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dissertation olympe de gouge déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, Dissertation de Français

Tout ce qu'il faut pour réussir une disserte sur la DDFC

Typologie: Dissertation

2021/2022

Téléchargé le 22/06/2022

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Télécharge dissertation olympe de gouge déclaration des droits de la femme et de la citoyenne et plus Dissertation au format PDF de Français sur Docsity uniquement! Olympe de goujes : une des fondatrice du féminisme et des mouvements égalité h/f contre l’esclavage inspirée des lumières (mouvement culturel, intellectuel et littéraire né au 17e s. S’engage contre les oppression politique et religieuse, œuvre pour le progrès du monde.) DDFC : sept 1791 calqué sur le modèle de la DDHC du 26 aout 1789. C’est une réécriture Adressé à la reine Marie-Antoinette d’Autriche alors reine de France. 1er doc à évoquer l’égalité juridique et légal des femmes par rapport aux hommes. Énuméré les droits ne s’adressant qu’aux hommes. A cette époque les femmes n’avaient pas le droit de vote, l’accès aux institution publique, les liberté professionnelles et le droit de propriété. Ironie à l’encontre des préjugé masculins « la femme naît libre et demeure égale à l’homme en droits » contexte historique : révolution française, siècle des lumières registre : juridique et épidictique et parfois ironique à été rédigé pour être présenté à l’assemblée législative du 28 octobre 1791 et pour y être adoptée. Structure : 17 articles, un préambule adressé à la reine, un postambule et un contrat social de l’homme et de la femme (contrat de mariage) txt juridique (pas vrm un registre littéraire) Préambule : C’est une intro. Il y en à un dans la DDHC Demande à ses « sœur » (elle est égale à toute les femme qui subissent une infériorité par rapport aux hommes) de passer outre leu condition et de former une « Assemblé national». Les femmes doivent avoir les même droits que les hommes. Postambule : C’est une conclu Il n’y en a pas dans la DDHC S’adresse direct aux f «   femmes réveille-toi   ». Les invitent à se «   réveille[r]   » pour «   reconna[ître] [leurs] droits   ». Supplie les femmes « Ô ». Elles n’ont rien à perdre « qu’auriez-vous à redouter pour une si belle entreprise ? » Critique l’absence d’accès des femmes à l’éducation, à la reconnaissance du mérite et à la justice, surtout quand l’on est pauvre. Contre la dépendance de la femme à son mari une fois le capitale de beauté et de jeunesse des femmes disparue elles perdent leur influence dans la société Préambule et postambule : Pousse hommes et femmes à changer et agir registre judiciaire(accusent) et épidictique (blâme certaines personnes (hommes)) Registres et idées générales : le ton est factuel, impersonnel et solennel car c’est une déclaration officielle sous forme de txt de loi ce qui donne une plus grande force au combat. Affirme le droit des femme à la sécurité, liberté(« celui de monter à la tribune » dans l’article 10), à la résistance et la protection. Ils sont résumé dans l’article 2 et doivent être aux femmes pareil que pour les hommes. Les thème abordés sont : la liberté, contre l’asservissement – la combat et la révolte, contre l’inaction – l’égalité de la justice qui s’opposent à l’inégalité et aux injustices que subissent les femmes malgré les avancées des révolutionnaires. L’égalité des sexes au cœur de la déclaration : Olympe remplace souvent « l’homme » par « la femme et l’homme » : concordance des deux sexes Ol convaincue que les femmes peuvent faire les même choses que les hommes. Donc les articles 3 à 10 mettent en avant l’égalité de traitement devant la loi (quel que soit le sexe)en cas de manquement. En tutoyant h et f quel que soit la condition social, Ol reprend l’idée révolutionnaire d’égalité des citoyens : n’utilise pas « vous », marque de respect à une personne de rang supérieur. La justice : un élément central : Ol ne veut pas de droits spécifique, supplémentaire pour les femmes (art 3 : « Nulle femme n’est exceptée   ; elle est accusée, arrêtée et détenue dans les cas déterminé par la loi  ») Les femmes doivent avoir des droits et des devoirs (comme les hommes). Les devoirs doivent entraîner les droits et inversement. La participation de la femme dans le fonctionnement de la société : Ol veut que les femmes participe à la vie politique en tant que citoyennes et non spectatrice. Elle doivent prendre par à l’élaboration des lois pour les citoyens (art14 : parle de « contribution publique »). « La loi doit être l’expression de la volonté générale   ; toutes les citoyennes et citoyens doivent concourir personnellement, ou par leur représentant à sa formation   » (art 6) : pour être soumise à la loi il faut l’avoir acceptée. CCL : Ol émet des propositions avant-gardiste: revendique le droit des femme 2 s avant leur reconnaissance par la loi Encourage les femmes à dépasser les stéréotypes qui les enferment à la maison et les entravent. Ol s’engage par les mots dans un combat contre l’inégalité. Elle lie écriture et combat pour donner plus de force à la cause défendu. Ol propose une entraide entre femmes, une bienveillance féminine (aujourd’hui appelé « sororité ») soutiens le « partage des fortunes entre les hommes et les femmes, et de l’administration publique »(postambule) Héritage : Ol était en avance sur les idées de son époque et n’a pas été comprise. Elle réclamait le droit au divorce, l’accès des femmes à la majorité civil (donc participation politique), le droit des femmes à disposer de leurs biens, la défende des femmes qui ont des enfants hors mariage, l’abolition de l’esclavage 1981 : la travail de l’historien Olivier Blanc la remet en lumière. Pour une autrice des Lumière il était temps de sortir de l’ombre. a-Désenchantement et refus de l’engagement : le divorce entre littérature et politique « En avant marche ! » de Gérard de Nerval. Après l’échec de la révolution de juillet 1830 la monarchie constitutionnelle est instaurée et non une république. La république est « une vielle hideuse », une « prostituée/De tous les trônes absolus ». La liberté est une chimère. Théophile Gautier. Chef de fil de « l’art pour l’art » ferme ses fenêtres à la politique après la révolution de 1848 et le coup d’état de Napoléon Bonaparte. Préface de son recueil Émaux et Camées (1852) « Sans prendre garde à l’ouragan/Qui fouettait mes vitres fermées,/ Moi, j’ai fait Émaux et Camées » b-Des texte restés lettre morte DDFC de Olympe de Gouges : faible écho politique. Oublié juste qu’au 20e s ou elle est republiée grâce à la romancière féministe Benoîte Groult De l’égalité des deux sexes (1673) de François Poullain de La Barre : txt précurseur sur l’égalité h/f Dernier jour d’un condamné (1829), Marion Delorme (1831), Claude Gueux (1834) des plaidoyers de V.H en faveur de l’abolition de la peine de mort. n’ont pas eu d’effet immédiat. Proverbe latin « les paroles s’envolent, les écrits restent   » III-La littérature comme bouclier a-Défendre : faire entendre des voix inaudible ou muselées La Machine Littérature (1984) de Italo Calvino « la littérature est nécessaire à la politique avant tout lorsqu’elle donne une voix à qui n’en à pas » Voltaire défend L’affaire Calas puis celle du chevalier De La Barre qui permet la réhabilitation posthum de ces 2 condamnés à la torture et à la mort. Dans le cas de l’affaire Sirven la famille est réhabilité de son vivant Ce sont des affaires ou les gens sont injustement accusés DDFC : les voix muselés des femmes. Rappelle qu’à rôle égale dans la révolution française les femmes n’ont pas obtenue les même droits que les hommes b-Dénoncer : changer nos représentation DDFC : question de la « nature » des femmes : elles sont pas nature égal aux hommes. La ruse qu’elle ont n’est pas naturelle mais la conséquence d’une contrainte sociale. Libère les femmes des clichés, libération symbolique nécessaire pour que s’accomplisse une libération civil et politique sur le site « L’histoire par l’image » Charlotte Denoël, archiviste et documentaliste en histoire de l’art, présente laDDFC comme un « véritable manifeste du féminisme   » Dans quel mesure cette caractérisation vous paraît elle correspondre à l‘œuvre au programme ? Oui la DDFC est un manifeste : c’est une déclaration écrite et structurée rhétoriquement. Elles s’adresse publiquement à plusieurs destinataire (les hommes, la reines, les femmes, les députés) mais les genres utilisées sont proches du discours (oral) (plaidoyer, exhortation..) Constitué de txt de divers nature = pas l’unité d’un manifeste(dédicace, déclaration, essai sur le mariage, postambule, préambule) oui car propose des idées politique (manière de gouverner, lois…) mais Défend aussi idée morale, philosophique, sociales qui dépense l’enjeu politique immédiat. Oui la DDFC est féminisme car veut l’égalité des sexe (juridique, pro, électoral…) Mais pas que car défend tout les opprimés (enfants illégitime, esclave…) Reformulation : C.Denoël fait de la DDFC une œuvre homogène : -Homogène dans sa forme (or la DDFC est mixte et fragmentaire) -Homogène dans sa visée politique (or la DDFC est plus que politique) -Homogène dans son objectif féministe (or la DDFC est plus que féministe) Problématique : La DDFC peut-elle être réduit à un « manifeste féminisme » ou n’est ce pas plutôt un plaidoyer pour les droits humains universels ? George Sand « il y à diversité d’organisation et non pas différences. Il y à égalité et non pas similitude » Au milieu de toutes ces luttes on pourrai se demander si accorder des droits aux femmes suffit à leur émancipation. I-Ces droits et ces lois sont nécessaire a- Une femme à le droit au contrôle de son corps : donc procréer et donc le droit à l’avortement libre Un des grands textes de cette lutte est le manifeste des 343 écrit par Simone de Beauvoir en 1971 : contient les déclaration d’avortement de 343 Française George Sand, républicaine, dans sa lettre au membre du comité central :puisque la femme a naturellement le droit de posséder de son corps, elle a naturellement le droit de faire ses propres choix et cela commence avec sa prise d’indépendance. Les femmes doivent accéder également au hommes à toutes sorte de profession (art, comptabilité, médecine). Mais elle doit continuer de bosser à la maison et approfondir l’apprentissage de ses filles et fils Cette indépendance est obtenue en 1965, 100 ans après. Le parlement vote une loi pour autoriser les femmes à ouvrir un compte bancaire et travailler sans l’accord de leur mari. DDFC fait suite à de divers revendication anonyme qui demandait une participation des femmes aux gouvernement et avoir des représentant à l’assemblé national. La DDFC part du principe que les femmes, ayant naturellement les même facultés que l’homme doit avoir les même droits. Art 6 : volonté d’égalité h/ devant la loi ou dans le cadre professionnel Art 11 : liberté d’expression et d’opinion qu’a la femme. Art 14 : dit que puisque les conditions des femmes et des hommes sont égal dans l’entretiens de la force publique ou les dépenses administrative ça doit être pareil pour le partage égal de la fortune et la durée et le recouvrement de l’impôt Une partie de ses revendication vont être considérées près de 250 ans plus tard car les femmes ont le droit à la citoyenneté en 1944 donc peuvent voter. Les femmes obtiennent avec le combat et le tps des droit qui les rapproche de l’égalité mais l’homme ne peut pas changer sa façon de penser juste avec des lois. II-Ces lois et droits ne suffise ap à émanciper les femmes. Malgré les lois et droits, les préjugés restent. Des écrivains de toutes époque se sont penchés sur la question : Hubertine Auclerc dans son livre aux les femmes exprime sa volonté de se battre avec les femmes contre les préjugés et les lois qui les humilient et désavantage Mémoires de Louise Michel : Concorcet en 1790 « « Tous n’ont-ils pas violé le principe d’égalité des droits en privant tranquillement tout une moitié de la population de concourir à la formation des lois, en excluant les femmes du droit de cité   ?   » Les procédés rhétorique (ironie) rende le discours efficace. Par rapport à la liberté d’expression des femmes « la femme à le droit de monter à l’échafaud, elle doit avoir également celui de monter à la tribune » (art 10) b-Pour un nouveau modèle social la DDFC vise l’égalité h/f. Pour cela, Ol propose de nombreuse réformes:l’accès égal au affaire publique (art 13), un partage égal du patrimoine (art 14) et un nouveau contrat de mariage Le mariage de Figaro (1784) de Beaumarchais : Marceline déplore que les femmes soient «  traitées en mineur pour [leurs] bien, punies en majeur pour [leurs] fautes   ». Il faut donner à la femme une citoyenneté entière (art 1) en ne la soumettant plus d’abord à son père puis à son marie voir à son fils ou son frère si elle se retrouve veuve. C’est bien un « cri de vie » que pousse Ol pour améliorer la société. Tous ont à gagner de cette « réunion de la femme et de l’homme » (art 3), seul moyen de constituer une nation souveraine CCL Dans la DDFC Ol émet bien un « cri de vie ». Son objectif: éveiller la conscience des femmes sur leur condition pour les faire lutter pour l’égalité pour obtenir une société harmonieuse ou chacun serai définit justement Avant la DDFC Ol de gouges à fait d’autres txt politique et polémique : « l’espèce d’homme nègres » « lettre au peuple ou projet d’une caisse patriotique par une citoyenne, le cri du sage par une femme. Avec la DDFC Ol de gouges fait entendre une nouvelle fois des revendications féministes mais propose un refondement de la société française I D’une voix de femme à la voix des femmes a-Une prise de parole audacieuse la DDFC s’inscrit dans le contexte violent de la révolution française pendant féministe et réécriture ironique de la DDHC rédigés par «  les représentants du peuple français, constitué en assemblé national » Pourtant la DDFC est adressée « A la reine » Marie Antoinette. Ol à conscience de son audace donc elle veut l’appuie de la femme la plus puissante de France, la reine « il n’appartient qu’à celle que le hasard à élevé à une place éminente de donner du poids à l’essor des droit de la femme et d’en accélérer le succès   » b-S’exprimer au nom de toute les femmes : créer une sororité Ol à conscience qu’en tant que femme sa voix ne sera pas entendu. Elles veut alors devenir les femmes. Dans le préambule elle parle au nom des «  mères   », «  filles   » et «  sœurs   », « représentantes de la nation » Dans la postambule elle encourage les femmes à reconnaître leur droits « Ô femmes   ! Femmes, quand cesserez vous d’être aveugle   ?  » et à s’unir pour l’égalité « « opposez vous courageusement face aux veines prétentions de supériorité. Réunissez vous sous les étendards de la philosophie ». Ol répète « femme » et « la femme ». A «  femme   », elle accole «  citoyenne   » pour revendiquer l’égalité civil h/f. II- Un nouveau « contrat social » a- L’affirmation d’une égalité naturelle entre les femmes et les hommes. Ol veut affirmer l’égalité « la femme naît libre et demeure égal à l’homme en droit » (art1). Elle le justifie par la naturalité « l’exercice des droits naturelle des femmes n’a de borne que la tyrannie perpétuel que l’homme lui oppose. Ces bornes doivent être reformé par les lois de la nature et de la raison » (art4) l’égalité est naturelle. La suprématie des hommes est injuste, il faut l’effacé avec l’arrivée de la République qui doit faire respecter les «  lois de la raison  » b-L’affirmation du statue de « citoyennes » des femmes et ses conséquences Ol ne fait pas qu’affirmer l’égalité, elle reconnaît le statut de «  citoyennes   » des femme et donc leur droit de participation à la formation de la nation / société (art 13, 14) Cette participation nécessaire va avec la liberté d’opinion / expression (art 10, 11). « Nul ne doit être inquiété pour ses opinion, même fondamentale. La femme à le droit de monter à l’échafaud ; elle doit avoir également celui de monter à la tribune. » Les femmes sont soumisent aux même lois que les hommes, elle doivent avoir les même liberté Avec la liberté d’expression Ol aborde la reconnaissance des enfants illégitime. Elle oblige les père à prendre leur responsabilité d’« enfants naturels » pour que les femmes ne le fasse pas seules. Car OL veut faire évoluer le façon dont les femmes sont perçus et se perçoivent. III-Changer l’image et la place des femmes : changer les femmes a-La critique des femmes dans les sociétés d’ancien régime postambule : Ol montre un « effroyable tableau de ce que [les femmes ont] été dans la société » remplaçant la force qu’elle n’avaient pas par la ruse et le charme. Les femmes sont de dangereuses manipulatrice « le gouvernement français [ayant] dépendu, pdt des siècle de l’administration nocturne des femmes » Ol déconstruit ces préjugés sur la « nature » des femmes. Dans une société corrompue les femme n’avait pas d’autre choix que d’être corrompue pour survivre et être respectées. b- Éduquer les femmes (autrement) urgence de l’éducation des femmes « puisqu’il est question, en ce moment, d’éducation national, voyons si nos sages législateur penserons sainement sur l’éducation des femmes » l dépace le cadre d’une déclaration et voit déjà le cadre d’un projet d’éducation des femmes. Il faut qu’elles soient des être libre de leur pensées et de leurs actes. Ce qui se lit avec la réforme du statue civil des femmes et des « convention conjugales »
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