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francais Oral, Guide, Projets, Recherche de Langue Française

Avec ses vêtements ondoyants et nacrés » : la beauté féminine ici célébrée et la souplesse ou la fluidité de ces vers n'étaient alors pas mises en rapport.

Typologie: Guide, Projets, Recherche

2021/2022

Téléchargé le 03/08/2022

Thierry_E
Thierry_E 🇫🇷

4.6

(78)

515 documents

Aperçu partiel du texte

Télécharge francais Oral et plus Guide, Projets, Recherche au format PDF de Langue Française sur Docsity uniquement! EXPLICATION D’UN TEXTE FRANÇAIS ÉPREUVE COMMUNE : ORAL Fabienne Bercegol, Estelle Doudet, Pierre Glaudes, Jean-Claude Larrat, Marielle Macé, Emmanuelle Tabet Coefficient : 2. Durée de préparation : 1 heure. Durée de passage devant le jury : 30 minutes dont 20 minutes d’exposé et 10 minutes de questions. Modalités de tirage du sujet : tirage au sort d’un ticket comportant deux textes. Le candidat choisit un des deux textes. Liste des ouvrages généraux autorisés : dictionnaire de langue française, dictionnaire des noms propres, dictionnaire du moyen français, dictionnaire du français classique, dictionnaire de mythologie. Liste des ouvrages spécifiques autorisés : ouvrages sur lesquels porte le tirage. L’épreuve d’oral de français consiste en une explication de texte, qui mobilise des connaissances d’ensemble mais aussi un savoir-faire, souvent bien maîtrisé par les candidats. L’impression générale est en effet celle d’élèves bien préparés à la technique de l’explication, et soucieux de la conduire avec méthode : on a apprécié en général un bon effort d’introduction, une lecture orale correcte (plus rarement expressive), une construction bien maîtrisée de l’explication proprement dite, une bonne gestion du temps, un souci de clore sur des remarques véritablement conclusives, rassemblant les différents fils tirés lors de l’explication de détail, enfin, une capacité de concentration et d’écoute lors des questions, toujours très appréciée. L’utilisation de l’ensemble des ressources qui sont à la disposition des candidats, comme les dictionnaires ou les indications fournies par l’édition (chronologie, table des matières, notes, parfois glossaire) est également une bonne chose lorsqu’elle aide les candidats dans leur préparation, et dans la tâche qui leur incombe de replacer l’extrait dans le contexte de son œuvre ou, à plus forte raison, de son époque. On peut être frappé néanmoins par une certaine uniformité, la majorité des candidats proposant des performances honnêtes, rarement catastrophiques mais aussi rarement brillantes. Ce sentiment de « grisaille » n’est pas question de lassitude, ou d’exigences déplacées de la part du jury, car il révèle un problème de méthode précis et récurrent : l’absence, dans beaucoup de cas, d’une problématisation réelle de la lecture. Beaucoup d'explications sont ainsi construites selon les règles mais faiblement pensées, elles restent sans proposition, par conséquent sans envergure et sans hauteur de vue. Nous insistons avec force, à cet égard, sur l’importance de l’introduction ; on doit y condenser en peu de mots les informations pertinentes pour situer l’auteur, l’œuvre et le passage ; on doit y analyser la composition du texte, qui repose sur des marques formelles et sémantiques ou, en l’absence de plan véritable, s’y montrer sensible à un mouvement signifiant (rappelons à ceux qui proposent un commentaire composé, qu'il est également souhaitable qu'ils l'indiquent nettement au cours de l'introduction) ; on doit surtout y construire une problématique intelligible et adaptée aux enjeux particuliers du texte. Il ne s’agit pas, dans la construction de la problématique, de dresser une liste des enjeux ou des effets possibles, mais de proposer une ligne d’interprétation, qui soit à la fois ferme, pertinente et personnelle. Il convient en effet d’animer cet exercice d’explication, c’est-à-dire d’y livrer une lecture réfléchie ; il ne s’agit pas d’être original à tout prix, de chercher à construire une interprétation hors-norme, ni surtout d’oublier ce que l’on a appris, mais de faire état avec sincérité d’une expérience de rencontre avec un texte particulier, qui peut avoir ses étonnements et ses interrogations. Les candidats sont invités à exercer leur jugement, mais aussi leur sensibilité ; cela implique, d’une part, qu’ils se rendent attentifs à la spécificité de l’extrait proposé, sans le rabattre sur un savoir général souvent trop vague : tout passage de Bérénice ne repose pas sur le retardement d’un aveu, toute page de Flaubert n’est pas une dénonciation de la bêtise, tout poème contemporain n’engage pas une réflexion ontologique sur la plénitude de l’être (on invite en particulier les candidats à renoncer à une vision simpliste des Fables et à se montrer sensibles, dans la lecture de La Fontaine, aux jeux subtils qui associent mais aussi dissocient le récit de la moralité). Cela implique, d’autre part, que les candidats sachent faire jouer les nuances, par exemple dans l’ordre des registres : l'ironie et l'humour sont distincts, l'élégiaque n'est pas nécessairement tragique, la fantaisie n’équivaut pas au burlesque, le grotesque conduit parfois au seuil du fantastique, le sublime et la grâce se confondent rarement… Un candidat invité à expliquer la fin de Madame Bovary a ainsi mal évalué l’ambivalence du jugement porté sur les personnages, les chargeant à outrance ; un autre n’a pas su comprendre le double jeu de l’ironie dans le dernier sermon de Fabrice en présence de Clélia dans La Chartreuse de Parme. On évitera donc les simplifications, en se montrant réceptifs aux subtilités, voire à l’ambiguïté d’un extrait. C’est dans l’équilibre fin entre la mobilisation des connaissances et l’analyse d’un texte forcément singulier que repose la réussite de l’explication. De ce point de vue, il est très important de ne sacrifier, le jour de l’épreuve, ni son bon sens, ni sa sensibilité. Avant tout chose, il ne faut jamais faire l’impasse sur le sens littéral du texte ; on sera par exemple attentif à ne pas se réfugier dans le jargon pour masquer un défaut de compréhension de l’extrait ; un candidat, expliquant l’incipit du Voyage au bout de la nuit et peut-être intimidé par ses enjeux, n’y a décelé aucune portée morale ou politique, mais en a fait un simple catalogue de figures de rhétorique. L’importance du moment et la solennité de l’épreuve expliquent sans doute aussi la difficulté des candidats à saisir l’humour d’un texte, à se montrer sensibles à ce qu’il y a en lui de trouble ou d’implicite ; tel candidat a estompé tous les aspects burlesques d’un extrait de Michaux, tel autre a craint de faire apparaître mais aussi simplement de nommer ce qu’il y avait de scabreux dans un passage de Candide, tous les deux prêtant au texte un sérieux qui n’était assurément pas dans l’intention de l’auteur, et les menait au contresens. Une bonne explication nécessite souvent d’éclairer le passage par les connaissances acquises sur l’esthétique dont relève une œuvre (un candidat s’est étonné d’être invité à faire le lien entre l’incipit de L’Assommoir et le projet naturaliste de Zola !), sur les conventions du genre auquel elle se rapporte (il est par exemple indispensable de prendre en compte la poétique du roman épistolaire pour faire ressortir la singularité des Lettres portugaises), sur le lectorat visé, etc. L’entretien a pu révéler, à cet égard, de nombreuses lacunes dans le domaine de l’histoire littéraire et, plus généralement, de la culture esthétique, philosophique, religieuse, et des connaissances historiques fondamentales. Plusieurs candidats ont eu du mal à rattacher au mouvement baroque des poèmes pourtant extraits de l’Anthologie de la poésie baroque de Jean Rousset. Le romantisme semble lui aussi mal connu – les Mémoires d’outre-tombe ont été qualifiés de « préromantiques », et la poésie de Musset n’a pu être située que très En revanche, le jury s’est montré plus indulgent lorsque les candidats avaient affaire à une œuvre qui fait moins souvent partie des programmes : on leur a su gré d’avoir la curiosité, voire le courage, de se confronter à un texte d’eux inconnu. On a par exemple entendu une bonne explication du poème de Desnos, « J’ai tant rêvé de toi », choisi par un candidat qui reconnaissait ne pas avoir rencontré jusqu’alors le recueil Corps et biens ; lors de l’entretien, le jury a donné des informations biographiques sur l’identité de la femme aimée en vain par le poète qui permettaient d’affiner le commentaire de la composition de ce poème, ce qu’a fort bien réussi à faire le candidat ; cette prestation a été valorisée par le choix courageux de l’extrait, par la capacité du candidat à construire et à préciser un commentaire à chaud, sans l’aide de savoirs antérieurs, mais aussi par la qualité de son écoute et sa capacité à moduler sa réflexion, tout en la poursuivant, au cours de l’entretien. Une candidate amenée à expliquer l’incipit de L’Ensorcelée, roman qu’elle admettait n’avoir jamais lu, a également proposé une bonne explication, riche de remarques et d’intuitions : sans connaître l’auteur, mais en se mettant sincèrement à l’écoute du texte, elle a su identifier les principes idéologiques de Barbey, faire apparaître la posture du pamphlétaire qui lui est habituelle et dégager les caractéristiques majeures de sa poétique romanesque. Dans le cas d’œuvre peu étudiées en classe, le jury choisit des extraits dont la compréhension ne nécessite pas une connaissance précise du contexte, ou, lors de l’entretien, donne des informations qui permettront au candidat de compléter le commentaire qu’il en a proposé ; ainsi de la scène des adieux de Corinne et d’Oswald à Venise : ce passage ne présente aucune difficulté d’interprétation même si l’on n’a pas lu le roman de Mme de Staël ; il importait d’y retrouver les composantes attendues d’une scène de séparation et d’être sensible, en contexte, au pathétique de la situation. On a regretté, à cet égard, le rejet presque systématique de passages de La Nouvelle Héloïse, et surtout d’Oberman de Senancour : il s’agissait souvent de séquences descriptives qui pouvaient aisément être expliquées sans lecture préalable du roman… On conseillera donc aux candidats de lire les deux extraits proposés et de ne pas écarter d’emblée une œuvre sous prétexte qu’ils ne l’ont pas déjà travaillée : trop de candidats indiquent un choix dès le tirage des billets, avant d’avoir seulement pris connaissance des extraits, alors même que le jury ne demande pas à connaître ce choix. Le jury a ainsi apprécié la lecture de l’ « Avant-propos » des Mémoires de Saint-Simon, et a été heureusement surpris par la pertinence du commentaire proposé, notamment par la compréhension des conventions d’un genre souvent peu pratiqué en cours, et par de judicieuses remarques sur la distinction entre le récit de l’historien et le témoignage du mémorialiste. Il a également été frappé par une très bonne explication d’un passage des « Pâques à New York » de Cendrars, et a d’autant plus apprécié la finesse du commentaire (tant du point de vue de l’analyse de l’expérience spirituelle ici rapportée que de celle des choix d’écriture, comme le recours aux archaïsmes) que le texte choisi était jugé difficile, et pouvait dérouter. L’entretien est un moment important, qui occupe le tiers du temps de l’épreuve ; il ne doit pas apeurer les candidats, car il est d’abord conçu comme un moment de discussion : une invitation à prolonger telle ou telle intuition lorsqu’elle est juste, à observer à nouveaux frais un aspect du texte lorsqu’il a été trop peu commenté, ou à saisir l’occasion de revenir sur une interprétation fautive ; le jury apprécie alors la capacité des candidats à affermir leurs propositions et, le cas échéant, à les nuancer ou à les modifier. Il ne s’agit alors ni de capituler, ni de ne rien vouloir entendre, mais de faire preuve d’attention, de bonne foi, de souplesse et de sens de la nuance. Assez souvent les candidats ont ainsi avancé, au fil de l’entretien, de nouvelles pistes très fines. Les questions du jury visent également à s’assurer de la culture des candidats. Il peut s’agir d’éclaircir des termes ou une syntaxe mal perçue du candidat ; sur ce point, les explications ont été globalement satisfaisantes. Les candidats ayant choisi un texte ancien se méfiaient à juste titre des difficultés lexicales et ont pris soin d’utiliser les dictionnaires mis à leur disposition. On peut suggérer à ceux qui choisissent des textes modernes de faire la même chose ; c’est en effet sur les textes des XIXe et XXe siècles que les erreurs de compréhension lexicale ont été les plus nombreuses. On peut les mettre en garde contre l’emploi peu assuré de termes simples, mais dont le sens s’est révélé impossible à expliquer ; par exemple, la différence entre l’adjectif « médiéval », désignant ce qui date du Moyen Âge, et le mot « moyenâgeux », péjoratif et désignant une imitation moderne dans le goût du Moyen Âge, fort en vogue notamment au XIXe siècle ; Charles d’Orléans n’est donc pas moyenâgeux, mais les métaphores romantiques de Nerval ou Baudelaire ont des chances de l’être. De même, toute évocation poétique du sentiment amoureux ne relève pas forcément de « l’amour courtois », terme mis à toutes les sauces. Le jury n’est pas tatillon, il est ouvert à toutes les utilisations lexicales si les candidats sont capables de les expliquer. Ainsi un candidat ayant parlé « d’hugolème » à propos d’une image d’Agrippa d’Aubigné a pu justifier ce mot inhabituel à partir de remarques de Leo Spitzer. On conseillera cependant de ne pas en abuser et d’être à la fois prudent et précis dans l’usage de tels termes. Nous sommes conscients de la masse de connaissances et de savoir-faire exigée par le concours ; nous rappelons cependant aux candidats que l’une des clefs de la réussite n’est pas la thésaurisation savante et cloisonnée de cours d’histoire, de littérature, de philosophie et de langues, mais le désir d’apprendre à mettre en relation ces connaissances et de leur donner sens en situation – geste et liberté qui définissent sans doute la culture. Cette année encore, les efforts de plusieurs candidats pour incarner et « habiter » leur explication ont été particulièrement appréciés, et le jury a été frappé par l’intelligence, la finesse et surtout la sincérité de leur présentation. Exemple de billets de tirage. Le texte signalé par l’astérisque a été choisi par le candidat. * Diderot, Salons, « Hubert Robert », de « O les belles, les sublimes ruines… » à « … a peu duré » (éd. Garnier, p. 642-643). Apollinaire, Alcools, « Marie » (NRF, p. 63- 64). Ronsard, Sonnets pour Hélène, livre I, III (éd. Garnier, p. 386). * Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe, de « Je ne crus pas pouvoir profiter… » à « … ou dans un couvent » (Livre de Poche, t. IV, p. 258). * La Bruyère, Les Caractères, « Des esprits forts », 3 (Livre de Poche, p. 573-574) Proust, La Prisonnière, de « Une crise d’urémie… » à « …de cette exposition » (Pléiade, t. III, p. 186-187). * Saint-Simon, Mémoires, 1714-1715, de « Enfin, en bâtiments… » à « …ne put émousser » (éd. Ramsay, p. 494). Mérimée, Carmen, chap. III, de « Elle avait un jupon… ». à « …qui m’arrivait » (GF, p. 129-130). * Voltaire, Dictionnaire philosophique, « Joseph », du début à « … du Pélée et de Proust, Du côté de Guermantes, de « Je me rappelai… » à « … qui lui avait été faite » Demenette » (GF, p. 245-246) (Pléiade, t. II, p. 552-553). Rabelais, Tiers Livre, chap. XLV, du début à « communicqué mes pensées » (Les Textes français, p. 198-199) * Camus, La Chute, de « Ferez-vous un long séjour… » à « …leur organisation » (Folio, p. 10-11). Saint-Simon, Mémoires, 1714-1715, de « Pour Mme de Montespan… » à « …que des passades » (éd. Ramsay, p. 487-498). * Barbey d’Aurevilly, Un prêtre marié, chap. VII, de « Quand elle était debout… » à « …donc de mourir » (GF, p. 112-113). * Bossuet, Oraison funèbre d’Anne de Gonzague, de « Quel trouble ! » à « …toutes ses brisures » (éd. Garnier, p. 264-265) Mérimée, Le Carrosse du Saint-Sacrement (Théâtre de Clara Gazul), de « Or donc, quelques gens oisifs… » à « …pour la médisance » (Classiques Larousse, p. 104- 105). * Diderot, Eloge de Richardson, de « Cet auteur ne fait point… » à « …et passagère » (éd. Garnier, p. 30-31) Apollinaire, Alcools, « La Tzigane » (NRF, p. 91). Marivaux, Le Paysan parvenu, de « Le titre que je donne… » à « …de m’en croire » (éd. Garnier, p. 5-6). * Hugo, Feuilles d’automne, « Soleils couchants », VI (Poésie/Gallimard, p. 303- 304). * La Bruyère, Les Caractères, « De la société de la conversation », 9 (Livre de Poche, p. 229-230). Vigny, Cinq-Mars, chap. XXII, de « Ils contemplèrent… » à « …dans les neiges » (L’Intégrale/Seuil, p. 245). Corneille, Médée, acte II, scène 2, v. 411-436 (GF, p. 156). * Mme de Staël, Corinne, livre XI, de « Au pied du Vésuve… » à « … mal affermis » (Folio, p. 303-304). * Sponde, Les Amours, « Les vents grondaient… », in Anthologie de la poésie amoureuse de l’âge baroque (Livre de Poche, p. 356-357). Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe, de « Je continuais de marcher… » à « … son berger » (Livre de Poche, t. IV, p. 644-645). Sponde, « Mais si faut-il mourir », Anthologie de la poésie baroque française, t. I (A. Colin, p. 117). * Balzac, La Peau de chagrin, de « Dans ce tableau délicieux… » à « …passions boursouflées » (GF, p. 297-298). * Rabelais, Tiers Livre, chap. XVII, de « Adoncques s’escria… » à « le trou de la Sibylle » (Les Textes français, p. 83-84). Gautier, España, « Deux tableaux de Valdes Leal », de « Le premier… » à « …tiroires entr’ouverts » (Folio, p. 493). Saint-Simon, Mémoires, 1714-1715, de « C’était un grand homme… » à « … rien du tout au-delà » (éd. Ramsay, p. 196-197). * Baudelaire, Les Fleurs du mal, XXVII (GF, p. 78). * Diderot, Salons, « Greuze », de « La jolie élégie… » à « … et la consolant » (éd. Garnier, p. 533). Barbey d’Aurevilly, Une vieille maîtresse, chap. IV, de « L’Expression… » à « …tout englouti » (GF, p. 88-89). Bernardin de Saint-Pierre, Paul et Virginie, de « chaque lame qui venait briser… » à « … * Baudelaire, Les Fleurs du mal, « La Pipe » déplaît pas », éd. GF, p. 149-150. Éd. Gallimard, NRF, poésie, p. 61 Jean de Léry, Histoire d’un voyage au Brésil, chapitre 18, « Pour donc prendre cette matière d’un peu haut… une grosse huître. » Éd. Livre de Poche, p. 449-450. * Hugo, Les Contemplations, V, 25, « ô strophe du poète » Éd. Presses Pocket, p. 310 François Rabelais, Pantagruel, ch. 32, De ce que l’auteur vit en sa bouche, de « Cepndant… à je deliberay d’y aller » Éd. GF, p. 177-178 * Hugo, Les Châtiments, « Joyeuse Vie », 2e partie. « Caves de Lille… sang humain » Éd. Gallimard, NRF, poésie, p. 111-112. Ronsard, Les Amours, sonnet 76, « Je parangonne à vos yeux » Éd. Livre de Poche, p. 132-133 * Flaubert, Bouvard et Pécuchet, ch. 4, « Le lendemain … que celle des Juifs » Éd. GF, p. 134-135 * Marguerite de Navarre, Comédie sur le Trépas du roi, première réplique d’Amarissime Claudel, Cinq Grandes Odes, Ode 4, « Encore le départ… les eaux de la mer en triomphe » Éd. Gallimard, NRF, poésie, p. 74-75 Philippe de Commynes, Mémoires, « Je me trouvay à présent… ce propos de dessus » * Feydeau, Le Dindon, « Vous n’avez plus qu’une chose à faire… à et vous trouvez cela honnête ? » Molière, Les Femmes Savantes, III, 2 * Apollinaire, Alcools, « Salomé » Éd. Gallimard, NRF, poésie, p. 62-63 * Agrippa d’Aubigné, Les Tragiques, « Princes », « Lasche… à je deviens roide aussi… » Aimé Césaire, La Tragédie du roi Christophe, scène 1, « Bon, bon, bien » à « notre mère l’Afrique » * Racine, Les Plaideurs, Acte I, sc. 7, « Monsieur, tous mes procès… mais écoutez moi donc ! » Théâtre complet, Garnier, p. 191-192 Nerval, Les Chimères, « Antéros » * Rousseau, Les Confessions, début du livre 7, jusqu’à « cruels avenirs » Aragon, « La nuit d’exil » dans Les Yeux d’Elsa, du début à « sous les portes cochères. » * Boileau, Épître I, « Oui grand roi, laissons là… du bon temps» Éd. Gallimard, NRF, poésie, p. 269-270 M. Proust, Le Temps retrouvé, « C’était une impression bien ancienne » à « qui le remplissaient alors » Éd. folio, p. 190-191 Bussy-Rabutin, Histoire amoureuse des Gaules, « Histoire d’Ardélise », « je suis au désespoir… sans découvrir son rival » Éd. 10/18, p. 29-30 * Bonnefoy, Douve, « Cassandre, dira-t-il » Éd. Gallimard, NRF, poésie, p. 101 La Bruyère, Les Caractères, « Des biens de Fortune », portrait de Phédon * Céline, Voyage au bout de la nuit, « notre navire avait nom » à « les crabes, la Éd. Livre de Poche, p. 165-166. charogne et l’étron ». Éd. Folio, p. 112-113 Diderot, Salon de 1769, « Regrets sur ma vieille robe de chambre », 4 premiers paragraphes. * Char, Fureur, « Hommage et famine » Éd. Gallimard, NRF, poésie, p. 51 La Fontaine, Fables, « Le curé et le mort » * Francis Ponge, Le Parti pris des choses, « Les trois boutiques » Éd. Gallimard, NRF, poésie, p. 78-79 La Fontaine, Fables, Livre 2, 1, « Contre ceux qui ont le goût difficile », éd. GF, p. 73- 74 * Jean Genet, Les Bonnes, « Au diable » à « » Éd. Folio, p. 95-98 André Chénier, La Jeune Captive, début du poème. * Duras, Moderato Cantabile, ch. 7, « l’homme… à « on ne lui répondra pas ». Éd. minuit, p. 75-76 Ronsard, Les Amours, sonnet 20 * Bernanos, Sous le Soleil de Satan, « Et tout à coup… à il attendait. », Éd. Presses Pocket, p. 99. Laclos, Les Liaisons dangereuses, lettre CV, « Hé bien petite ! » à « c’est bien quelque chose » Éd. Livre de poche, p. 280-281 * Verhaeren, Les Villes tentaculaires, « Les usines », jusqu’à « fabriques symétriques » Éd. Livre de Poche, p. 46-47 * Voltaire, Candide, ch. 4, «Qu’entends- je ? » à « si abominable » Éd. Contes, livre de poche, p. 151-152 Pierre Michon, Vies minuscules, « Vie d’Antoine Peluchet », jusqu’à « sempiternelle relique » Éd. NRF, p. 25-26 * Voltaire, Dictionnaire philosophique, article « fin », « Mais si après bien des siècles… dès qu’elle sera libre. » Éd. Livre de poche, 268-269 Saint-John Perse, Éloges, VII, « Un peu de ciel bleui » * Diderot, Salon de 1765, « Autre portrait de Mme Greuze », jusqu’à « en souffre » Eluard, Capitale de la Douleur, « Ne plus partager » Éd. Gallimard, NRF, poésie, p. 89 Diderot, Le Rêve de d’Alembert, de « j’entends que la circulation » à la fin (fin du texte) * Raymond Queneau, Zazie, chapitre 6, « Elle ouvrit la porte… à un bourin.» Éd. folio, p. 65-66 Rousseau, Les Rêveries, Quatrième promenade, « J’ai vu de ces gens… il faut s’immoler à elle » Éd. Classiques Garnier, p. 50-51 * Yasmina Reza, Art, scène 1, jusqu’à « une arrogance vraiment stupéfiante » Éd. Livre de poche, p. 196-197 Montaigne, Essais, Livre III, ch. II, « De la vanité ». Du début à « …desquels je suis. » Apollinaire, Il y a, « La Cueillette ». Montesquieu, Lettres persanes, lettre 161 (dernière lettre). En entier. H. Michaux, L’Espace du dedans, « Clown ». Diderot, Le Neveu de Rameau, « Ce chevalier de la Morlière… » - « …de quelques visionnaires comme vous. » Pocket, p. 69-70 Baudelaire, Les Fleurs du Mal, Spleen, 77, « Je suis comme le roi… » Du Bellay, Antiquités de Rome, VI, « Telle que dans son char la Bérécynthienne… » Aragon, Les Voyageurs de l’impériale, I, XXIX, « Pourquoi était-ce si odieux… » - « …dans un même lit. » La Fontaine, Fables, VIII, X, « L’Ours et l’amateur des jardins », V. 1 – 28. Bernanos, Sous le soleil de Satan, I, III, « La charité des grandes âmes… » - « …ce que vous voulez dire ! » (Pocket, p. 154-155) Senancour, Oberman, lettre 18, « Ma situation est douce… » - « …et je n’étais point ! ». S. Beckett, En attendant Godot, II, « Estragon – Bagages… » - « …Pozzo – …Il faudrait les tuer. » Robert Garnier, Les Juives, Acte IV, Le Chœur, « Pauvres filles de Sion… » - « …et toute liesse. » N. Sarraute, Le Planétarium, [IV], « Sourires, regards entendus… » - « …de ce trop-plein de bonheur. » Ronsard, Odes, « A Cassandre », I, « Mignonne allons voir si la rose… » A. Robbe-Grillet, Le Miroir qui revient, « Je n’ai jamais parlé… » - « …qui se croyait vainqueur. » (Minuit, p. 10-11) Rousseau, Les Rêveries du promeneur solitaire, 5ème promenade, « Quand le lac agité… » - « … de là sans efforts. » Flaubert, Madame Bovary, I, I, « Nous avions l’habitude… » - « …Charbovari. » Laclos, Les Liaisons dangereuses, lettre 81, « Mais moi, qu’ai-je de commun… » - « …quelquefois si étonné. » A. de Vigny, Les Destinées, « La Mort du loup », II et III. Du Bellay, Les Regrets, IX, « France, mère des arts… » Pierre Michon, Vies minuscules, « Le père Foucault n’irait pas à Paris… » - « … était interdite à mon sabir. » Senancour, Oberman, lettre 63, « Il était minuit… » - « …l’abîme muet. » Alain-Fournier, Le Grand Meaulnes, II, VII, « Enfin glissa lentement… » - « …les cris d’effroi des femmes. » Molière, Dom Juan, I, II, « Les inclinations naissantes… » - « …tout comme un livre. » Claude Simon, L’Acacia, VI, « 27 août 1939 », « C’était l’été… » - « …d’imprévisibles reflux. » (Minuit, p. 155- 156) Voltaire, Candide, Ch. XII (fin), « j’ai vieilli… » - « …tête la première. » Rimbaud, Illuminations, « Aube ». Rabelais, Gargantua, XX, « Ponocrates lui Malraux, La Voie royale, II, I, du début du
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