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Télécharge explication linéaire la bessace et plus Guide, Projets, Recherche au format PDF de Français sur Docsity uniquement! Moraliste français issu du mouvement du classicisme. Jean de la Fontaine née en 1621 et mort en 1695. S’inspirant d’Ésope, La Fontaine reprend les animaux pour monter la vanité contemporains et la nature humaine. Il utilise les animaux pour monter les vices de la cours. Dans cette fable mystérieusement intitulé issue du 1 er livre des fables paru en 1668, il met en scène une discussion amusante entre plusieurs animaux qui n’est pas sans rappelé la conversation contemporaines de Versailles. Comment la fontaine fait-il la satire des vanités et de l’excentrisme humain ? Cet apologue vif et ironique qui est mis en avant à travers des personnages symbolisant les contemporains du 17 eme siècle : Une écriture typique des moralistes classiques et une moralité qui accuse la nature humaine : Un récit vif et ironique qui est mis en avant à travers des personnages symbolisant les contemporains du 17 eme siècle : La fontaine rend ce début de fable très vif en emploient le verbe «dire» et ça ponctuation montre un dialogue directe qui prouve la domination de Jupiter. « Un jour » est un complément circonstanciel de temps qui reste vague ce qui donne à l’histoire une valeur universelle. La fontaine commence cet apologue en alexandrin (vers le plus noble), pour faire sentir l’autorité et la domination de Jupiter. L’expression « au pieds de ma grandeurs » est une périphrase qui fait référence à Jupiter. L’emploi du futur « Je mettrai » montre la certitude et la domination de Jupiter. La rime entre « grandeur » « peur » montre la forte influence de Jupiter par rapport au personne qu’il va convoquer. Les phrase impérative « Venez, Singe; parlez le premier » et « Voyez ces animaux, faite comparaison » soulignes les ordres de Jupiter ou du roi. Le singe seras le premier animal à être personnifier. La proposition interrogative directe « Etes-vous satisfait? Moi? Dit-il, pourquoi non? » permet de lancer la conversation. Le singe fait son autoportrait « N'ai-je pas quatre pieds aussi bien que les autres ? Mon portrait jusqu'ici ne m'a rien reproché » qui révélé sa vanités et son mépris envers autrui. Le singe montre d’abord qu’il est satisfait en répondant par des questions rhétoriques avant de se moquer de l’ours, dont l’apparence ne lui semble pas finie (« ébauché »). La conjonction de coordination « Mais pour mon frère l’Ours, on ne l’a qu’ébauché » marque une opposition. L’utilisation du groupe nominal « Mon frère l’Ours » pour parler de celui-ci montre son respect qu’il a en vers l’ours. La négation restrictive « on ne l’a qu’ébauché » révèle sa vanité envers son «amis». Le vers 13 possède un rythme en 3 temps « jamais s’il me veut croire » apporte un rythme rapide et renforce la vanité du singe en vers l’ours. L’antithèse entre l’attente et la réalité et l’adverbe « très » l’ours fait son discourt personnel, il a une autre opinion de lui et comme le singe il va critiquer l’éléphant. L’antithèse entre « ajouter » et « ôter »renforce la disproportion de la queue et des oreilles de l’éléphant. Le vocabulaire avec « masse informe » accentue la critique de l’éléphant, il a la même vanité que le singe. L’épithète « Tout sage » semble élogieux mais il va agir comme les autres personnages en critiquant les autres animaux et fait l’éloge de leurs personnes. Le verbe de jugement « il jugea »montre son comportement. Les marques de respect« Dame Baleine » servent à rien car il va quand même critiquer la baleine. La marque <<dame fourmi>> (vers 23) → on peut penser qu’elle est supérieur aux autres mais il n’en est rien. L’antithèse entre « trop petit » et « colosses », elle ne vaut pas mieux que les autres.