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explication d'un texte français, Lectures de Langue Française

rapport avec telle allégorie de Musset (le pélican de « La Nuit de mai ») ou de. Baudelaire (« La Fontaine de sang ») sur le même sujet.

Typologie: Lectures

2021/2022

Téléchargé le 03/08/2022

Caroline_lez
Caroline_lez 🇫🇷

4.3

(104)

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Aperçu partiel du texte

Télécharge explication d'un texte français et plus Lectures au format PDF de Langue Française sur Docsity uniquement! 1 EXPLICATION D’UN TEXTE FRANÇAIS ÉPREUVE COMMUNE : ORAL Marc Escola, Pierre Glaudes, Nathalie Grande Jean-Claude Larrat, Françoise Lavocat, Marielle Macé. Coefficient : 2. Durée de préparation : 1 heure. Durée de passage devant le jury : 30 minutes dont 20 minutes d’exposé et 10 minutes de questions. Modalités de tirage du sujet : tirage au sort d’un ticket comportant deux textes. Le candidat choisit un des deux textes. Liste des ouvrages généraux autorisés : dictionnaire de langue française, dictionnaire des noms propres, dictionnaire du moyen français, dictionnaire du français classique, dictionnaire de mythologie. Liste des ouvrages spécifiques autorisés : ouvrages sur lesquels porte le tirage. L’explication de texte, si elle mobilise une culture littéraire et, plus généralement, des connaissances, est avant tout un exercice qui requiert des facultés d’observation et d’analyse. Ces facultés permettent seules de rendre compte d’un texte dans ses nuances ou ses jeux de forces les plus subtils, et jusque dans ses ambiguïtés. Rien ne serait plus contraire à l’esprit de l’exercice que de mettre entre parenthèses la personnalité du lecteur : son sens critique, qui doit lui permettre d’employer son jugement à bon escient, mais aussi sa sensibilité qui peut être, s’il l’écoute, un précieux vecteur de compréhension. On est surpris, par exemple, qu’un terme comme « comique» ne vienne pas à la bouche d’un candidat pour saisir les effets produits par la multiplication des calembours dans l’incipit des Fleurs bleues. Ou qu’un autre candidat ne semble rien percevoir d’ « érotique » dans la célébration de Cloris par Théophile de Viau. Dans les deux cas, l’explication reste insensible à la force du texte, tout comme à ses enjeux. Trop souvent, les candidats éludent les difficultés du texte qui devraient au contraire requérir toute leur attention. Tel d’entre eux ne songe pas un seul instant à poser la question du cliché à propos de la présentation des lectures d’Emma dans Madame Bovary (cf. « […] ces châtelaines au long corsage, qui, sous le trèfle des ogives, passaient leurs jours, le coude sur la pierre et le menton dans la main, à regarder venir du fond de la campagne un cavalier à plume blanche qui galope sur un cheval noir »). D’autres candidats se satisfont de formules creuses – le « rire existentiel » de Rabelais dans le chapitre XIX de Gargantua (harangue de Janotus) – là où il aurait d’abord fallu être capable de dire avec précision de quoi il était question (une parodie du discours scolastique). 2 Le jury, dans le choix des textes qu’il propose, recourt autant que possible à des éditions récentes qui sont en général dotées d’un apparat savant. Les candidats sont évidemment invités à utiliser au mieux ces éditions. La chronologie, la table des matières, les notes et, le cas échéant, le glossaire peuvent leur fournir de précieuses indications. Qu’ils n’hésitent pas à s’y référer pour améliorer leur explication. Qu’ils n’oublient pas cependant de signaler honnêtement ces légitimes emprunts à l’appareil critique : il n’y a là rien de déshonorant. Les candidats depuis plusieurs années ont le choix entre deux textes pris en général dans des siècles et des genres différents, le jury s’efforçant de veiller à ce qu’un équilibre soit trouvé entre les périodes et les formes textuelles, les écrivains connus et les auteurs moins familiers. Au cours de la présente session, un effort particulier a été fait pour associer le plus systématiquement possible un extrait d’œuvre complète à un texte autonome ou discontinu (poèmes, portraits, caractères, réflexions morales, fables, etc.). En outre, le jury a veillé à la localisation de ces extraits, souvent issus de l’incipit de l’ouvrage ou constituant un fragment facile à détacher et à étudier in se (description, portrait, digression, etc.). On doit encore regretter quelques cas, heureusement, fort rares, où le candidat a préféré l’extrait d’une œuvre, dont à l’évidence il ignorait tout, à un autre texte plus autonome, et parfois plus célèbre. Le jury croit cependant pouvoir dire qu’aucun candidat n’a été sanctionné pour ne pas connaître le (ou se souvenir du) détail d’une intrigue romanesque ou théâtrale – fût-ce d’œuvres aussi fameuses que Lorenzaccio ou Eugénie Grandet. Il en est allé de même s’agissant d’œuvres moins canoniques dont la connaissance exacte n’était pas requise par l’extrait proposé (Saint-Réal, Dom Carlos ; Anatole France, Les Dieux ont soif). Il n’est pas de pire écueil peut-être dans un concours comme celui-ci que « l’insularité » de la réflexion sur un texte. S’il ne s’agit pas de verser dans des exposés généraux sur tel genre ou telle période, ou pire encore de tenter d’étourdir le jury par un tourbillon de références, le rappel à bon escient de tel autre texte du même auteur ou de la même période, voire le rapprochement intertextuel de deux textes à l’intérieur d’un même genre, sont parfois un peu plus qu’une élégance : un gage d’intelligibilité et un souci de justesse. Ainsi, cette année, d’une belle explication de la première « scène de lecture » des Confessions de Rousseau qui offrait une référence discrète au traitement de la lecture dans l’Émile et une allusion à une scène correspondante des Mots de Sartre. D’une manière générale, lors de l’épreuve de français, les candidats ne doivent pas hésiter à mobiliser leur culture philosophique, historique, picturale ou cinématographique, et ils ne doivent pas être surpris qu’on les interroge ponctuellement sur des objets qui s’y rapportent. Un mot enfin sur les « à-côtés » de l’exercice : l’explication de texte est une « performance » orale qui met en présence les candidats et le jury. La politesse, le soin apporté à sa tenue et à ses attitudes ne doivent pas être traités avec une légèreté excessive. Le jury a parfois été surpris par la désinvolture et par les 5 Le projet de lecture, énoncé immédiatement après avoir lu l’extrait et analysé la composition, reste l’essentiel de l’introduction. Le jury apprécie l’originalité de la lecture proposée, la sensibilité littéraire qu’elle manifeste, sa pertinence en regard de l’extrait. Il apprécie aussi le courage et sait récompenser les risques pris, s’agissant notamment d’extraits ouvertement humoristiques (A. Allais, G. Perec) ou de textes à tonalité érotique (Sapho d’A. Daudet), sensuelle (telle lettre de Diderot), équivoque (Musset) ou scabreux (Rabelais ou Sévigné) – et l’on a parfois à choisir entre ces différentes appréciations. Trop de candidats sont victimes à ce stade d’un savoir préalable sur l’auteur ou l’œuvre, qu’ils cherchent à mobiliser sur un extrait où il n’est pas toujours pertinent. Tout texte de Rabelais n’est pas nécessairement « carnavalesque ». De même, il existe un Balzac romantique et échevelé – celui des Contes bruns, des Romans et Contes philosophiques — dont l’écriture n’obéit pas aux canons du réalisme. Le jury apprécie tout particulièrement les candidats qui sont capables, nonobstant la solennité de l’épreuve, de repérer puis de communiquer l’humour d’un texte ou ses significations implicites, fussent-elles « tendancieuses ». Et, plus généralement, il sait gré à tous ceux qui n’hésitent pas à « s’engager » dans l’interprétation. Trop souvent, les candidats, victimes d’une lecture au premier degré, qu’on pourrait dire « techniciste », omettent de s’interroger sur les enjeux idéologiques du texte ou d’en venir tout simplement au sens : rien sur le rôle de l’extrait dans l’économie de l’œuvre, rien sur ses éventuelles dimensions morales ou politiques, rien sur le remploi distancié des lieux communs et autres représentations relevant de l’imaginaire collectif, rien sur l’effet que l’auteur cherche à produire sur le lecteur… Dans tous les cas, le projet de lecture ne doit pas juxtaposer plusieurs fils mais unifier l’analyse selon une seule ligne qui subsume les différents aspects du texte. Il ne s’agit donc pas de dresser la liste des enjeux ou effets, selon le désastreux principe de la « lecture méthodique », mais de proposer une ligne d’interprétation à la fois ferme, pertinente et personnelle. On rappellera que le candidat peut opter librement à l’oral pour une explication linéaire ou une démarche de commentaire composé. Mais il doit peser soigneusement les avantages et inconvénients des deux méthodes — et notamment la pertinence d’un commentaire composé sur un texte théâtral où risque fort de se diluer la dynamique du dialogue. Le choix du commentaire composé cache parfois mal une difficulté foncière à rendre compte de la logique du texte : l’atomisation de l’analyse n’est pas alors le meilleur moyen de triompher de la difficulté. Rappelons également que les candidats doivent veiller scrupuleusement au « dosage » du commentaire et à l’écoulement du temps de parole : trop d’exposés sont, pour le début de l’extrait, à la limite de la surinterprétation et pâtissent d’une surcharge descriptive, en s’obligeant ainsi à sacrifier la fin de l’explication. 6 Il faut savoir que certains extraits sont choisis par le jury pour leur effet de « chute », de « pointe » finale ou de renversement. Il est alors habile, sinon indispensable, de faire état de cet effet dès l’introduction, d’en rendre compte nettement dans l’analyse de la composition, et de garder la chose en tête aux différents moments de l’analyse. Il peut même être opportun de consacrer dans un tel cas de figure un temps de parole proportionnellement plus long à la toute fin du texte. Quelle que soit la méthode retenue, explication de texte ou commentaire composé, elle ne doit se borner ni à une simple présentation des idées ni à un pur démontage de la forme. Les candidats sont une fois encore invités à diversifier les niveaux d’analyses : un texte n’est pas fait seulement de mots et de « champs sémantiques », et il ne tient pas davantage dans une série de pures notations phoniques. Les meilleures analyses sont celles qui parviennent à rendre compte du « relief » toujours singulier du texte proposé, qu’il faut faire « résonner » le plus possible. Il n’est pas rare, enfin, qu’une conclusion digne de ce nom fasse défaut, soit par précipitation, soit par un déficit conceptuel qui ne permet pas d’aboutir à une véritable synthèse. Les généralités, les banalités, les platitudes servent trop souvent à refermer l’explication, alors que le jury attend une formulation définitive de ses enjeux. Au chapitre de la « générosité », signalons que les questions posées à l’issue de l’explication ne sont en aucun cas conçues comme des pièges : elles doivent être reçues comme une invitation à prolonger telle ou telle intuition, à observer à nouveaux frais tel ou tel détail stylistique ou formel. Bien des questions sont de la part des examinateurs une façon de rendre la parole aux candidats en leur offrant ainsi deux ou trois minutes de temps de parole supplémentaire. Si le jury apprécie alors leur capacité à « rebondir », leurs réponses ne sont jamais négativement sanctionnées. Le souci du jury est toujours d’aider les candidats à donner le meilleur d’eux- mêmes. Beaucoup y parviennent. Cette année encore, il a été donné aux examinateurs d’entendre de remarquables explications, impressionnantes de maîtrise. ANNEXE : TEXTES PROPOSÉS A L’EXPLICATION Le texte signalé par l’astérisque a été choisi par le candidat. Montaigne, Essais, III, 9, « De la vanité » : « Mais il devrait y avoir… à tes ongles. » * Balzac, Illusions perdues (Folio, p. 51) : « Les deux poètes » : « Lucien se tenait… aussi bien que les vertus. » * Voltaire, Candide, ch. 12 : « …j’ai vieilli… …tête la première. » 7 P. Claudel, Tête d’or, du début à « …que je fais ! » Molière, Tartuffe, II, 4, v. 683 – 720. * G. Flaubert, Salammbô, du début à « …le visage d’Hamilcar. » * Rabelais, Gargantua, ch. 21 : « Et me disait maître Tusbal… …avant coureurs de vin. » S. Beckett, En attendant Godot (p. 41) : « Estragon - Bagages !.. » …Pozzo - …Il faudrait les tuer. » * Mme de La Fayette, La Princesse de Clèves : « Mme de Clèves acheva de danser… sans jamais l’avoir vu. » Apollinaire, Il y a, « La Cueillette ». * J.-J. Rousseau, Confessions, Livre 2 : « Je ne voyais pas un château… j’en manquais. » H. Michaux, L’Espace du dedans, p. 155-156, « Chez les Hacs », du début à « …cordialement. » Rabelais, Gargantua, ch. 33 : « Là présent était un vieux… si me suive. » * H. Michaux, L’Espace du dedans, p. 149, « Icebergs ». Montaigne, Essais, III, 2, « Du repentir » : « Les autres forment… …l’humaine condition. » * J. Anouilh, Antigone : « Ismène - Ils nous hueront… Antigone - Sers-toi de ces prétextes. » (Table ronde p. 28-30) Ronsard, Les Amours de Marie : « Comme on voit sur la branche… » * J.-P. Sartre, Les Mots (Folio, p. 72-74) : « Ma vérité, mon caractère… … …de sa barbe. » Molière, Le Misanthrope, II, 4 v. 623-649 : « Mais le jeune Cléon… » * A. Malraux, L’Espoir, « L’Espoir », ch. 1 (Folio, p. 522) : « Le tunnel enveloppait Attignies… …debout sur des rochers. » Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, I, 1 : du début à « …en me donnant leçon. » * Ch. Baudelaire, Les Fleurs du Mal, LXXVII, « Je suis comme le roi… » * La Fontaine, Fables, I, 16, « La Mort et le Bûcheron ». M. Tournier, Vendredi ou les limbes du Pacifique (Folio, p. 245-246) : « En tournant un peu la tête… …et de ruines ! » * Molière, Don Juan, II, 1 : « Aga guien, Charlotte… …Queuque gniais !.» Rimbaud, Poésies : « Voyelles ». * La Fontaine, Fables, VIII, 10, « L’Ours et l’amateur des jardins » : du début à « …dissimuler sa peur. » 10 Furetière, Le Roman bourgeois, Folio, p. 33. * A. Bertrand, Gaspard de la Nuit : « Le Clair de lune ». * Rabelais, Tiers-Livre, IX (la Sibylle). J.-P. Sartre, Huis-Clos, I, 1. * J.-J. Rousseau, Lettre à d’Alembert (sur Molière). R. Char, Les Matinaux : « Qu’il vive ! ». * Molière, Le Misanthrope, V, 4 (fin). P. Quignard, Petits traités, Folio, t. I, p. 449-50. La Bruyère, « Des grands », § 48 : Théognis. * Ch. Baudelaire, Les Fleurs du mal : « Le Mort joyeux ». Voltaire, Lettres philosophiques, 25 : sur Pascal (début). * Saint-John Perse, Vents, 1. * La Fontaine, Fables, III, 13 : « Loups et brebis ». Rimbaud, Illuminations : « Conte ». * Abbé Prévost, Manon Lescaut (la rencontre) Aragon, Les Poètes : « Feux de Paris » Crébillon, Les Égarements du cœur et de l’esprit, GF, p. 71-72. * M. Leiris, Biffures, p. 9-10. Pascal, Pensées, « Imagination ». * P. Michon, Vies minuscules, p. 33-34. * Cardinal de Retz, Mémoires, portrait de La Rochefoucauld. Céline, D’Un Château l’autre (Siegmaringen) T. L’Hermite, Le Page disgracié, VI, Folio, p. 33-34. * A. Allais, À se tordre, « Le pendu bienveillant ». * Racine, Bérénice, IV, 5, v. 1103-1130. J. Genet, Journal du Voleur, Folio, p. 29-30. * Mme de Sévigné, Lettres, GF, p. 95-96. Flaubert, Bouvard et Pécuchet, incipit. Pascal, Discours sur les Grands, 1. * Michaux, L’Espace du dedans, « Magie » I. Molière, Précieuses ridicules, 4 (Madelon). * G. Perec, Quel petit vélo… (début). 11 La Fontaine, Vie d’Ésope (entrevue avec Crésus). * J. Giono, Un roi sans divertissement, Folio, p. 15-16. Montaigne, Essais I, 1 (début). * B. Constant, Adolphe (rencontre). * J.-J. Rousseau, Confessions, 1 (premières lectures). Proust, Sodome et Gomorrhe (Charlus et Jupien). * Diderot, Lettres à S. Volland, Folio, p. 148-149. Sainte-Beuve, Portrait : Mme de La Fayette, Folio. Saint-Real, Dom Carlos, fin, GF, p. 198-199. * Ch. Baudelaire, Poèmes en prose : « Confiteor… ». La Rochefoucauld, Portrait : Mme de Montespan. * A. Daudet, Sapho, GF, p. 27-28. Mlle de Scudéry, Portrait de La Rochefoucauld. * Musset, Confessions, II (début). * Ch. Perrault, Le Petit Poucet (fin). R. Barthes, La Chambre claire, p. 107-109. Corneille, Le Cid, I, 2 (l’Infante). * Balzac, La Peau de chagrin, début. Guilleragues, Lettres portugaises, 1 (début). * J.-P. Sartre, Les Mots (premières lectures). D’Aubigné, Les Tragiques, 1, v. 55-83. * Aragon, Aurélien (incipit). * La Fontaine, Fables, IX, 2, « Les deux pigeons ». Mérimée, Les Ames du Purgatoire, GF, p. 91-92. Marivaux, Le Paysan parvenu, Garnier, p.142-143. * Verlaine, Fêtes galantes, « À Clymène ». Saint-Simon, Mémoires, Folio, p. 437-38. * Baudelaire, Les Fleurs du Mal, XXVIII, « Avec ses vêtements… » Corneille, Polyeucte, IV, 3 v. 1235-1256. * Verlaine, Romances sans paroles, « Bruxelles, Chevaux de bois ». D’Aubigné, Les Tragiques, V, v. 53-74. * Proust, Le Côté de Guermantes, Pléiade, p. 552-553. 12 Molière, Dom Juan, I, 1. * A. France, Les Dieux ont soif, Folio, p. 44-45. * Boileau, Art poétique, III, v. 160-175. Mérimée, Carmen, ch. III (rencontre de Carmen et don José). * Rabelais, Gargantua, ch. XIX (harangue de Janotus). Nerval, Les Chimères, « Myrtho ». Pascal, Pensées, 131 (éd. Lafuma). * Baudelaire, Les Fleurs du Mal, CXVIII « La Fontaine de sang » D’Aubigné, Les Tragiques, I, v. 73-96. * Flaubert, Mme Bovary, I, 6. * La Fontaine, Fables, VII, 12, « Les deux coqs ». Balzac, La Peau de chagrin, GF, p. 78. * Marivaux, L’Ile des esclaves, I, 1. Mauriac, Génitrix, Livre de Poche, p. 7-8. * Th. de Viau, Œuvres poétiques, « Quand tu me vois baiser tes bras… » Hugo, Quatre-vingt-treize, « En Vendée », V, 1. Ronsard, Les Amours, « Vous triomphez de moi… ». * Yourcenar, L’ Œuvre au noir, Folio, p. 24. * Laclos, Les Liaisons dangereuses, lettre CLII. Chateaubriand, Mémoires d’Outre-Tombe, IV, Poche p. 645-646. Villon, Testament, « Ballade des dames du temps jadis ». * Queneau, Les Fleurs bleues, Folio, p. 13-14. * Voltaire, L’Ingénu, ch. 1 (début). Hugo, Les Contemplations, IV, 16 (« Mors »). Pascal, Pensées, 44 (éd. Lafuma). * Apollinaire, Alcools, « La Tzigane ». * Abbé Prévost, Manon Lescaut, Garnier, p. 24-25. Apollinaire, Alcools, « Les Colchiques ». * Tristan L’Hermite, Poésies, « La belle esclave More » (Anthologie poésie baroque, p. 412) Bernanos, Sous le soleil de Satan, Pocket, p. 19-20. Racine, Britannicus, II, 2. * Gautier, España, « Le Pin des Landes », Folio, p. 457.
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