Analyse linéaire 10 : Arthur Rimbaud, Romans, maturité tests effectués de Français

Télécharge Analyse linéaire 10 : Arthur Rimbaud, Romans et plus maturité tests effectués au format PDF de Français sur Docsity uniquement! Analyse linéaire 10 : Arthur Rimbaud, Romans Problématique :En quoi Rimbaud renouvelle-t-il le lyrisme amoureux ? Mouvement 1: Une situation initiale évoquant l’insouciance de l’adolescence Procédés Citations Interprétations Négation lexicale totale Litote « n’est pas » Insouciance totale (=réalité) pour atténuer la réalité Pronom indéfini + présent de vérité générale « on » Suggère une expérience universelle, le lecteur peut s’identifier, pas de « je »=création d’une distance avec le romantisme (nouveauté) PSC Temps « quand...17ans » Dimension autobiographique Les tirets + CC Temps « - un beau soir » Nouvelle étape dans le récit, installe le cadre temporel « foin de » Exprime le rejet, mépris, donc se réfugie dans la nature Synesthésie Strophe 2 Odorat : « sentent bon » « parfum » / vue : « vert » / toucher « air si doux » Sens en éveillent, ressenti positif vie à vie de la nature en opposition avec la ville Point de suspension « ... » Il laisse le lecteur imaginer la suite, forme d’attente, savoir ce que cette fugue va lui apporter Mouvement 2: L’expérience enivrante de l’adolescence « aperçoit » Sens de la vue dans la strophe métaphore « petit chiffon d’azur sombre » réducteur sans valeur « mauvaise étoile » Désigne le ciel le soir/ la nuit de manière réductrice Loin de la beauté de la nuit propice à l’amour +++ renouvelle le lyrisme Adj sensoriel « doux » Vision qui entraîne une rêverie, susciter des sensations positives 2 Phrases exclamatives avec période de l’année de la vie « ! » « 17ans » début de la vie « juin » début de l’été Mettre en avant son exaltation vie à vie de la nature Rapproche les 2, les placent sur le même plan Champ lexical de l’ivresse « griser » « monte à la tête » « champagne » « divaguer » Euphorie par insouciance mais aussi par la nature Verbes pronominaux « se laisser » « se sentir » Subit l’action, se laisse emporté par ses sens Mouvement 3: La rencontre amoureuse Verbe inspiré de Robinson « robinsonne » Envie de vivre libre, voyager, vagabonder dans la nature métonymie « le cœur fou » Désigne la jeunesse, se laisse faire par son cœur, folie, la nature lui fait perdre la maîtrise de lui subordonné « lorsque » Introduit le mouvement de rencontre Termes réducteurs « pâle réverbère » personnification « petit » « sous l’ombre » + verbe « passe » Action vite, rapide, sans contact ce n’est plus de la description mais de l’action Strophe 6 on elle Changement de point de vue hyperbole « immensément » Intérêt qu’elle lui porte est plutôt dédaigneux allitérations en « t » « tourne » Lui manifeste un intérêt moindre et rapide, visible par : Sensation de pas des bottines Mouvement 4: Le dénouement de cette expérience anaphore « vous êtes amoureux » Euphorie adolescente qui se laisse emporté, naïveté, se moque / s’amuse de cela Forme d’ellipse temporel (saut dans le temps) entre les mouvements 3&4 S’oppose qu’il a eu une relation Relation finie, courte, éphèmère Rimbaud se moque de l’amour « rire » « mauvais goût » Référence à la moquerie du regard condescendant de la jeune femme, l’un semble plus investie que l’autre « daigné » Comme si c’était un grand effort, corvée v.29 (strophe 8) Reprise du début mais avec beaucoup moins d’enthousiasme, laisse place à la tristesse « demander » Se tourne vers cela, changement par rapport au début, retour au point de départ= cycle, volonté de signifier qu’il s’est emballé car il est jeune, insouciant CCT « quand on » Souligne que la nature est plus importante, il n’est plus question d’amour, il a mûrît préfère la nature