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Analyse linéaire Arthur rimbaud, Lectures de Français

C des analyse linéaire de arthur Rimbaud

Typologie: Lectures

2023/2024

Téléchargé le 30/06/2024

yelena-scharre
yelena-scharre 🇫🇷

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Télécharge Analyse linéaire Arthur rimbaud et plus Lectures au format PDF de Français sur Docsity uniquement! Texte n° 1/12 Cahier de Douai, Le Dormeur du Val Arthur Rimbaud C’est un trou de verdure où chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D’argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l’herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. Genre Auteur Titre Époque Sujet Vocabulaire Figures de style Structure, plan Conclusion Texte n° 2/12 Cahier de Douai, Le Mal Arthur Rimbaud Tandis que les crachats rouges de la mitraille Sifflent tout le jour par l’infini du ciel bleu ; Qu’écarlates ou verts, près du Roi qui les raille, Croulent les bataillons en masse dans le feu ; Tandis qu’une folie épouvantable broie Et fait de cent milliers d’hommes un tas fumant ; – Pauvres morts ! dans l’été, dans l’herbe, dans ta joie, Nature ! ô toi qui fis ces hommes saintement !… – Il est un Dieu, qui rit aux nappes damassées Des autels, à l’encens, aux grands calices d’or ; Qui dans le bercement des hosannah s’endort, Et se réveille, quand des mères, ramassées Dans l’angoisse, et pleurant sous leur vieux bonnet noir, Lui donnent un gros sou lié dans leur mouchoir ! Genre Auteur Titre Époque Sujet Vocabulaire Figures de style Structure, plan Conclusion Texte n° 5/12 Préambule, Homme, es-tu capable d’être juste ? Déclaration des Droits de la Femme… Homme, es-tu capable d'être juste ? C'est une femme qui t'en fait la question ; tu ne lui ôteras pas moins ce droit. Dis- moi ? Qui t'a donné le souverain empire d'opprimer mon sexe ? Ta force ? Tes talents ? Observe le créateur dans sa sagesse ; parcours la nature dans sa grandeur, dont tu sembles vouloir te rapprocher, et donne-moi, si tu l'oses, l'exemple de cet empire tyrannique. Remonte aux animaux, consulte les éléments, étudie les végétaux, jette enfin un coup d’œil sur toutes les modifications de la matière organisée ; et rends-toi à l'évidence quand je t'en offre les moyens. Cherche, fouille et distingue, si tu le peux, les sexes dans l'administration de la nature. Partout, tu les trouveras confondus, partout ils coopèrent avec un ensemble harmonieux à ce chef d’œuvre immortel. L'homme seul s'est fagoté un principe de cette exception. Bizarre, aveugle, boursouflé de sciences et dégénéré, dans ce siècle de lumières et de sagacité, dans l'ignorance la plus crasse, il veut commander en despote sur un sexe qui a reçu toutes les facultés intellectuelles ; il prétend jouir de la Révolution, et réclamer ses droits à l'égalité, pour ne rien dire de plus. Genre Auteur Titre Époque Sujet Vocabulaire Figures de style Structure, plan Conclusion Texte n° 6/12 Introduction et articles Déclaration des Droits de la Femme… Les mères, les filles, les sœurs, représentantes de la nation, demandent d'être constituées en Assemblée nationale. Considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de la femme, sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernements, ont résolu d'exposer dans une déclaration solennelle, les droits naturels inaliénables et sacrés de la femme, afin que cette déclaration, constamment présente à tous les membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs, afin que les actes du pouvoir des femmes, et ceux du pouvoir des hommes, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés, afin que les réclamations des citoyennes, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution, des bonnes mœurs, et au bonheur de tous. En conséquence, le sexe supérieur, en beauté comme en courage, dans les souffrances maternelles, reconnaît et déclare, en présence et sous les auspices de l'Être suprême, les Droits suivants de la Femme et de la Citoyenne. Article premier. La Femme naît libre et demeure égale à l'homme en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune. Article 4. La liberté et la justice consistent à rendre tout ce qui appartient à autrui ; ainsi l'exercice des droits naturels de la femme n'a de bornes que la tyrannie perpétuelle que l'homme lui oppose ; ces bornes doivent être réformées par les lois de la nature et de la raison. Article 6. La loi doit être l'expression de la volonté générale ; toutes les Citoyennes et Citoyens doivent concourir personnellement ou par leurs représentants, à sa formation ; elle doit être la même pour tous : toutes les Citoyennes et tous les Citoyens, étant égaux à ses yeux, doivent être également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leurs capacités, et sans autres distinctions que celles de leurs vertus et de leurs talents. Article 7. Nulle femme n'est exceptée ; elle est accusée, arrêtée, et détenue dans les cas déterminés par la loi : les femmes obéissent comme les hommes à cette loi rigoureuse. Article 9. Toute femme étant déclarée coupable ; toute rigueur est exercée par la Loi. Article 10. Nul ne doit être inquiété pour ses opinions mêmes fondamentales, la femme a le droit de monter sur l'échafaud ; elle doit avoir également celui de monter à la Tribune ; pourvu que ses manifestations ne troublent pas l'ordre public établi par la loi. Genre Auteur Titre Époque Sujet Vocabulaire Figures de style Structure, plan Conclusion Texte n° 7/12 Sido, Retour de Paris Colette D’un geste, d’un regard elle reprenait tout. Quelle promptitude de main ! Elle coupait des bolducs roses, déchaînait des comestibles coloniaux, repliait avec soin les papiers noirs goudronnés qui sentaient le calfatage. Elle parlait, appelait la chatte, observait à la dérobée mon père amaigri, touchait et flairait mes longues tresses pour s’assurer que j’avais brossé mes cheveux… Une fois qu’elle dénouait un cordon d’or sifflant, elle s’aperçut qu’au géranium prisonnier contre la vitre d’une des fenêtres, sous le rideau de tulle, un rameau pendait, rompu, vivant encore. La ficelle d’or à peine déroulée s’enroula vingt fois autour du rameau rebouté, étayé d’une petite éclisse de carton… Je frissonnai, et crus frémir de jalousie, alors qu’il s’agissait seulement d’une résonance poétique, éveillée par la magie du secours efficace scellé d’or… Il ne lui manquait, pour être une provinciale type, que l’esprit de dénigrement. Le sens critique, en elle, se dressait vigoureux, versatile, chaud et gai comme un jeune lézard. Elle happait au vol le trait marquant, la tare, signalait d’un éclair des beautés obscures, et traversait, lumineuse, des cœurs étroits. – Je suis rouge, n’est-ce pas ? demandait-elle au sortir de quelque âme en forme de couloir. Elle était rouge en effet. Les pythonisses authentiques, ayant plongé au fond d’autrui, émergent à demi suffoquées. Une visite banale, parfois, la laissait cramoisie et sans force aux bras du grand fauteuil capitonné, en reps vert. – Ah ! ces Vivenet !… Que je suis fatiguée… Ces Vivenet, mon Dieu ! – Qu’est-ce que qu’ils t’ont fait, maman ? J’arrivais de l’école, et je marquais ma petite mâchoire, en croissants, dans un talon de pain frais, comblé de beurre et de gelée de framboises… – Ce qu’ils m’ont fait ? Ils sont venus. Que m’auraient-ils fait d’autre, et de pire ? Les deux jeunes époux en visite de noces, flanqués de la mère Vivenet… Ah ! ces Vivenet ! Elle ne m’en disait guère plus, mais plus tard, quand mon père rentrait, j’écoutais le reste. – Oui, contait ma mère, des mariés de quatre jours ! Quelle inconvenance ! des mariés de quatre jours, cela se cache, ne traîne pas dans les rues, ne s’étale pas dans des salons, ne s’affiche pas avec une mère de la jeune mariée ou du jeune marié… Tu ris ? Tu n’as aucun tact. J’en suis encore rouge, d’avoir vu cette jeune femme de quatre jours. Elle était gênée, elle, au moins. Un air d’avoir perdu son jupon, ou de s’être assise sur un banc frais peint. Mais lui, l’homme… Une horreur. Des pouces d’assassin, et une paire de tout petits yeux embusqués au fond de ses deux grands yeux. Il appartient à un genre d’hommes qui ont la mémoire des chiffres, qui mettent la main sur leur cœur quand ils mentent et qui ont soif l’après-midi, ce qui est un signe de mauvais estomac et de caractère acrimonieux. – Pan ! applaudissait mon père. Genre Auteur Titre Époque Sujet Vocabulaire Figures de style Structure, plan Conclusion Texte n° 10/12 L’Île des esclaves, Inversion des rôles Marivaux IPHICRATE, retenant sa colère. Mais je ne te comprends point, mon cher Arlequin. ARLEQUIN. Mon cher patron, vos compliments me charment ; vous avez coutume de m'en faire à coups de gourdin qui ne valent pas ceux-là ; et le gourdin est dans la chaloupe. IPHICRATE. Eh ne sais-tu pas que je t'aime ? ARLEQUIN. Oui ; mais les marques de votre amitié tombent toujours sur mes épaules, et cela est mal placé. Ainsi tenez, pour ce qui est de nos gens, que le ciel les bénisse ; s'ils sont morts, en voilà pour longtemps ; s'ils sont en vie, cela se passera, et je m'en goberge. IPHICRATE, un peu ému. Mais j'ai besoin d'eux, moi. ARLEQUIN, indifféremment. Oh cela se peut bien, chacun a ses affaires ; que je ne vous dérange pas ! IPHICRATE. Esclave insolent ! ARLEQUIN, riant. Ah ah, vous parlez la langue d'Athènes ; mauvais jargon que je n'entends plus. IPHICRATE. Méconnais-tu ton maître, et n'es-tu plus mon esclave ? ARLEQUIN, se reculant d'un air sérieux. Je l'ai été, je le confesse à ta honte ; mais va, je te le pardonne : les hommes ne valent rien. Dans le pays d'Athènes j'étais ton esclave, tu me traitais comme un pauvre animal, et tu disais que cela était juste, parce que tu étais le plus fort : eh bien, Iphicrate, tu vas trouver ici plus fort que toi ; on va te faire esclave à ton tour ; on te dira aussi que cela est juste, et nous verrons ce que tu penseras de cette justice-là ; tu m'en diras ton sentiment, je t'attends là. Quand tu auras souffert, tu seras plus raisonnable ; tu sauras mieux ce qu'il est de faire souffrir aux autres. Tout en irait mieux dans le monde, si ceux qui te ressemblent recevaient la même leçon que toi. Adieu, mon ami, je vais trouver mes camarades et tes maîtres. Il s'éloigne. IPHICRATE, au désespoir, courant après lui l'épée à la main. Juste ciel ! Peut- on être plus malheureux et plus outragé que je le suis ? Misérable, tu ne mérites pas de vivre. ARLEQUIN. Doucement ; tes forces sont bien diminuées, car je ne t'obéis plus, prends-y garde. Genre Auteur Titre Époque Sujet Vocabulaire Figures de style Structure, plan Conclusion Texte n° 11/12 L’Île des esclaves, Inversion des rôles Marivaux ARLEQUIN, se promenant sur le théâtre avec Cléanthis. Remarquez-vous, Madame, la clarté du jour ? CLÉANTHIS. Il fait le plus beau temps du monde ; on appelle cela un jour tendre. ARLEQUIN. Un jour tendre ? Je ressemble donc au jour, Madame. CLÉANTHIS. Comment, vous lui ressemblez ? ARLEQUIN. Eh palsambleu ! Le moyen de n'être pas tendre, quand on se trouve tête à tête avec vos grâces ? À ce mot il saute de joie. Oh, oh, oh, oh ! CLÉANTHIS. Qu'avez-vous donc, vous défigurez notre conversation ? ARLEQUIN. Oh ce n'est rien ; c'est que je m'applaudis. CLÉANTHIS. Rayez ces applaudissements, ils nous dérangent. Continuant. Je savais bien que mes grâces entreraient pour quelque chose ici. Monsieur, vous êtes galant, vous vous promenez avec moi, vous me dites des douceurs ; mais finissons, en voilà assez, je vous dispense des compliments. ARLEQUIN. Et moi, je vous remercie de vos dispenses. CLÉANTHIS. Vous m'allez dire que vous m'aimez, je le vois bien ; dites, Monsieur, dites ; heureusement on n'en croira rien. Vous êtes aimable, mais coquet, et vous ne persuaderez pas. ARLEQUIN, l'arrêtant par le bras, et se mettant à genoux. Faut-il m'agenouiller, Madame, pour vous convaincre de mes flammes, et de la sincérité de mes feux ? CLÉANTHIS. Mais ceci devient sérieux : laissez-moi, je ne veux point d'affaire ; levez- vous. Quelle vivacité ! Faut-il vous dire qu'on vous aime ? Ne peut-on en être quitte à moins ? Cela est étrange ! ARLEQUIN, riant à genoux. Ah, ah, ah, que cela va bien ! Nous sommes aussi bouffons que nos patrons ; mais nous sommes plus sages. CLÉANTHIS. Oh vous riez, vous gâtez tout. ARLEQUIN. Ah, ah, par ma foi, vous êtes bien aimable, et moi aussi. Savez-vous bien ce que je pense ? CLÉANTHIS. Quoi ? ARLEQUIN. Premièrement, vous ne m'aimez pas, sinon par coquetterie, comme le grand monde. CLÉANTHIS. Pas encore, mais il ne s'en fallait plus que d'un mot, quand vous m'avez interrompue. Et vous, m'aimez-vous ? ARLEQUIN. J'y allais aussi, quand il m'est venu une pensée. Comment trouvez-vous mon Arlequin ? CLÉANTHIS. Fort à mon gré. Mais que dites-vous de ma suivante ? ARLEQUIN. Qu'elle est friponne ! CLÉANTHIS. J'entrevois votre pensée. ARLEQUIN. Voilà ce que c'est, tombez amoureuse d'Arlequin, et moi de votre suivante ; nous sommes assez forts pour soutenir cela. CLÉANTHIS. Cette imagination-là me rit assez. Ils ne sauraient mieux faire que de nous aimer, dans le fond. Genre Auteur Titre Époque Sujet Vocabulaire Figures de style Structure, plan Conclusion Texte n° 12/12 L’Île des Esclaves, Dénouement heureux CLÉANTHIS, en entrant avec Euphrosine qui pleure. Laissez-moi, je n'ai que faire de vous entendre gémir. Et plus près d'Arlequin. Qu'est-ce que cela signifie, Seigneur Iphicrate ; pourquoi avez-vous repris votre habit ? ARLEQUIN, tendrement. C'est qu'il est trop petit pour mon cher ami, et que le sien est trop grand pour moi. Il embrasse les genoux de son maître. CLÉANTHIS. Expliquez-moi donc ce que je vois ; il semble que vous lui demandiez pardon ? ARLEQUIN. C'est pour me châtier de mes insolences. CLÉANTHIS. Mais enfin, notre projet ? ARLEQUIN. Mais enfin, je veux être un homme de bien ; n'est-ce pas là un beau projet ? Je me repens de mes sottises, lui des siennes ; repentez-vous des vôtres, Madame Euphrosine se repentira aussi ; et vive l'honneur après ! cela fera quatre beaux repentirs, qui nous feront pleurer tant que nous voudrons. EUPHROSINE. Ah, ma chère Cléanthis, quel exemple pour vous ! IPHICRATE. Dites plutôt quel exemple pour nous, Madame, vous m'en voyez pénétré. CLÉANTHIS. Ah vraiment, nous y voilà, avec vos beaux exemples ; voilà de nos gens qui nous méprisent dans le monde, qui font les fiers, qui nous maltraitent, qui nous regardent comme des vers de terre, et puis, qui sont trop heureux dans l'occasion de nous trouver cent fois plus honnêtes gens qu'eux. Fi, que cela est vilain, de n'avoir eu pour tout mérite que de l'or, de l'argent et des dignités : c'était bien la peine de faire tant les glorieux : où en seriez-vous aujourd'hui, si nous n'avions pas d'autre mérite que cela pour vous ? Voyons, ne seriez-vous pas bien attrapés ? Il s'agit de vous pardonner ; et pour avoir cette bonté-là, que faut-il être, s'il vous plaît ? Riche ? Non ; noble ? Non ; grand seigneur ? Point du tout. Vous étiez tout cela ; en valiez-vous mieux ? Et que faut-il être donc ? Ah ! Nous y voici. Il faut avoir le cœur bon, de la vertu et de la raison ; voilà ce qu'il faut, voilà ce qui est estimable, ce qui distingue, ce qui fait qu'un homme est plus qu'un autre. Entendez-vous, Messieurs les honnêtes gens du monde ? Voilà avec quoi l'on donne les beaux exemples que vous demandez, et qui vous passent : Et à qui les demandez-vous ? À de pauvres gens que vous avez toujours offensés, maltraités, accablés, tout riches que vous êtes, et qui ont aujourd'hui pitié de vous, tout pauvres qu'ils sont. Estimez-vous à cette heure, faites les superbes, vous aurez bonne grâce ! Allez, vous devriez rougir de honte. ARLEQUIN. Allons, ma mie, soyons bonnes gens sans le reprocher, faisons du bien sans dire d'injures ; ils sont contrits d'avoir été méchants, cela fait qu'ils nous valent bien ; car quand on se repent, on est bon ; et quand on est bon, on est aussi avancé que nous. Approchez, Madame Euphrosine, elle vous pardonne, voici qu'elle pleure, la rancune s'en va, et votre affaire est faite. CLÉANTHIS. Il est vrai que je pleure, ce n'est pas le bon cœur qui me manque. EUPHROSINE, tristement. Ma chère Cléanthis, j'ai abusé de l'autorité que j'avais sur toi, je l'avoue. Genre Auteur Titre Époque Sujet Vocabulaire Figures de style Structure, plan Conclusion
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