre un cas de contexte canonique, où tous les éléments de l'argumentation (P, Q, R) sont explicités verbalement, mais il se peut, comme on l'a déjà signalé, que P ou R ne soient pas explicités lors de l'acte d'énonciation. Voyons un exemple: (13) Il est content de sa nouvelle maison (R). Elle a même une piscine (Q). Dans ce cas, c'est P qui reste implicite. Il est remplacé par le présupposé: «elle a d'autres choses positives»: par exemple, «elle est bien située», «elle est spacieuse», On dira donc, comme ces exemples le prouvent, que même situe l'argument qu'il introduit sur la même échelle argumentative que l'(les) autre(s) argument(s), mais en le présentant comme plus fort. Anscombre (1973) reconnaît l'existence de divers même ayant une incidence sémantique différente. Celui qui nous intéresse, et que cet auteur appelle «enchérissant» se distingue des autres même en ce qu'il comporte un aussi. Mais là encore, il faut distinguer deux cas**. Soient les exemples (14) et (15): (14) Sophie lit même de la poésie. (15) Pierre n est plus fâché avec moi. Il est même venu me dire au revoir. Le même du premier exemple comporte aussi l'idée de présupposition, mais il n 'est pas un connecteur. Il ne porte pas sur tout l'énoncé, mais sur un constituant précis de la phrase, en l'occurrence l'objet direct («de la poésie»). Les éléments sur lesquels renchérit et qu'il présuppose ne sont pas dans le texte, mais appartiennent au savoir partagé et font partie du même paradigme que l'élément sur lequel il porte (le paradigme des genres littéraires). Donc, de même que aussi, qui est susceptible d'un emploi similaire, il introduit une présupposition sur l'existence d'un paradigme. Ils ont été étudiés par Nolke dans son livre Les adverbesparadigmatisants:fonction et analyse. Dans cet emploi, même est particulièrement attaché à un segment de l'énoncé. Nous dirons qu'il «porte sur» cet élément. De ce fait, la place de l'adverbe n'est pas indifférente. Si elle ne suffit à elle seule à déterminer l'interprétation, exclut au moins certaines interprétations (comparons «Sophie lit même de la poésie» et «même Sophie lit de la poésie»). Dans son emploi de connecteur -exemple (15)-, même porte, par contre, sur toute la proposition. De toutes façons, le même paradigmatisant est très proche du connecteur et de même que lui, il est utilisé à des fins argumentatives. C) Finalement, l'adverbe renchérissant peut relier deux contenus propositionnels. Il porte alors sur le dictum de l'énoncé qu'il introduit, exprimant en même temps une modalité admirative devant le fait énoncé. Celui-ci apparaît comme quelque chose d'inattendu, quelque chose d'excessif, qui dépasse l'attente des interlocuteurs. C'est le cas de par-dessus le marché: (16)11 faisait un vent terrible, et par-dessus le marché, il se mit à pleuvoir. Pour (16) on aurait la formule suivante: El: DIRE (L, A [AFFIRMER (E, X) ] ) E2: DIRE (L, A [AFFIRMER (E, Y comme quelque chose qu'il n'avait pas prévu et dont il s'étonne) ] ) 2.2.2. Le deuxième groupe d'adverbes reliant deux arguments de niveaux argumentatifs différents, constitué par l'adverbe d'ailleurs et ses synonymes comme du reste, se distingue du premier en ce que, dans ce cas, l'argument introduit par le connecteur est présenté comme non indispensable à l'argumentation, comme supplémentaire. Il sert seulement à renforcer le premier, qui peut amener tout seul à la conclusion envisagée. D. Maingueneau (1987:133) décrit son fonctionnement de la manière suivante: «après avoir donné un argument P en faveur d'une conclusion R, le locuteur ajoute un argument Q qui va dans le même sens que P. Ce second argument offre la particularité d'être donné comme non nécessaire à l'argumentation. Il est donc évoqué, mais le locuteur prétend ne pas fonder sur lui son raisonnement» : (17) De ma tante Louise je n'attendais rien (R). Jamais elle ne m'avait aidée (P). D'ailleurs, elle était impassible; rien ne la touchait (Q). En effet, d'ailleurs situe l'argument qu'il introduit sur une échelle argumentative nouvelle et le présente comme non nécessaire. Il montre que l'on ajoute une nouvelle considération, toujours en rapport avec un autre énoncé, pour le renforcer ou le confirmer. En même temps, les arguments reliés par ce connecteur doivent être indépendants. En effet, l'efficacité de la stratégie impliquée par ce connecteur vient en particulier du fait que l'énonciation de P et celle de Q sont présentées comme complètes et autonomes. Comme le signale O. Ducrot (1980:207), «dans les structures «P d'ailleurs Q», la présentation de Q apparaît comme non prévue au moment de celle de P. Le locuteur fait comme si, au moment d'avancer P, il n'avait pas en tête l'argument Q, comme s'il pensait à Q après coup. Ce qui implique a fortiori que l'énonciation de Q soit un acte nouveau». Preuve de sa contingeance c'est que parfois nous trouvons la conclusion après le premier argument (P), sans attendre l'énonciation de Q, qui est ajouté après coup, apparaissant de ce fait comme superflu, placé en retrait du fil argumentatif: J. F. Corcuera, M. Djian y A. Gaspar, eds. La Lingüística francesa. Situación y perspectivas a finales del siglo XX, Zaragoza, 1994 NOTES 1 Sur «d'ailleurs» voir O. Ducrotet al. (1980: ch. 6) et J.-M. Luscher (1989). Sur «même» voir J.-C. Anscombre(1973). 2 Cf. E. Roulet et al. ( 1985) qui distinguent trois principaux types de connecteurs pragmatiques: les marqueurs de fonction illocutoire, les marqueurs de fonction intéractive et les marqueurs de structuration de la conversation. ^ Cette dénomination cache, cependant, des classes très diverses, tant du point de vue syntaxique que sémantique. En effet, parmi les adverbes à fonction supra-propositionnelle, on trouve au moins trois types d'adverbes -adverbes modaux, adverbes d'énonciation et adverbes connecteurs- qui se distinguent les uns des autres par des caractéristiques bien définies (Cf. Muñoz 1993). ^ Nous allons distinguer les arguments P et Q de leur conclusion R, et dirons que la relation d'argumentation A pose P et Q comme arguments pour R. Cette relation peut être aussi bien implicitée qu'explicitée. En effet, pour qu'un énoncé soit argument pour un autre, la présence du connecteur n'est pas nécessaire. Les connecteurs ne font parfois qu'expliciter une relation déjà existante. Ce sont des recours dont la langue se sert pour exprimer grammaticalement des relations discursives. ^ Si, en termes argumentatifs, il est légitime de différencier le statut des contenus P et Q, d'une part, et R, de l'autre -P et Q étant des arguments pour la conclusion R-, fonctionnellement, le statut des actes reliés n'est pas non plus identique. La relation entre eux est de nature hiérarchique. Nous parlerons à la suite d'auteurs comme Moeschler, Roulet ou Auchlin, d'acte directeur et d'acte(s) subordonné(s). L'acte subordonné de la séquence est l'acte à fonction intéractive, et l'acte directeur est l'acte à fonction illocutoire. Du point de vue argumentatif, l'acte à fonction intéractive vaut comme argument pour l'acte à fonction illocutoire, qui serait la conclusion. Donc, lorsque nous parlons de subordination, il faut entendre «subordination pragmatique». Dans le cas des adverbes connecteurs, l'acte ou les actes subordonnés constituent le plus souvent, du point de vue syntaxique, une proposition indépendante. 6 Cela n'empêche pas que quelques-unes des unités abordées ici soient susceptibles d'être utilisées dans des contextes non argumentatifs, lorsque, par exemple, on se contente d'inventorier un certain nombre de faits. ^ Avant d'arriver au message lui-même (dictum), il y aurait deux niveaux: un premier niveau énonciatif -le sujet parlant communique, énonce quelque chose- et un deuxième niveau modal -le sujet parlant exprime son attitude envers ce qui a été énoncé (Cf. Fuentes 1987b: 68). L'adverbe connecteur est susceptible de porter sur l'un de ces trois niveaux: énonciation, modus ou dictum. ^ Mis à part le «aussi» consécutif, il existe, en effet, deux «aussi» différents: l'un connecteur adjonctif, l'autre adverbe paradigmatisant (Cf. Nolke 1983). RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES ANSCOMBRE, J.-C. 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