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Lecture Linéaire Zone d’Appolinaire, Lectures de Français

Voici une lecture linéaire du poème Zone d’Appolinaire

Typologie: Lectures

2021/2022

Téléchargé le 05/06/2022

LaGrintaa21
LaGrintaa21 🇫🇷

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8 documents

Aperçu partiel du texte

Télécharge Lecture Linéaire Zone d’Appolinaire et plus Lectures au format PDF de Français sur Docsity uniquement! Commentaire ZONE Intro :  Ce poème était le dernière poème écrit par Apollinaire qu’il décide de mettre en tête. Nous  sommes en lien avec le monde artistique, il avait beaucoup d’amis peintre et voulait une  autre image de la réalité, nous avons aucune ponctuation ce qui est très surprenant. Le titre  « Zone » se réfère a une mythologie grecque ce qui signifie en grec la ceinture, il choisit donc d’écrit de texte en dernier et de le mettre au début pour faire une boucle comme avec la  ceinture. Comment se poème Allie-t-il une nouveauté créatrice et tradition pour transfigurer la réalité quotidienne ? 1 er mouvement : thème de la nouveauté Nous avons une absence de ponctuation ce qui a pour conséquence que le poème manque  de logique formelle, on commence par trois premier vers isolés ( monostiches )  puis un  tercet puis un huitain et enfin un dizain. Le lecteur va s’impliquer d’avantage à la lecture  puisqu’il n’y a pas de ponctuations nous avons ce qu’on appelle le vers libre puisque nous  avons une hétérométrie. Le vers libre, absence de logique dans le rythme, la liberté des  rimes. Le tu utilise au texte renvoie au poème et nous avons une conversation de soit à soit  et dans le premier vers nous avons le refus de l’ancien, associé au vers 3 «  tu en as assez de  vivre dans l’Antiquité grecque et romaine », on peut parler de discours puisqu’il se parle à  lui-même, on peut voir une exagération puisqu’il utilise deux adjectifs post posés  coordonnées, on peut comparer l’expression « tu es la » et « tu en as assez ». Pour le vers 1  on a un aspect paradoxal, nous pouvons y voir de l’ironie. Pour le vers 2, nous avons un  blanc typographique pour isoler le vers 1 et 2 qui n’on aucun rapport. Nous avons un vers  beaucoup plus long. Métaphore de la bergère €*( genre littéraire ), féminisation de la tour  effiel, c’est l’emblème d’un paris moderne, le fait que la tour soit complètement métallique,  va devenir l’image pour le poète d’une muse moderne. Nous avons une deuxième  métaphore : «  le troupeau des ponts bêle ce matin » perception auditive, les ponts font  références aux voitures et le troupeau fait référence au bruit des voitures que font dans  Paris, nous avons une animalisation puisque ce sont des voiture qui bêles, le verbe bêler  renvoie au klaxonne. Dans le vers 3 «  tu en as assez » montre qu’il en a assez de cette  pollution sonore. Les bruits des voitures sont quelque chose qui implicitement la fatigue.  Au vers 5, on passe de l’automobile à la religion, jous avons la répétition au début de vers et  à la fin d’un vers c’est ce qu’on appel une epiphore, parallélisme des construction. On parle  de religion neuve  Deuxième mouvement : une esthétique du quotidien Vers 11, on parle de la religion puis on parle d’autre chose, énumération + la  personnification, plutôt focaliser sur le cadre urbain, le verbe chanter a un genre mélioratif,  nous avons une perception auditive qui prend la place d’une perception visuelle, idée  d’accumulation avec le pluriel, nous pouvons y voir de l’ironie avec le therme poésie.  Allusion au cadre urbain avec les affiches qui sont affichées dans la rue, la publicité  « prospectus, les catalogues » va être exposée comme un art, la publicité anime la rue, la  poseuse à la fonction de chanter la modernité. Pour la prose nous avons les journaux avec  une sorte d’énumération avec « il y a ». Référence  a un style de littérature. Processus  d’accumulation, la profusion pour enfin avoir portrait des grands hommes, toujours avec  l’hyperbole, 1000 titres, nous avons la quantité, le « voila » fonctionne la présentatif, « ce  matin » fait référence à un renouveau, nous avons tout ce qui touche au quotidien avce les  journaux m, le quotidien devient un objet politique et surtout la poésie se trouve là où on ne l’attend pas. La poésie n’est plus sélective, elle ne sélection plus les thèmes et nous avons ce  qu’on appelle une déqualification de la poésie. Ça passe uniquement par le regard du poète  qui sublime. A la dernière strophe ; « j’ai vu ce matin » nous retrouvons l’occurrence de ce  matin, nous sommes dans la zone industrielle, « j’ai vu une jolie rue dont j’ai oublié le nom », association de la vue et de Louï, la poésie n’est plus seulement dans les livres, on sort de la  littérature et on s’attarde sur la vision du poète sur la ville. Pour les sons qui sont associés à  la ville moderne nous avons la cloche, la sirène et le clairon, le verbe gémi et le verbe aboie 3 substantifs et deux verbes. Connotation négative. Le clairon c’est la jolie rue nous sommes ici dans la métaphore, nous avons une rue anime, bouillante, Le clairon est un son fort. Dans le  troisième vers de la dernière strophe, pas de ponctuation, l’accumulation, le domaine du  monde du travail ; hyperbole avec le pluriel. Une sorte d’orchestration du monde du travail.  Principe de la répétition «  4 fois par jours » idée d’un spectacle visuel, le « y » signifie le lieu  donc la jolie rue, ils passent dans la jolie rue, récurrence de y qui mentionne le lieu. Nous  avons plus le spectacle visuel mais le spectacle sonore, allusion à la musique moderne.  «  les plaques les avis à la façon des perroquets criaillent » accumulation nous avons ici une  personnification avec criaillent, nous retrouvons une connotation négative avec criaillent,  aboie  côté paradoxal entre la poétisation du milieu urbain et en même temps le côté  dérangeant avec la pollution sonore puisque nous avons une univers qui va multiplier les  bruit qu’on peut avoir dans le monde urbain et en même temps il en fait quelque chose de  beau avec la rue, il en fait quelque chose d’harmonieux. Transformation de la boue en or.  Façon pour lui de transcrire son émerveillement, donne un côté esthétique avec « la grâce »  -> personnification. Nous avons donc une sorte d’invitation explicite puisqu’il fait de ce  cartier une connotation positive.  Conclusion :  °  rappeler la forme du poète, les choix des vers libres, le mélange des thèmes, l’idée d’un  renouvellement poétique.  ° rappeler que c’est une sorte d’invitation au lecteur à faire la même chose c’est-à-dire de  changer le regard du quotidien sur le monde.  Question de grammaire vers 15 :
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