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Commentaire composé - Sonnet à madame M.N - Alfred de Musset, Dissertation de Français

Commentaire composé de l'oeuvre

Typologie: Dissertation

2021/2022
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Téléchargé le 28/02/2022

maelie-agius
maelie-agius 🇫🇷

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Télécharge Commentaire composé - Sonnet à madame M.N - Alfred de Musset et plus Dissertation au format PDF de Français sur Docsity uniquement! Modèle de copie Word Un souvenir, un souvenir peut nous permettre de nous rappeler le passé avec nostalgie, tristesse, joie, regret, passion… Dans le poème paru en 1843, s’intitulant « Sonnet à madame M. N. » tiré de Poésies nouvelles d’Alfred de Musset, où il nous fait part de son passé avec de la nostalgie et mêlé a un peu de regret au sujet de cette femme qu’il avait l’air de beaucoup apprécier. Alfred de Musset est poète, dramaturge ainsi qu’écrivain français, c’est un poète qui a beaucoup apprécié la période du romantisme de 1820 à 1848, car il aime ce style. Donc cet œuvre appartient à la période et au mouvement du romantisme. De cela nous sommes amenés à nous demander comment Alfred de Musset arrive-t-il à nous transmettre ses souvenirs en nous faisant parfois ressentir de la nostalgie ainsi que du regret ? Dans un premier temps nous parlerons du souvenir dont Musset évoque au cours de son poème, puis dans un second temps nous parlerons du regret ou de la peur ? Que l’auteur a parfois voulu nous faire ressentir. Ce souvenir est unique pour Alfred de Musset, ainsi nous allons faire un retour au passé. Dans ce poème, nous remarquons qu’il est principalement composé d’imparfait « aimiez », « revenaient », « parlions » … ce temps, a permis à l’auteur de nous décrire ses pensées et ses intentions. « Ainsi nous revenaient les jours de notre enfance, » l.5, à l’issu de ce vers, nous pouvons dire qu’elle est composée d’une personnification, avec peut-être comme objectif de la part de l’auteur d’insister sur la volonté de se souvenir de son passé, son enfance. Le vers suivant « Et nous parlions déjà le langage des vieux » l.6, l’adverbe déjà montre qu’ils avaient au paravent un langage peu actuels, sachant que la langue ne cesse d’évoluer, nous pouvons suggérer qu’ils n’y avaient presque eux Marie Menessier-Nodier, la femme dont parle l’auteur et Alfred de Musset qui ne se comprenait, et qu’à ce jour qu’ils n’y aient plus qu’eux qui se comprenne. Il est mis en évidence la volonté de se commémorer le passé, qui aboutit à une certaine nostalgie. La nostalgie est assez forte pour ce poème, « Fraiche comme une rose et le cœur dans une rose » l.2, à l’issu de ce vers nous trouvons une métaphore, où l’auteur évoque et compare son ami à une rose, pour rester dans la période du romantisme et peut-être pour lui exprimer son attachement à son ami, Marie. De plus l’utilisation de « comme » et « dans » qui sont des conjonctions de subordination ont pour but d’exprimer certains sentiments. La nostalgie se fait remarquer grâce au vers de la l.7 « Ce jeune souvenir riait entre nous deux, » le verbe « rire » montre la très bonne entente entre ces deux personnes au sujet de ce « jeune souvenir ». De plus nous trouvons un oxymore, car tous ses souvenirs sont décris comme lointain cependant l’utilisation de l’adjectif qualificatif « jeune » fait paraitre comme peu lointain, nous pouvons comprendre de manière implicite que ce souvenir a beaucoup marqué ces deux personnes, ainsi qu’il paraissait peu loin dans leur pensée, cela crée un effet de nostalgie. Donc nous déduisons à partir de ses deux parties qu’Alfred de Musser parle de son passé avec beaucoup de nostalgie afin de nous montrer à quel point il est attaché à Marie son ami d’enfance. A la suite de ce poème, nous remarquons du tout de même un certain regret de la part d’Alfred de Musset. A l’issu de la ligne 12 « C’est ta main consolante, et si sage, et si douce, », nous trouvons une hyperbate, car elle est formée tel que « et »…  « et »… 1
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