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programe de réecriture, Exercices de Français

programes de réecriture français

Typologie: Exercices

2019/2020
En soldes
30 Points
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Téléchargé le 04/06/2020

neuneu890
neuneu890 🇫🇷

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Télécharge programe de réecriture et plus Exercices au format PDF de Français sur Docsity uniquement! PROGRAMME DE RÉÉCRITURE  Pour chaque lundi vous devez réaliser un exercice de réécriture.  Pensez à recopier ces dates dans votre agenda ! 1 Lundi 4 novembre 17 Lundi 23 mars 2 vendred i 15 novembre 18 Lundi 30 mars 3 Lundi 18 novembre 19 Lundi 20 avril 4 Lundi 25 novembre 20 Lundi 27 avril 5 Lundi 2 décembre 21 Lundi 4 mai 6 Lundi 9 décembre 22 Lundi 11 mai 7 Lundi 16 décembre 23 Lundi 18 mai 8 Lundi 6 janvier 24 Lundi 25 mai 9 Lundi 13 janvier 25 Lundi 8 juin 1 0 Lundi 20 janvier 26 Lundi 15 juin 1 1 Lundi 27 janvier 27 Lundi 22 juin 1 2 Lundi 3 février 28 1 3 Lundi 24 février 29 1 4 Lundi 2 mars 30 1 5 Lundi 9 mars 31 1 6 Lundi 16 mars 32 1. Mettez le texte suivant au présent de l'indicatif et remplacez « il » par « ils ». Il croyait être sûr qu'elle avait regardé aussi ses bottes. Il la suivit des yeux jusqu'à ce qu'elle eût disparu. Puis il se mit à marcher dans le Luxembourg comme un fou. Il est probable que par moments il riait tout seul et parlait haut. Il était si rêveur près des bonnes d'enfants que chacune le croyait amoureux d'elle. Il sortit duLuxembourg, espérant la retrouver dans une rue. (Victor Hugo, Les Misérables) 2. Mettez le texte suivant à l'imparfait et remplacez « je » par « nous ». J'ai le cou brisé, la nuque qui me fait mal, la poitrine creuse : je suis resté penché sur les chapitres sans lever la tête, sans entendre rien, dévoré par la curiosité, collé aux flancs de Robinson, pris d'une émotion immense, remué jusqu'au fond de la cervelle et jusqu'au fond du cœur; et en ce moment où la lune montre là-bas un bout de corne, je fais passer dans le ciel tous les oiseaux de l'île, et je vois se profiler la tête longue d'un peuplier comme le mât du navire de Crusoé ! (Jules Vallés, L'Enfant) 3. Remplacez Julien par « ils » et mettez les verbes au futur. Julien savait qu'un jour, les membres de sa mythique famille comparaîtraient devant lui sans plus le voir que s'il eût été fait de fumée, mais lui livrant chacun une parcelle de sa vérité intime qui rejoindrait, sur d'imaginaires fiches, la masse des petits détails capturés au vol. (Paul Guimard, Rue du Havre) 4. Mettez le texte au passé et remplacez M. Brulé par « les maîtres ». M. Brulé nous attend, la blouse bien sanglée, les mains dans le dos, les lunettes déjà méfiantes sur le nez. On entre un par un. La salle de classe attend dans une pénombre bleutée. On dirait une chapelle. Lemaître a tiré les grands rideaux. Il ne faut pas qu'il y ait le moindre morceau de ciel pour nous distraire. (Daniel Picouly, le Champ de Personne) 5. Mettez le texte au présent et remplacez « elle » par « elles ». Elle n'était pas grande, mais elle le semblait tant sa fine taille s'élançait hardiment. Elle était brune, mais on devinait que le jour sa peau devait avoir ce beau reflet des Andalouses. Son petit pied aussi était andalou, car il était tout ensemble à l'étroit et à l'aise dans sa gracieuse chaussure. Elle dansait, elle tournait, elle tourbillonnait sur un vieux tapis de Perse, jeté négligemment sous ses pieds ; et chaque fois qu'en tournoyant la rayonnante figure passait devant vous, ses grands yeux noirs vous jetaient un éclair. (Victor Hugo, Notre-Dame de Paris) 6. Transformez le texte en le mettant au passé (« ce matin-là... ») et en remplaçant « je » par « nous ». Ce matin, je sens que je vais travailler. Travailler vraiment. J'ai réussi à sortir de chez moi, le cerveau à peu près frais, les nerfs à peu près intacts. Personne ne m'a agrippé pour me demander les cinq francs d'une cotisation les vingt francs du déjeuner. (Françoise Mallet-Joris, La Maison de Papier) 7. Transformez le texte en le mettant au passé et en remplaçant « Méliès » par « ils ». Peu de jours après, en effet, Méliès tourne ses premières bandes. Il a installé sur le balcon de l'entresol du théâtre Robert-Houdin, juste au-dessus de la porte d'entrée, un écran géant sur lequel il projette, en transparence, à partir de son bureau, des saynètes comiques qui attirent d'autant mieux le public que leur projection est gratuite. (Madeleine Malthète-Méliès, Méliès l'Enchanteur) 8. Réécrivez ce passage à la première personne du pluriel. D'où que nous venions, nous sommes chez nous à Marseille. Dans les rues, nous croisons des visages familiers, des odeurs familières. 9. Réécrivez ce passage à la première personne du pluriel. J'aime croire - car j'ai été élevé ainsi - que Marseille, ma ville, n'est pas une fin en soi. 10. Réécrivez ce texte en remplaçant "je" par "elle" et en effectuant les modifications nécessaires. Ce matin du 8 octobre 1959, depuis deux jours, j'avais trente ans et j'étais résolu à me battre et à m'affirmer. En arrivant dans les coulisses du théâtre, j'ai rencontré un Ivernel aussi combatif que moi. Nous nous sommes embrassés, bien décidés à "mettre le paquet". 11. Réécrivez ce passage en adoptant une narration à la première personne du singulier. Il se rejeta en arrière, tandis qu'une masse de terre et de pierres détachées se précipitait dans un trou qui venait de s'ouvrir au-dessous de l'ouverture que lui-même avait faite ; alors, au fond de ce trou sombre et dont il ne pouvait mesurer la profondeur, il vit paraître une tête. 12. Réécrivez le passage au plus-que-parfait en passant de la première personne du singulier à la troisième personne du pluriel. En vous voyant entrer, je me suis douté de quelque chose, j’ai envoyé à la mairie, et voici ce qu’on m’a répondu. 13. Réécrivez ce passage en remplaçant « Le cavalier » par « Les cavaliers ». Le cavalier ne bougeait pas. Un vertige l’avait saisi. Il s’était peut-être trompé. 14. Réécrivez ce passage au discours indirect en commençant par « Le cavalier murmurait que… » Rien ne viendra à bout de moi… Le soleil peut bien tuer tous les lézards des collines, je tiendrai. 15. Remplacez le plus-que-parfait et l’imparfait par le passé composé et le présent. Il avait longé des taquerias où l’on vendait du menudo, avait cherché en vain à se rappeler à quoi ce plat pouvait bien ressembler, et, pour finir, il avait tourné dans la calle Chiapas qui s’élevait en direction d’un belvédère pouilleux. 16. Réécrivez les trois derniers vers du poème en commençant par : « - Ô buffets … ». Ô buffet du vieux temps, tu sais bien des histoires, Et tu voudrais conter tes contes, et tu bruis Quand s’ouvrent lentement tes grandes portes noires. 17. Réécrivez ce passage en remplaçant « elle » par « elles ». Elle est pauvre et sa table est souvent mal servie, Mais le peu qu’on y trouve assouvit pour la vie, Par la façon qu’elle le donne, Son pain ressemble à du gâteau Et son eau à du vin comm’ deux gouttes d’eau… 18. Réécrivez ce passage ce passage en remplaçant « je » par « elle » et « la peur » par « les angoisses ». Je peux m’étendre de tout mon long dans mon lit, poser ma tête sur l’oreiller, me détendre… Je peux regarder le mur à gauche de la fenêtre… la peur a disparu. Une grande personne avec l’air désinvolte, insouciant, le regard impassible des prestidigitateurs l’a escamotée en un tour de main. 19. Réécrivez ce passage en ne gardant que le personnage de Loulou. Votre texte commencera ainsi : « Le samedi suivant, par un matin tout rose, Loulou entouré de…» Le samedi suivant, par un matin tout rose, Loulou, Capdeverre et Ramélie, entourés de leurs parents, partirent en colonie de vacances, avec leurs valises chargées de linge marqué à l'encre violette. Ils avaient l'air emprunté de conscrits partant pour la grande aventure. 20. Réécrivez ce passage en faisant parler un vieux pensionnaire qui imagine ce que sera l'été. Vous utiliserez donc la première personne du singulier et du futur. Les vieux avaient très envie en ce moment de se promener dans le parc. L'été leur faisait du bien. Ils souriaient, ils tenaient mieux sur leurs jambes que pendant l'hiver. Ils arboraient des écharpes en couleur et des chapeaux antiques. 21. Réécrivez ce passage en utilisant le passé simple et en remplaçant « Gesril » par « Gesril et Loïc »
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