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Textes du oral français session 2022, Notes de Français

Ici il y a les différents titres des textes analysés tout au long de mon année scolaire 2022

Typologie: Notes

2021/2022

Téléchargé le 27/06/2022

louna-monasteriolatour
louna-monasteriolatour 🇫🇷

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Aperçu partiel du texte

Télécharge Textes du oral français session 2022 et plus Notes au format PDF de Français sur Docsity uniquement! Le théâtre du XVII au XXI Jean-Luc Lagarce, Juste la fin du monde, 1990 Parcours : Crise personnelle, crise familiale Lectures linéaires (œuvre) : Juste la fin du monde, 1990 • Prologue dans son intégralité • Première partie, scène 3 : de « Parfois tu nous envoyais des lettres... »à « c’est pour les autres» • Seconde partie, scène 2 : «CATHERINE :  Elle ne te dit rien de mal... » à « LOUIS : Je crois aussi » Lectures linéaires (groupement de textes) : • Antigone, Anouilh, 1944 : « Tu es malade ? »à « Elle n’avait qu’à ne pas désobéir. » • Le retour au désert, Koltès, 1988 : « Tu crois, pauvre folle...ils s’échappent et reviennent » Lecture cursive au choix : • Le roman et le récit du Moyen-Age au XXI ième siècle Madame de Lafayette, La Princesse de Clèves, 1678 Parcours :Individu, Morale, Société Lecture linéaire (œuvre) : La Princesse de Clèves, 1678 • La rencontre au bal (première partie) : « Elle passa tout le jour des fiançailles...il ne put admirer que Mme de Clèves » • Aveu de la princesse à son mari (troisième partie) : « Eh bien, monsieur, lui répondit-elle en se jetant à ses genoux...un procédé comme le vôtre » • La rêverie au pavillon de Coulommiers (quatrième partie) : « Les palissades étaient fort hautes...par nul autre amant. » Lecture cursive : • La poésie du XIXe siècle au XXI ième siècle Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, 1857 Parcours : Alchimie poétique : La boue et l'or Lectures linéaires (œuvre) : Les Fleurs du mal • « Le flambeau vivant » dans « Spleen et Idéal » • « Spleen LXXVIII» dans « Spleen et Idéal » • « A une mendiante rousse » dans « Tableaux parisiens » Lectures linéaires (groupement de textes) : • « Les plus désepérés sont les chants les plus beaux » ; extrait de « La Nuit de mai » de Musset • « Ode inachevée à la boue » (extrait) de Francis Ponge , dans Pièces,1962 Lecture cursive  : La littérature d’idées du XVe siècle au XVIIIe siècle Olympes de Gouges, Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, 1857 Parcours : Ecrire et combattre pour l’égalité Lectures linéaires (œuvre) : Les Fleurs du mal • Préambule • Postambule « Femme, réveille-toi...vous n’avez qu’à le vouloir » • Postambule « Sous l’ancien régime...administration publique » Lecture cursive  : Oeuvre choisie pour la seconde partie : • Le théâtre du XVII au XXI Juste la fin du monde, Jean-Luc Lagarce, seconde partie scène 2 de « Elle ne te dit rien de mal » à « Je crois aussi » (pages 113 et 114) CATHERINE. – Elle ne te dit rien de mal, tu es un peu brutal, on ne peut rien te dire, tu ne te rends pas compte, parfois tu es un peu brutal, elle voulait juste te faire remarquer. ANTOINE. – je suis un peu brutal ? Non. Je ne suis pas brutal. Vous êtes terribles, tous, avec moi. LOUIS. – Non, il n’a pas été brutal, je ne comprends pas ce que vous voulez dire. ANTOINE. – Oh, toi, ça va, la « bonté même ! » CATHERINE. – Antoine. ANTOINE. – Je n’ai rien dit, ne me touche pas ! Faites comme vous voulez, je ne voulais rien de mal, je ne voulais rien faire de mal, il faut toujours que je fasse mal, je disais seulement, cela me semblait bien, ce que je voulais juste dire – toi, non plus, ne me touche pas ! – je n’ai rien dit de mal, je disais juste qu’on pouvait l’accompagner, et là, maintenant, vous en êtes à me regarder comme une bête curieuse, il n’y avait rien de mauvais dans ce que j’ai dit, ce n’est pas bien, ce n’est pas juste, ce n’est pas bien d’oser penser cela, arrêtez tout le temps de me prendre pour un imbécile ! il fait comme il veut, je ne veux plus rien, je voulais rendre service, mais je me suis trompé, il dit qu’il veut partir et cela va être de ma faute, cela va encore être de ma faute, ce ne peut pas toujours être comme ça, ce n’est pas une chose juste, vous ne pouvez pas toujours avoir raison contre moi. cela ne se peut pas, je disais seulement, je voulais seulement dire et ce n'était pas en pensant mal, je disais seulement, je voulais seulement dire... LOUIS. - Ne pleure pas. ANTOINE. - Tu me touches : je te tue. LA MERE. -Laisse-le, Louis, laisse-le maintenant. CATHERINE.Je voudrais que vous partiez. Je vous prie de m'excuser, je ne vous veux aucun mal, Mais vous devriez partir. LOUIS. Je crois aussi. Le théâtre du XVII au XXI Antigone, Anouilh, 1944 , Scène 3 La nourrice vient de sortir. ISMÈNE : Tu es malade ? ANTIGONE : Ce n'est rien. Un peu de fatigue. (Elle sourit.) C'est parce que je me suis levée tôt. ISMÈNE : Moi non plus je n'ai pas dormi. ANTIGONE (sourit encore) : Il faut que tu dormes. Tu serais moins belle demain. ISMÈNE : Ne te moque pas. ANTIGONE : Je ne me moque pas. Cela me rassure ce matin, que tu sois belle. Quand j'étais petite, j'étais si malheureuse, tu te souviens ? Je te barbouillais de terre, je te mettais des vers dans le cou. Une fois je t'ai attachée à un arbre et je t'ai coupé tes cheveux, tes beaux cheveux... (Elle caresse les cheveux d'Ismène.) Comme cela doit être facile de ne pas penser de bêtises avec toutes ces belles mèches lisses et bien ordonnées autour de la tête ! ISMÈNE (soudain) : Pourquoi parles-tu d'autre chose ? ANTIGONE (doucement, sans cesser de lui caresser les cheveux) : Je ne parle pas d'autre chose... ISMÈNE : Tu sais, j'ai bien pensé, Antigone. ANTIGONE : Oui. ISMÈNE : J'ai bien pensé toute la nuit. Tu es folle. ANTIGONE : Oui. ISMÈNE : Nous ne pouvons pas. ANTIGONE (après un silence, de sa petite voix) : Pourquoi ? ISMÈNE : II nous ferait mourir. ANTIGONE : Bien sûr. A chacun son rôle. Lui, il doit nous faire mourir, et nous, nous devons aller enterrer notre frère. C'est comme cela que ç'a été distribué. Qu'est-ce que tu veux que nous y fassions ? ISMÈNE : Je ne veux pas mourir. ANTIGONE (doucement) : Moi aussi j'aurais bien voulu ne pas mourir. ISMÈNE : Écoute, j'ai bien réfléchi toute la nuit. Je suis l'aînée. Je réfléchis plus que toi. Toi, c'est ce qui te passe par la tête tout de suite, et tant pis si c'est une bêtise. Moi, je suis plus pondérée. Je réfléchis. ANTIGONE : II y a des fois où il ne faut pas trop réfléchir. ISMÈNE : Si, Antigone. D'abord c'est horrible, bien sûr, et j'ai pitié moi aussi de mon frère, mais je comprends un peu notre oncle. ANTIGONE : Moi je ne veux pas comprendre un peu. ISMÈNE : II est le roi, il faut qu'il donne l'exemple. ANTIGONE : Moi, je ne suis pas le roi. Il ne faut pas que je donne l'exemple, moi... Ce qui lui passe par la tête, la petite Antigone, la sale bête, l'entêtée, la mauvaise, et puis on la met dans un coin ou dans un trou. Et c'est bien fait pour elle. Elle n'avait qu'à ne pas désobéir ! Le théâtre du XVII au XXI La Princesse de Clèves : L'Aveu de Mme de Clèves à son mari –Eh bien, monsieur, lui répondit-elle en se jetant à ses genoux, je vais vous faire un aveu que l'on n'a jamais fait à son mari; mais l'innocence de ma conduite et de mes intentions m'en donne la force. Il est vrai que j'ai des raisons de m'éloigner de la cour et que je veux éviter les périls où se trouvent quelquefois les personnes de mon âge. Je n'ai jamais donné nulle marque de faiblesse, et je ne craindrais pas d'en laisser paraître si vous me laissiez la liberté de me retirer de la cour ou si j'avais encore Mme de Chartres pour aider à me conduire. Quelque dangereux que soit le parti que je prends, je le prends avec joie pour me conserver digne d'être à vous. Je vous demande mille pardons, si j'ai des sentiments qui vous déplaisent, du moins je ne vous déplairai jamais par mes actions. Songez que pour faire ce que je fais, il faut avoir plus d'amitié et plus d'estime pour un mari que l'on en a jamais eu; conduisez-moi, ayez pitié de moi, et aimez-moi encore, si vous pouvez. M. de Clèves était demeuré, pendant tout ce discours, la tête appuyée sur ses mains, hors de lui-même, et il n'avait pas songé à faire relever sa femme. Quand elle eut cessé de parler, qu'il jeta les yeux sur elle, qu'il la vit à ses genoux, le visage couvert de larmes et d'une beauté si admirable, il pensa mourir de douleur, et l'embrassant en la relevant : - Ayez pitié de moi vous-même, madame, lui dit-il, j'en suis digne; et pardonnez si, dans les premiers moments d'une affliction aussi violente qu'est la mienne, je ne réponds pas comme je dois à un procédé comme le vôtre. Vous me paraissez plus digne d'estime et d'admiration que tout ce qu'il y a jamais eu de femme au monde; mais aussi je me trouve le plus malheureux homme qui ait jamais été. Vous m'avez donné de la passion dès le premier moment que je vous ai vue; vos rigueurs et votre possession n'ont pu l'éteindre : elle dure encore; je n'ai pu vous donner de l'amour, et je vois que vous craignez d'en avoir pour un autre. Et qui est-il, madame, cet homme heureux qui vous donne cette crainte ? Depuis quand vous plaît-il ? Qu'a-t-il fait pour vous plaire ? Quel chemin a-t-il trouvé pour aller à votre cœur ? Je m'étais consolé en quelque sorte de ne l'avoir pas touché par la pensée qu'il était incapable de l'être. Cependant un autre fait ce que je n'ai pu faire. J'ai tout ensemble la jalousie d'un mari et celle d'un amant; mais il est impossible d'avoir celle d'un mari après un procédé comme le vôtre. - Le roman et le récit du Moyen-Age au XXI ième siècle La Princesse de Clèves : La rêverie au pavillon de Coulommiers Les palissades étaient fort hautes, et il y en avait encore derrière, pour empêcher qu’on ne pût entrer ; en sorte qu’il était assez difficile de se faire passage. M. de Nemours en vint à bout néanmoins ; sitôt qu’il fut dans ce jardin, il n’eut pas de peine à démêler où était madame de Clèves. Il vit beaucoup de lumières dans le cabinet ; toutes les fenêtres en étaient ouvertes ; et, en se glissant le long des palissades, il s’en approcha avec un trouble et une émotion qu’il est aisé de se représenter. Il se rangea derrière une des fenêtres qui servait de porte, pour voir ce que faisait madame de Clèves. Il vit qu’elle était seule ; mais il la vit d’une si admirable beauté, qu’à peine fut- il maître du transport que lui donna cette vue. Il faisait chaud, et elle n’avait rien sur sa tête et sur sa gorge, que ses cheveux confusément rattachés. Elle était sur un lit de repos, avec une table devant elle, où il y avait plusieurs corbeilles pleines de rubans ; elle en choisit quelques-uns, et M. de Nemours remarqua que c’étaient des mêmes couleurs qu’il avait portées au tournoi. Il vit qu’elle en faisait des nœuds à une canne des Indes fort extraordinaire, qu’il avait portée quelque temps, et qu’il avait donnée à sa sœur, à qui madame de Clèves l’avait prise sans faire semblant de la reconnaître pour avoir été à M. de Nemours. Après qu’elle eut achevé son ouvrage avec une grâce et une douceur que répandaient sur son visage les sentiments qu’elle avait dans le cœur, elle prit un flambeau et s’en alla proche d’une grande table, vis-à-vis du tableau du siége de Metz, où était le portrait de M. de Nemours ; elle s’assit, et se mit à regarder ce portrait avec une attention et une rêverie que la passion seule peut donner. On ne peut exprimer ce que sentit M. de Nemours dans ce moment. Voir, au milieu de la nuit, dans le plus beau lieu du monde, une personne qu’il adorait ; la voir sans qu’elle sût qu’il la voyait ; et la voir toute occupée de choses qui avaient du rapport à lui et à la passion qu’elle lui cachait ; c’est ce qui n’a jamais été goûté ni imaginé par nul autre amant. La Poésie du XIX ième siècle au XXI ième siècle Baudelaire, « A une mendiante rousse », Les Fleurs du mal, 1857 Blanche fille aux cheveux roux, Dont la robe par ses trous Laisse voir la pauvreté Et la beauté, Pour moi, poète chétif, Ton jeune corps maladif, Plein de taches de rousseur, A sa douceur. Tu portes plus galamment Qu'une reine de roman Ses cothurnes de velours Tes sabots lourds. Au lieu d'un haillon trop court, Qu'un superbe habit de cour Traîne à plis bruyants et longs Sur tes talons ; En place de bas troués, Que pour les yeux des roués Sur ta jambe un poignard d'or Reluise encor ; Que des noeuds mal attachés Dévoilent pour nos péchés Tes deux beaux seins, radieux Comme des yeux ; Que pour te déshabiller Tes bras se fassent prier Et chassent à coups mutins Les doigts lutins, Perles de la plus belle eau, Sonnets de maître Belleau Par tes galants mis aux fers Sans cesse offerts, Valetaille de rimeurs Te dédiant leurs primeurs Et contemplant ton soulier Sous l'escalier, Maint page épris du hasard, Maint seigneur et maint Ronsard Épieraient pour le déduit Ton frais réduit ! Baudelaire, « Spleen LXXVIII », Les Fleurs du mal, 1857 LXXVIII - Spleen Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l'horizon embrassant tout le cercle II nous verse un jour noir plus triste que les nuits ; Quand la terre est changée en un cachot humide, Où l'Espérance, comme une chauve-souris, S'en va battant les murs de son aile timide Et se cognant la tête à des plafonds pourris ; Quand la pluie étalant ses immenses traînées D'une vaste prison imite les barreaux, Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, Des cloches tout à coup sautent avec furie Et lancent vers le ciel un affreux hurlement, Ainsi que des esprits errants et sans patrie Qui se mettent à geindre opiniâtrement. – Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir, Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique, Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir. - La Poésie du XIX ième siècle au XXI ième siècle « Les plus désepérés sont les chants les plus beaux » ; extrait de « La Nuit de mai » de Musset Lorsque le pélican, lassé d'un long voyage, Dans les brouillards du soir retourne à ses roseaux, Ses petits affamés courent sur le rivage En le voyant au loin s'abattre sur les eaux. Déjà, croyant saisir et partager leur proie, Ils courent à leur père avec des cris de joie En secouant leurs becs sur leurs goitres hideux. Lui, gagnant à pas lent une roche élevée, De son aile pendante abritant sa couvée, Pêcheur mélancolique, il regarde les cieux. Le sang coule à longs flots de sa poitrine ouverte; En vain il a des mers fouillé la profondeur; L'océan était vide et la plage déserte; Pour toute nourriture il apporte son cœur. Sombre et silencieux, étendu sur la pierre, Partageant à ses fils ses entrailles de père, Dans son amour sublime il berce sa douleur; Et, regardant couler sa sanglante mamelle, Sur son festin de mort il s'affaisse et chancelle, Ivre de volupté, de tendresse et d'horreur. […] Poète, c'est ainsi que font les grands poètes. Ils laissent s'égayer ceux qui vivent un temps; Mais les festins humains qu'ils servent à leurs fêtes Ressemblent la plupart à ceux des pélicans. - La Poésie du XIX ième siècle au XXI ième siècle « Ode inachevée à la boue » (extrait) de Francis Ponge , dans Pièces,1962 La boue plaît aux cœurs nobles parce que constamment méprisée. Notre esprit la honnit, nos pieds et nos roues l'écrasent. Elle rend la marche difficile et elle salit : voilà ce qu'on ne lui pardonne pas. C'est de la boue ! dit-on des gens qu'on abomine, ou d'injures basses et intéressées. Sans souci de la honte qu'on lui inflige, du tort à jamais qu'on lui fait. Cette constante humiliation, qui la mériterait ? Cette atroce persévérance ! Boue si méprisée, je t'aime. Je t'aime à raison du mépris où l'on te tient. De mon écrit, boue au sens propre, jaillis à la face de tes détracteurs ! Tu es si belle, après l'orage qui te fonde, avec tes ailes bleues ! Quand, plus que les lointains, le prochain devient sombre et qu'après un long temps de songerie funèbre, la pluie battant soudain jusqu'à meurtrir le sol fonde bientôt la boue, un regard pur l'adore : c'est celui de l'azur agenouillé déjà sur ce corps limoneux trop roué de charrettes hostiles, – dans les longs intervalles desquelles, pourtant, d'une sarcelle à son gué opiniâtre la constance et la liberté guident nos pas. Ainsi devient un lieu sauvage le carrefour le plus amène, la sente la mieux poudrée. La plus fine fleur du sol fait la boue la meilleure, celle qui se défend le mieux des atteintes du pied ; comme aussi de toute intention plasticienne. La plus alerte enfin à gicler au visage de ses contempteurs. Elle interdit elle-même l'approche de son centre, oblige à de longs détours, voire à des échasses. Ce n'est peut-être pas qu'elle soit inhospitalière ou jalouse ; car, privée d'affection, si vous lui faites la moindre avance, elle s'attache à vous. Chienne de boue, qui agrippe mes chausses et qui me saute aux yeux d'un élan importun!... La littérature d'ideés
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