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analyse linéaire Spleen, Baudelaire, Résumés de Français

Voici une analyse linéaire du poème Spleen de Baudelaire

Typologie: Résumés

2021/2022
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Téléchargé le 01/07/2022

maclyly
maclyly 🇫🇷

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Télécharge analyse linéaire Spleen, Baudelaire et plus Résumés au format PDF de Français sur Docsity uniquement! Lecture Analytique « Spleen, J’ai plus de souvenirs... » Le poème que je vais vous présenter se nomme « Spleen », extrait du recueil Les Fleurs du Mal écrit par Charles Baudelaire et publié en 1857. Charles Baudelaire est un poète du XIXème siècle dont la modernité poétique relève du Symbolisme. On peut le considérer comme « un poète maudit », expression qui en général un poète qui, incompris dès sa jeunesse, rejette les valeurs de la société, se conduit de manière provocante. Ce poème fait partie de la section « Spleen et Idéal » qui figure la lute de ces deux tendances opposées dans l’âme du poète. 4 Poèmes portent le même titre et représentent chacun à sa manière ce sentiment de désespoir profond et d’ennui métaphysique infini. PB: Comment Baudelaire transmet-il son mal de vivre au lecteur ? Mouvements: 1. Une succession d’allégories 2. Un mal aux proportions de l’éternité 3. Une immobilité refermée sur elle-même 1. Une succession d’allégories · 2-5 : « gros meuble à tiroirs » aspect labyrinthique du cerveau. Énumération d’écrits administratifs et sentimentaux. Polysémie de « procès » = processus + Objets sentimentaux « cheveux » métonymie de relation amoureuse mais en compagnie mal assortie car « roulés dans des quittances » ironisation de l’amour par prosaïsme et polysémie de la « quittance » · 6-7 : Représentation du « triste cerveau » par la formule attributive « C’est » suivi d’une énumération d’images funèbres. · 8 : Reprise de formule attributive « Je suis » Personnification cosmique de la lune, relation duelle avec le monde. · 9-10 : Ambivalence mortifère des « vers » (poésie et pourriture, d’où contraste et parallélisme à la fois avec la rime « chers ») · 11 : Retour à une allégorie domestique. Sentiment d’abandon avec « fanées » qui rime avec « surannées » · 14 : Absence de vie et de présence, nez qui répondrait au « flacon débouché » 2. Un mal aux proportions de l’éternité · 15 : Glissement métonymique : ce n’est plus le poète qui est allégorisé mais ses « boiteuses journées », identifiées à des « neigeuses années » image des saisons et de la poussière.
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