Télécharge Je vous propose la correction des questions de la séance 7 ... et plus Examens au format PDF de Langue Française sur Docsity uniquement! Je vous propose la correction des questions de la séance 7. Veuillez vous auto-corriger et prendre la correction en rouge, en-dessous de vos propres questions. Je reste à votre disposition pour toute interrogation! I- Activité 1: Lecture- Etude du poème: 1. Étudiez la forme du poème (nombre de strophes, type de rimes, type de vers). 1. L’extrait proposé est composé de quatre strophes (= 4 paragraphes) de huit octosyllabes (ce sont des vers de 8 syllabes à chaque fois: ex pour le vers 1: "De (1)/bo(2)/ne(3)/foi(4)/,sans(5)/trom(6)/pe(7)/rie(8). Les rimes sont majoritairement embrassées (selon le schéma ABAB: "enjan" rime avec "dan", et "melhor" avec "plor" dans la première strophe). 2.Quel est le champ lexical dominant dans les deux premières strophes ? Comment l’expliquez-vous ? 2. Le champ lexical de la douleur est représenté par « soupire », « pleure », « blesse », « mal », « peine », « je meurs » et donne de l’amour une image négative. Le poète insiste sur son état pitoyable (= qui fait pitié) pour attendrir sa dame. 3. À quoi le troubadour compare-t-il l’amour dans la première strophe ? 3. Le troubadour compare l’amour à une prison au fond de laquelle il se languit et dont seule la dame a la clé. 4. Que demande le poète à sa dame ? Le poète demande à être « pris pour serviteur » : si la dame lui accorde ses faveurs et son cœur, il la servira « fidèlement » comme le vassal sert son seigneur et suzerain. 5. Quelles qualités le troubadour se propose-t-il d’acquérir pour plaire à sa dame? Le troubadour se propose d’« Être noble et doux, gai, courtois », qualités positives censées plaire à la dame et code de conduite de l’amoureux courtois. 6. Par quelles différentes émotions passe le poète ? Vous justifierez votre réponse par des mots et expressions du texte. Dans la première strophe, le poète manifeste sa douleur d’aimer (« Mon cœur soupire, mes yeux pleurent / De trop l’aimer pour mon malheur ») et son impuissance face à ce constat douloureux. Dans la deuxième strophe, il souffre de sa blessure d’amour et des alternances d’espoir et de désespoir (« Que si cent fois par jour je meurs / Cent fois la joie me ressuscite. »). Dans la
