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cahier d'un retour au pays natal, Lectures de Français

Analyse du livre cahier d'un retour au pays natal avec des textes du bac de français.

Typologie: Lectures

2023/2024

Téléchargé le 28/06/2024

irene-soler-3
irene-soler-3 🇫🇷

Aperçu partiel du texte

Télécharge cahier d'un retour au pays natal et plus Lectures au format PDF de Français sur Docsity uniquement! Cahier d’un retour au pays natal : https://www.itineraireshumanistes.org/?p=877 Jugeant négativement son peuple servile,  qui, selon lui, a perdu toute dignité, tout sentiment de grandeur ANALYSE PAGE 42 quel vibrant appel Césaire  lance-t-il  dans ce texte ? En quoi  défendre la cause de son peuple permet-il au poète de promouvoir des ambitions humanistes ? En quoi chant poétique et action politique convergent-ils vers un projet humaniste ? Césaire réaffirme son lien avec sa terre natale. Elle est présente par cette ville (V.3) mais celle-ci est une métonymie et le poète insiste surtout sur  la relation affective qui le  soude à son peuple : l’amant de cet unique peuple. D’ailleurs il rejette l’image du « mari » au profit de celle de « l’amant » Peuple et terre se confondent L’évocation de sa terre natale reste imprécise, sans couleur locale : tout comme le poète vietnamien précédemment cité, Césaire veut célébrer une communion avec la nature, il veut restituer l’unité existant entre lui et le monde. Césaire communie avec la nature et avec le genre humain. Le colonialisme est là, en filigrane : par le mot ressentiment (V.14) : son île a des comptes à régler. Mais refuse de faire justice soi-même « ne faites point de moi cet homme de haine pour qui je n’ai que haine (V.22) Son amour pour le genre humain va au-delà : vous savez que ce n’est point par haine des autres races / que je m’exige bêcheur de cette unique race (V.26) Défendre la cause d’un peuple opprimé solidarise avec tous les autres peuples opprimés, mais pas seulement : Il œuvre pour la faim universelle / pour la soif universelle. Comme dans le passage « Qui peut se vanter d’avoir mieux que moi ? Virginie. Tennessee. Géorgie. Alabama/ Putréfactions monstrueuses de révoltes inopérantes » = autres peuples opprimés. =humanisme La finalité de ce combat est la liberté : libre enfin (V.30) L’adverbe « enfin » affirme que c’est l’objectif à atteindre, objectif de longue date. Libérer son peuple ; libérer tous les peuples opprimés ; libérer le genre humain. C’est un vibrant appel à la fraternité : Césaire se conçoit comme le frère (V.9). La mission du poète 1. Un poème de lutte Dans son texte, Césaire affirme sa volonté explicitement : ce que je veux (V.27), c’est sommer (V.30) sa race de produire. Il est paradoxal de vouloir la libérer (libre enfin) par un amour tyrannique (V.24) : Césaire est prêt à tout pour cet affranchissement, y compris aller contre la volonté même de son peuple, si celui-ci est résigné. Mais il s’impose la même exigence : je ne me dérobe point (V.7) ; je m’exige bêcheur (V.26). Il est prêt à assumer son rôle de guide, de tête de proue (V.7) Une lutte violente ? : la prière paradoxalement virile souligne que pour Césaire l’engagement est action. Il se dépeint avec une foi sauvage (V.4) ; ses mots trahissent son esprit combattif : Donnez à mon âme la trempe de l’épée. L’alliance des termes abstrait (âme) et concret (épée) renforce l’engagement. Le poète ressemble à un héros épique, prêt à se lancer dans une geste glorieuse : faites de moi l’exécuteur de ces œuvres hautes / voici le temps de se ceindre les reins comme un vaillant homme. La lutte de Césair passe avant tout par les mots. : « prière ». Poésie s’assimile à une incantation. « au bout de ce petit matin » : refrain (leitmotiv: 29 fois= donne rythme. Dans cet extrait, le rythme est impulsé par les nombreuses anaphores : donnez-moi ; faites de moi. Elles rappellent une litanie = prière addréssée au saint. Césaire psalmodie. Il choisit aussi les mots pour leur sonorité : recueillement/ensemencement (V.17/18) La poésie est musicalité. Chez Césaire, elle rejoint le rythme de l’oralité de la culture noire. Par ailleurs l’usage du vers libre est signe d’affranchissement par rapport aux règles classiques de la culture dominante = colons. L’écriture poétique est déjà un geste de libération, qui s’accorde à la revendication politique. Césaire renverse le langage des colons pour le rapprocher du souffle du rythme africain, donc de ses racines. « Exprimer l’âme noire avec le style nègre en français » comme l’ écrivait Senghor. III. Le poète trace l’avenir Poète visionnaire – Césaire s’attribue la mission de prophète : sur cette ville que je prophétise, belle (V.2). Il œuvre pour l’avenir de son peuple (et du genre humain affranchi) : Au bout de ce petit matin (V.1) est une métaphore de l’éveil. C’est l’aurore de la libération. Du prophète, il adopte la sagesse : Faites moi rebelle à toute vanité, mais docile à son génie (V. 11) La première partie du vers signale son exigence morale alors que l’antithèse rebelle/docile accentue la bienveillance ; d’ailleurs, le paradoxe docile (…) comme le poing (V.11/12) marque une sorte de pacifisme. Prophète ou poète ? Le verbe « prophétiser » (V.3) semble faire du poète un élu. Certaines formulations vont même jusqu’à donner l’idée d’un poète se voulant créateur: donnez à mes mains puissance de modeler. (image biblique, mais ref religieuses se mêlent à des ref païennes, de son île). Pourtant, Césaire réaffirme sans cesse son humanité : cf. l’anaphore lancinante : faites de moi un homme. Certes, quand il se projette en père, fils, frère, amant unique de cette race, il prend une dimension absolue surhumaine. Mais il ne se projette que dans des rôles très concrets (le père géniteur), par des images elles aussi très concrètes (comme celle de l’agriculture). Il n’y a aucune volonté de sortir de l’enveloppe charnelle : l’homme est amant ; la terre est un gigantesque sexe féminin (intimité close) L’homme revendique la sensualité de la condition humaine. Conclusion –          Poème qui chante l’appartenance à un peuple, à une terre ; qui loue le rapport consubstantiel de l’homme à son milieu , à ses racines. –          Poème de lutte qui invite à se libérer de toute oppression mais qui prône aussi un esprit de tolérance et d’ouverture à l’Autre. –          Poème qui rêve d’accorder à l’homme l’omnipotence divine mais seulement pour faire respecter la dignité de la condition humaine. (ref bibliques) –          Poème qui recourt aux mots de l’oppresseur (langue du français) mais qui leur impulse le rythme d’un chant noir, pour mieux le subvertir. –          Pour Césaire, écrire et agir politiquement vont de paire : « ma poésie et née de mon action » ; « écrire, c’est dans les silences de l’action ». Lien textes qui lient Nature et Homme→ poésies politiques→ Prblématique : Comment ce prologue à la forme à la fois traditionnelle et moderne fait basculer l’intrigue d’une mort annoncée vers celle d’une tragédie de la parole ? Le texte se compose de 4 mvts. Le premier qui s’étend de la première ligne à la neuvième constitue une entrée en matière qui annonce une mort programmée, le deuxième mouvement de la ligne 10 à 20 exprime les dangers du retour de Louis. Une véritable exposition de la pièce débute ensuite, de la ligne 21 à 33 avant que Louis dresse une auto-analyse confuse de ses intentions dans le dernier mvt de la ligne 34 à la fin. L’entrée en matière qui constitue le 1er mouvement se fait par l’annonce brutale de la mort prochaine du personnage et laisse le spectateur face à une information énigmatique sans autres explications. La construction des premières lignes ajoute à sa confusion. Celle-ci est d’abord sucitée par la temporalité, les deux compléments circonstanciels de temps : « plus tard, l’année d’après » demeurent confus car il ne peuvent pas être rattachés à une chronologie précise qui permettrait de les situer. Après ces repères futurs, l’usage de l’imparfait -qui exprime un fait passé- est inattendu avec le verbe aller : « j’allais mourir ». Le protagoniste parle donc de sa mort comme d’une chose à la fois à venir et accomplie. Il apparaît ainsi comme un personnage à la fois mort et encore vivant. La confusion est aussi suscitée par l’annonce de la mort. S’inscrivant dans la tradition de la tragédie où le spectateur sait souvent que les personnages sont voués à mourir, cette annonce de la mort est placée dans une incise ce qui la relègue au statut d’information secondaire : « -j’allais mourir à mon tour- ». Le protagoniste donne ensuite son âge : « j’ai près de 34 ans maintenant et c’est à cet âge que/ je mourrai » ; on retrouve la fonction traditionnelle du prologue qui consiste en l’exposition, fait de livrer des informations. Mais elle apporte aussi une ambiguïté : la phrase commence au présent d’énonciation qui entre en contraste avec l’emploi du futur qui donne cette dois la mort comme non advenue mais imminente. Ce début de la pièce mêle donc tradition et modernité. Louis évoque son état d’ésprit. Les lignes qui suivent sont basées sur le thème de l’attente. Une série de compléments du verbe « attendre » sont introduits comme « à ne rien faire » qui signale l’inertie, « a ne plus savoir » qui signale l’ignorance et « d’en avoir fini » qui est lié à l’impatience. L’état moral de Louis est donc dépressif. Après cette entrée en matière qui annonce une mort déjà programmée, les dangers du retour de Louis sont exprimés dans le second mouvement. Ce danger est exprimé dès la ligne 10 avec le champ lexical de la guerre : « danger » « ennemi » « détruirait ». Une métaphore filée fait du retour de Louis l’équivalent des gestes que feraient un soldat se déplaçant devant une ligne ennemi : « L’ennemi est ici la mort présentée comme menaçante avec la périphrase « un danger extrême » et qui devient par gradation « l’ennemi qui vous détruirait aussitôt ». Cela va de paire avec le sentiment de la peur qu’on remarque à la ligne 17, une peur liée au fait de se déplacer face à la mort imminente. On remarque aussi l’absence d’éspoir à la ligne 18 : « sans espoir jamais de survivre » Pourtant, le protagoniste annonce son désir de réagir, il répète le connecteur d’opposition « malgré tout ». Il refuse donc que son combat contre la mort qui est perdu d’avance l’empêche de lutter. Par ailleurs, la difficulté à parler s’exprime par le retour du leitmotiv : « l’année d’après » et la répétition de « malgré tout ». La parole semble s’enrrayer face à l’idée de braver quelque temps la mort pour aller l’annoncer à sa famille. Ce second mouvement exprime donc les dangers du retour de Louis et de sa prise de parole. L’intrigue bascule véritablement vers une tragédie de la parole dans le mouvement suivant qui marque une rupture avec l’usage du passé simple « je décidai » et l’arrêt de la reprise du leitmotiv « l’année d’après ». La thématique du retour de Louis est mise en avant avec l’énumération :« retourner. !..revenir. ?!..aller » qui s’achève sur l’expression polysémique « faire le voyage ». Elle informe le spéctateur d’un départ passé mais aussi d’un retour dangereux. Le projet de Louis est donc de révéler sa mort à sa famille. C’est pourquoi l’expression « pour annoncer » est répétée en épanalepse. Le complément d’objet direct sera donnée seulement à la ligne 31 « ma mort prochaine et irrémédiable » ce retardement traduit encore une parole difficile. Le verbe « dire » est mis en valeur par son isolement, c’est le seul mot qui bénéficie de ce traitement. On comprend donc que la parole sera bien au coeur de l’action. Pour annoncer cette nouvelle, Louis se confie une mition : « être l’unique messager », il s’arroge la fonction du coeur antique de la tragédie grecque qui signale aux spectateurs et aux autres personnages le drame à venir. La révélation se clôt sur une expression tout à fait théâtrale : « et paraître ». Ce terme confère à la future révélation de Louis un caractère illusoire. Il veut jouer un personnage. En annonçant ainsi qu’il ne sera pas sincère, Louis amorce déjà la crise familiale qui va s’ensuivre. Suite à ce début d’une véritable exposition de la pièce, celle d’1 tragédie de la parole, Louis livre une auto- analyse confuse de ces intentions. Il essaye d’analyser le but réel de sa démarche, ce qui est sous-entendu par le retour dans le passé : « du plus loin que j’ose me souvenir », L veut trouver dans son enfance des explications à son état d’ésprit. Conduit par l’idée de volontée comme tous les héros tragiques, Louis veut contrecarrer le destin. Il exprime cette idée de volonté au passé : « j’ai tjr voulu, voulu et décidé » et au présent « pouvoir là encore décider ». Il est également animé par l’idée de sacrifice exemplaire l’épanalepse « me donner et donner aux autres » souligne le fait qu’il veut se présenter en « modèle universel ». Les pronoms « me », « à eux » « toi » « vous » « ceux-là » évoquent une intention catarthique propre à sa démarche : il est celui qui va se présenter en exemple qui souffrira pour le salut des autres. Les pronoms peuvent faire référence aux membres de la famille, ou alors des personnes du public, il y a donc là une reprise du procédé de la parabase antique (coryphée qui s’adresse aux spectateurs). Mais il pressent que ce rôle est artificiel. Le verbe « paraître » est présent à nouveau et est prolongé par le terme « l’illusion ». Ce futur combat ne semble ainsi n’être qu’un leurre « égoïste », « me donner » précède en effet « donner aux autres ». Le champ lex du libre arbitre : « responsable », « maître » est contredit par des signes de l’échec à venir comme la parenthèse « trop tard et tant pis » qui montrent un renoncement déjà annoncé. Et le repère spatial « jusqu’à cette extrémité » et temporel « une dernière fois » montrent qu’il va vers l’inconnu. Pour conclure, ce prologue se situe dans l’entre-deux de la modernité et de la tradition. En effet, il reprend la forme d’1 prologue de tragédie avec l’adresse au public, les thèmes de la fatalité et de la mort, le personnage du messager. Mais ce prologue s’inscrit cependant dans la modernité par son brouillage temporel, par la construction d’1 phrase à ralonge qui multiplie les corrections tout en avançant et annonce un drame centré non sur l’action mais bien sur les enjeux de la parole. Prblématique : Comment ce prologue à la forme ……….……….…….…………….……………..……….……….. …….……………………………..…………………….………….………...tragédie de la parole ? Le texte se compose de 4 mvts. Le premier qui s’étend de la première ligne à la neuvième constitue une entrée en matière qui annonce une mort programmée, le deuxième mouvement de la ligne 10 à 20 exprime les dangers du retour de Louis. Une véritable exposition de la pièce débute ensuite, de la ligne 21 à 33 avant que Louis dresse une auto-analyse confuse de ses intentions dans le dernier mvt de la ligne 34 à la fin. L’entrée en matière qui constitue le 1er mouvement se fait par l’annonce brutale de la mort prochaine du personnage….……………………………..…………………….………….………..…..…..…………... La construction des premières lignes ajoute à sa …………….. Celle-ci est d’abord sucitée par la ……………., les deux …………….………………... : « plus tard, l’année d’après » demeurent confus car il ne peuvent pas être rattachés à une chronologie …………… qui permettrait de les situer. Après ces repères futurs, l’usage de l’imparfait -qui exprime un fait passé- est inattendu avec le verbe aller : « j’allais mourir ». ……………. …………….…………….…………….…………….…………….. Il apparaît ainsi comme un personnage à la fois mort et encore vivant. …………….…………….……………….. 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