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Crisi delle certezze.tesina, Tesine di Maturità di Italiano

Tesina superiori con collegamenti a diverse materie

Tipologia: Tesine di Maturità

2015/2016
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Caricato il 10/05/2016

LAUS094
LAUS094 🇮🇹

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Scarica Crisi delle certezze.tesina e più Tesine di Maturità in PDF di Italiano solo su Docsity! I.T.C.G. “G. MAGGIOLINI” Anno Scolastico 2012/2013 Alunna: Laura Saccone Classe: 5 A Erica LA CRISI DELLE CERTEZZE Cos’è una crisi? La crisi è uno stato transitorio di particolare difficoltà o di turbamenti e di solito porta con sé cambiamenti nella vita di un uomo o di una società. È una parola di ampio uso, infatti possiamo utilizzarla in diversi ambiti. In questo percorso esamineremo la crisi delle coscienze europee e il cambiamento letterario - artistico in francese, in inglese la crisi del romanzo ottocentesco con James Joyce e nell’ambito letterario esamineremo il principio di identità presente nelle opere di Luigi Pirandello. Per quanto riguarda geografia tratteremo il fenomeno della globalizzazione che si è limitata a riempire il vuoto lasciato vent’anni fa dal crollo delle ideologie, creando un modello di società standardizzato ed infine nell’ambito economico parleremo della crisi dei valori nella società attuale che si ripercuote nel mondo del lavoro. “ Come le scoperte scientifiche e filosofiche hanno influenzato la società novecentesca e polverizzato le certezze: viaggio introspettivo in un mondo da ricostruire” I motivi principali che mi hanno spinto ad elaborare questa tesina di maturità intorno al tema della “crisi delle certezze” riguardano soprattutto l’importanza che essa assume. In questo breve testo l’argomento scelto ha vari significati a seconda dell’approccio alla realtà delle varie discipline. Durante tutta la sua storia l’uomo si è trovato, e si trova tuttora, in periodi di crisi durante i quali le certezze, acquisite faticosamente nell’arco degli anni, vengono polverizzate e dimenticate in breve tempo. Si tratta di una curiosità, la mia, verso i motivi che stanno alla base di queste crisi marcando le tappe che hanno portato l’uomo ad essere quello che oggi è: l’uomo moderno. In questo percorso interdisciplinare esaminerò il periodo compreso tra fine Ottocento e inizio Novecento dove si verifica una vera e propria rivoluzione che colpisce i più diversi campi del sapere e sancisce il passaggio all'uomo contemporaneo. Questa crisi scaturisce soprattutto dalla perdita della fiducia nel progresso e in tutta la filosofia positivista. Essa investe tutti i campi del sapere, dalla cultura alla letteratura, con la creazione di nuovi movimenti letterari; in particolare nella narrativa si assiste ad una rivoluzione nel romanzo che pone al centro la crisi dell’individuo solido e coerente. Attraverso questi cambiamenti la società ha potuto evolversi fino ad arrivare ad oggi, dove continua il suo cammino verso una sfrenata modernizzazione, conseguita però con diversi mezzi, quali i mass-media, il web e la globalizzazione, ossia la connessione dei mercati globali. La globalizzazione è nata come fattore positivo di integrazione tra comunità, popoli e mercati, ma recentemente risulta essere protagonista dei grandi squilibri creatisi tra nord e sud del mondo. Tutto questo egoismo ha portato a creare una società opportunista che ha perso ogni tipo di valore morale e dove la cooperazione ha lasciato il posto alla prevaricazione. Nella società attuale però, c’è sempre chi cerca di sostenere principi di ospitalità e collaborazione, come le associazioni no-profit (ONLUS), i micro-progetti o le banche etiche, tutte tipologie di progetti per la promozione e l’aiuto sociale. qui est le produit du flux de la conscience donc pure construction subjectif. Son influence sur les artistes européens et français est profond, on peut la voir dans Proust ou bien dans Italo Svevo. Cet ébranlement des catégorie de la pensée survienne au moment où la science perde sa netteté avec les découvertes d’Einstein sur la relativité, puisque il remet en cause la physique classique, et de Freud sur la psychanalyse. Tous cela donne à la perception du monde par le sujet une dimension nouvelle. Le nouveau siècle est un moment des grandes remises en question, en effet les courants qui avaient marqué la deuxième parti du XIXe siècle, le naturalisme pour le romans et le symbolisme pour la poésie montrent leur décadence. Des recherches de plus en plus expérimentales émergent progressivement en poésie, avec des courants qui partagent le désir de revenir au concret, à une certains force vital qu’exaltent des philosophes comme Nietzche et Bergson. Ils veulent célébrer des choses de la vie que le symbolisme avait méprisées au nom de l’idéal. La manifestation poétique par excellence devient l’action, c’est-à-dire la vitesse incarnée par les moyens des transports modernes, et elle est exercée aussi sur le langage. Les écrivains viennent d’horizons divers mais ils ont en commun “l’esprit nouveau”. Ils se proposent de modifier les sources d’inspiration et les techniques poétiques en fonction de la vision nouvelle que le poète a du monde, emprunté au rythme de la technique moderne. Ils se rencontrent chez les peintres et partagent avec eux la volonté d’abandonner dans la vision artistique l’unicité de la représentation du monde. Donc même l’acte artistique change car il n’est plus un simple représentation mais il peut attendre à l’essence de l’objet en le choisissant au même moment de plusieurs points de vue différent. C’est dans ce contexte de crise des catégories idéologiques et littéraires qu’il faut classer les grandes figures d’écrivains comme Proust et Apollinaire que sont d’un coté témoins d’une monde en train de disparaitre et d’un autre coté ils sont représentatifs des nouveaux modèles littéraires. L’impact de la Grande guerre sur la vie artistique et littéraire dans ce période est considérable. La volonté de remise en cause déterminé par la guerre se traduit chez les écrivains par le désir d’affranchir les modèles artistiques antérieurs. « Si la civilisations est mort dans les tranches il faut que la littérature crée une écriture radicalement nouvelle ». C’est avec l’expérience DADA et puis la révolution surréaliste qu’il y aurait un renouveau de la littérature antérieur dont ils rejettent tous les valeurs et les dogmes qui avaient enfermé l’esprit et la parole. On peut voir cette crise aussi dans le théâtre, qui est le genre les plus important et à la mode pendant la belle Epoque. La première étape de changement on peut le voir avec la “Comédie française”, même s’elle est considéré la témoignage de la permanence plutôt que celle de la rupture car elle n’est pas une remise en cause de l’ordre bourgeoise, donc la véritable rupture on la voit avec Antonin Artaud, qui est un artiste maudit, précurseur du théâtre de l’absurde. Il développe une conception radicalement nouvelle du théâtre qui s’inspire des expérience de Jerry et Claudel. Elle trouvera sa forme définitive avec la publication de “le théâtre et son double” : Artaud y explore la nouvelle forme du théâtre de la cruauté, expression de la souffrance existentielle de l’homme. Cette ambition du théâtre suppose un engagement complet des acteurs et un extraordinaire inventive. Il remet en cause l’assimilation du théâtre à la seul forme dialogué puisqu’il rêve un nouveau langage indépendant de la parole, tourné vers la satisfaction de sens et non seulement de l’esprit. La Révolution surréaliste et le Dadaïsme Un groupe d’écrivains se réunis autour du poète André Breton et publient un texte, le manifeste du surréalisme, dans le quel ils écrivent tous le principes de ces mouvement. Les amis de Breton se réunissent au départ autour de Tristan Tzara, le fondateur du dadaïsme, donc on peut voir que ces deux mouvement partagent la même volonté d’un contestation radical des valeurs bourgeoise. Les véritable but du dadaïsme était de détruire tous le valeurs d’un générations qui avait produit le grand massacre, donc la première exigence était de faire table rase du passé en laissant la plus total liberté à la créativité. Mais désireux de dépasser le total négativisme du mouvement dada un certains nombre des écrivains se regroupent donc autour de Breton en créant le mouvement surréaliste, qui est avant tout un mouvement poétique et non un école. Breton dans son mouvement radicalise l’idée d’un écriture qui se fait « sans savoir » avec l’expérience de l’écriture automatique ; il s’agit d’une technique consistant à écrire les phrases qui passent par la tète sans cohérence, grammaire et respect du vocabulaire. Au cœur de leur conception poétique il y a vision nouvelle de l’image poétique parce qu’elle devient une dimension de la connaissance. Très loin de la conception qui donnait à l’image une fonction ornemental, celle-ci devient l’instrument idéal pour rompre avec le réel et le rationnel. Grace a cette pouvoir de l’image, qui permet de rester en contact avec l’inconscient, le poète accède au surréel, c’est-a-dire au merveilleux. Donc les thèmes essentielle du mouvement son : - le rêve qui ouvre la porte sur le monde inconscient parce qu’il n’y a pas les règles de la raison - l’amour fou qui permet d’entrer en contact avec la surréalité - le hasard et la folie utilisé comme objecte de fascination Quant ou langage, il doit être le premier a se libéré des codes et des règles imposait par la traditions et la logique. En conclusion ce deux mouvement, même si le dadaïsme a été bref, ont profondément ébranlé les fondements de la vie culturelle et artistique du XXe siècle. the crisis of the nineteenth-century novel with James Joyce The historical and cultural context of the Age of the crisis, is that time of transition between the nineteenth and twentieth century. The European countries were facing at that time to a number of both social and technological changes which were accompanied by new ideas, new scientific discoveries, new frontiers of philosophical thoughts. All these changes led to undermine the very concept of reality as something immutable and scientifically demonstrable; reality thanks to the recent philosophical theories, was not an objective fact, but rather subjective. We can talk about the crisis of narrative because even the concept of the novel was in crisis: the nineteenth- century novel, with its realistic descriptions but impersonal, no longer meets the needs of writers and readers that capture the essential novelty of a new way of thinking about reality. The modern novel is not formed in the context of a specific national literature, but it has developed with similar characteristics and corresponding issues in the various geographic - cultural areas of Europe. Marcel Proust, James Joyce, Franz Kafka, Italo Svevo, Luigi Pirandello can therefore be considered as representative writers of various origins whose works reflected the historic, scientific and cultural crisis. Indeed, we can see a close correspondence between the contents and forms of the genre and the historical, political, social and economic situation that has come to set up between the two wars. In particular, the First World War influenced the literary production, because it is described as a dreadful event. This war, in fact differed from previous ones because it was “global” and because it turned out to be much more destructive and inhuman than other ones because of the new weapons due to the progress of science and technology (such as poison gas, aircraft, and bombing). For many people the experience of the war destroyed their faith in society and institution, so the modernist such as Joyce, Virginia Woolf and other American novelists, horrified by the effects of war wanted to recreate their inner world. They were also against Victorian’s conventions and the moral universe of Victorian age was replaced by a climate of moral ambiguity which signaled an absence of values. In fact, the spread of the newspaper and the invention of silent films with greater immediacy of communication of the images, contributed to increase the number of readers. Faced with new challenges, conventional forms of literature turned out to become inadequate. It is now appropriate to highlight some characters common to this type of modern fiction: • A first distinctive feature of the modern novel is made by the abolition of the narrative meant in the traditional way: the story of actual events, their chronology, and then the coherence of the story fail, life now seems illogical and casual. • As a result there is a change in the relationship between interiority and exteriority : in the traditional novel between these two worlds there was a report which provided the maturation or a struggle to reach the final stage of improvement. For example, in the buildings roman, the protagonist, through a slow evolutionary process, reconcile his aspirations with the values of the objective reality in which he lives. Also in the romantic novel the conflict between ideal and reality becomes dramatic and often resolves with the defeat of the hero, but he still struggles to change the reality (see Jacopo Ortis by Ugo Foscolo). Now, however, the character simply record or become aware of the reality, and now he is convinced he can not intervene to modify it, it folds exclusively on his inner. Even in the nineteenth-century the novel saw this process, which, however, led to the exaltation of the individual, but today the individual is cancelled. In the modern novel society is instead seen as a mass in which the individual disappears. The interior side is also now observed in its daily aspects, with the same method by which the naturalists observed and described the external environment. • The theories of Freud, Bergson and William James along with the technologies of mass culture led to the development of new techniques of writing. The most appropriate technical way to express this crushing of inner reality is the interior monologue, the stream of consciousness, both without a logical sequence of thoughts and syntactic connections. As regard the interior monologue, there are two types: the direct interior monologue, which refers to the direct presentation of a character’s stream of consciousness without the presence of an author or narrator, and the indirect interior monologue, which refers to the indirect presentation of a character’s thought through the voice of an anonymous third-person narrator (this type of monologue is generally easier to read as it often includes more descriptive passages). • There isn’t an omniscient narrator: if he puts himself in the foreground, he highlights his doubts, but he doesn’t appear, he lets the events happen without his comment. • The characters are no longer described as coherent characters , but now they are common men without qualities, and with an indefinite personality which constantly changes. • In this perspective also time, which plays a fundamental role, undergoes changes. In the traditional novel it is seen objectively while in the novel of the twentieth century time is internalized, there isn't an evolution in action, but only stasis, it is no longer the mechanical time of clock, but the subjective time, brought to the foreground by the philosophy of Henri Bergson. Le cause della crisi di identità si possono trovare nei grandi processi in atto nella realtà contemporanea come l’istaurarsi del capitalismo, che annulla l’iniziativa umana e rende l’uomo un ingranaggio anonimo dell’industria e la nascita delle città metropolitane, dove l’uomo perde ogni legame personale e diventa una particella della folla. Tutto ciò provoca uno sdoppiamento dell’io, quindi l’esistenza dell’io reale e dell’io che le altre persone percepiscono, conseguentemente l’uomo si sente solo poiché l’impossibilità di avere un’identità solida gli provoca una profonda angoscia e molte volte lo costringe a utilizzare un maschera che non gli corrisponde. L’uomo quindi, non si sente se stesso e vede la società come “un enorme pupazzata” che lo imprigiona nell’ambito familiare e lavorativo, entrambi ambienti frustranti e opprimenti. Da quest’enorme trappola Pirandello non dà nessuna via d’uscita, questo dovuto al suo pessimismo totale, ma propone tre modalità di evasione, quali, il sogno e l’immaginazione, una via che porta verso un altrove fantastico che ti permette di sopportare la monotonia del lavoro e della famiglia, (un esempio di ciò possiamo trovarlo nella famosa novella “Il treno ha fischiato”), la follia e la pazzia, strumenti di contestazione (un esempio è il romanzo “Uno, nessuno, centomila”) ed infine la filosofia del lontano cioè prendere coscienza di questo fittizio meccanismo della vita e isolarsi, cercando di sottrarti da esso (un esempio è il romanzo “Il fu Mattia Pascal”). Per spiegare la concezione pirandelliana bisogna quindi guardare ciò che sta alla base della sua visione del mondo. Essa può essere focalizzata in tre parole chiavi, quali: vitalismo, relativismo e umorismo. Il vitalismo è alla base della visione del mondo pirandelliana, influenzata dalle filosofie contemporanee come quella di Henri Bergson. Attraverso questo principio, Pirandello, afferma che la realtà è un perpetuo movimento vitale, cioè una continua trasformazione di stati, e tutto ciò che si separa da questo flusso assume una forma distinta che tende ad irrigidirsi e morire. Anche l’uomo è in “eterno flusso” ma tende a cristallizzarsi in forme individuali, cioè tende a darsi una personalità unitaria e coerente. Questa personalità coerente non è altro che un’illusione che deriva dalla sua visione soggettiva del mondo, che lo porta a credere di essere un’unica “forma” ma in realtà l’uomo è un’insieme di tanti individui diversi che muta a seconda di chi lo guarda. Ciascuna di queste forme è una maschera che la società impone. Sotto questa maschera in realtà non c’è un volto definito, ma un fluire incoerente di personalità in perenne trasformazione. Questa teoria porta alla frantumazione dell’io, che è un dato storicamente significativo, poiché segna la crisi della civiltà novecentesca. Se la realtà è un flusso continuo essa è anche multiforme, cioè ciascuno di noi ha la sua realtà che nasce dal proprio modo soggettivo di vedere le cose. Da ciò deriva una relativa incomunicabilità fra gli uomini; essi infatti non possono intendersi perché ognuno fa riferimento alla sua visione della realtà e non può sapere come gli altri la percepiscono. Dunque la realtà è sempre filtrata dal soggetto e quindi la realtà interiore è l’unica verità. Tutto ciò non fa altro che accrescere il senso di solitudine nell’uomo. Dalla visione del mondo pirandelliana scaturiscono anche nuove concezioni dell’arte e della poetica, le quali possiamo trovarle nel saggio L’UMORISMO che risale al 1908. Il volume è composto da una parte storica, dove Pirandello esamina le manifestazioni dell’arte umoristica ed una parte teorica, dove viene definito il concetto di umorismo. Pirandello, in questo saggio, afferma che anche l’opera d’arte nasce dal libero movimento della vita interiore, che nell’opera umoristica emerge sotto forma di riflessione che permette di analizzarlo e giudicarlo. Da qui, nasce il “sentimento del contrario”, poiché attraverso la riflessione si può cogliere il carattere molteplice della realtà. Essa infatti permette di cogliere il ridicolo e contemporaneamente anche il tragico. Per cercare di capire il vero significato di ciò, si può analizzare un caso presente in questo saggio: “se vedo una vecchia signora tutta imbellita avverto che è il contrario di ciò che una vecchia signora dovrebbe essere (lato comico), ma se interviene la riflessione, essa suggerisce che quella signora è così solo nell’illusione di poter trattenere l’amore del marito più giovare di lei (lato tragico). Quindi mentre il comico è superficiale, poiché si ferma ad un “avvertimento del contrario”, cioè coglie solo il lato comico, l’umorista è in grado di operare una riflessione e percepire anche il lato tragico delle cose. La crisi pirandelliana si può riscontrare anche nelle esperienze teatrali come il teatro grottesco, “Così è se vi pare”, il teatro nel teatro, con “Sei personaggi in cerca d’autore” ed infine il teatro dei miti. Con Pirandello assistiamo ad un vero e proprio capovolgimento del dramma borghese ottocentesco le cui basi erano il positivismo e il naturalismo. Pirandello infatti si inserisce in questo contesto, quindi in quegli ambienti e in quei temi per confutarli dall’interno. Questo nuovo dramma pirandelliano rappresenta i temi a lui cari, cioè il vitalismo, l’irrazionalismo e il relativismo conoscitivo mettendo in scena la vera e propria destrutturazione dell’io attraverso gli stereotipi della vita borghese e eventi assurdi fuori da ogni logica. Un esempio di ciò si vede ne “Sei personaggi in cerca d’autore” poiché troviamo una rottura radicale con le convenzioni teatrali , dove realtà e finzione erano due cose separate, Pirandello invece, fa vivere agli spettatori la finzione come se fosse realtà, poiché essi entrando in scena trovano il sipario alzato. Egli in quest’opera teatrale non fa altro che criticare il “drammone” sentimentale del suo tempo, mostrandone l’impossibilità di rappresentarlo attraverso il rifiuto di scrivere il dramma da parte dell’autore e l’incapacità degli attori di incarnare dal vivo i personaggi. Il fu Mattia Pascal "Che avverrebbe se, nel momento culminante, proprio quando la marionetta che rappresenta Oreste è per vendicare la morte del padre sopra Egisto e la madre, si facesse uno strappo nel cielo di carta del teatrino? (Pirandello-il fu mattia pascal) Al tempo in cui uscì il racconto, le reazioni negative non mancarono poiché critici abituati alla narrativa ottocentesca non esitarono a giudicare assurde le innovazioni di Pirandello. Il fatto che Mattia fugge e, per l’errata identificazione del cadavere, si fa credere morto è una delle principali accuse per l’inverosimiglianza del romanzo pirandelliano. Per questo Pirandello trova, più avanti, nella cronaca un fatto simile ed aggiunge alla ristampa un appendice del romanzo, intitolata avvertenze sugli scrupoli della fantasia per sostenere la plausibilità delle vicende raccontate. Un’operazione simile era stata fatta anche da Svevo all’inizio della Coscienza di Zeno, avvisando attraverso la premessa del dottor S., che quanto sta per raccontare il protagonista non è altro che un accumulo di realtà e bugie. Mentre il narratore ottocentesco induce il lettore di stare raccontando la realtà, quello del primo novecento, a causa della crisi delle certezze, non crede più in alcuna verità, neppure alla propria, ed invita il lettore alla diffidenza, quindi a uno sguardo critico. La caratteristica fondamentale della tecnica di Pirandello sta nella capacità di inventare storie o vicende, ora comiche, ora grottesche ma sempre strane. La scelta della vicenda è la parte più importante perché una visione così contraddittoria e irrazionale non può che cogliere la realtà che lo circonda in tutti i suoi aspetti più assurdi. In questo senso Il fu Mattia Pascal rappresenta il romanzo della svolta, inoltre in esso appare già la poetica dell’umorismo: che si può infatti trovare nei capitoli XII e XIII che sono vere e proprie teorie della poetica dell’umorismo. I capitoli XII e XIII Pirandello nelle sue premesse iniziali, esplicita che il relativismo e l’umorismo dipendono dalla scoperta di Copernico e dalla fine dell’antropocentrismo tolemaico: la rivelazione che l’uomo non è più al centro del mondo ma costituisce una particella di un universo infinito perciò tutto ciò rende assurde le pretese di conoscenza della verità. Nel capitolo XII si spiega cosa succederebbe se ci fosse uno strappo nel cielo di carta di un teatrino di marionette: l’eroe tradizionale, Oreste, che crede in valori assoluti, si sentirebbe perso di fronte a questo imprevisto ed improvvisamente diventerebbe un antieroe, un inetto incapace di vivere poiché le sue certezze sono state spazzare via dal un banale “strappo nel cielo di carta del teatrino”. Questo strappo nel cielo di carta rappresenta quindi il nostro comprendere di non essere al centro del mondo. Se il cielo si strappasse, all’uomo alimentato dai grandi valori si sostituirebbe l’uomo contemporaneo e contraddittorio. Nel capitolo XIII, invece, viene preso il tema della lanterninosofia: la coscienza umana è come un lanternino debole che con il suo stesso accendersi, genera dubbi e problemi. Solo per un autoinganno l’uomo può credere che la luce del lanternino della propria coscienza sia la luce stessa delle cose, poiché l’uomo ha bisogno di verità assolute per credere che la realtà sia oggettiva. In realtà queste non sono che proiezioni soggettive da cui ne deriva il carattere illusorio di qualunque certezza. Inoltre questi lanternini delle coscienze individuali, cessano d’illuminare il cammino nei momenti di crisi, infatti essi perdono la luce dei lanternoni cioè delle grandi ideologie collettive. Quando questi lanternoni cessano di fare luce a causa dello sviluppo storico, allora anche questi lanternini si spengono. La libertà Uno dei temi più importanti è quello incentrato sulla crisi d’identità, anche se per alcuni critici non rappresenta il motivo principale come lo è per Uno, nessuno e centomila. Quella di Mattia Pascal risulta dunque una storia di libertà. Posseduta nella prima parte del romanzo, la libertà viene poi persa dal protagonista con il matrimonio e quindi dalla forma, per poi essere recuperata non pienamente nella seconda vita. Mattia viene messo a confronto con la sua nuova vita, e comincia a rendersi conto di dover frenare quella sua libertà poiché gli rendeva impossibile vivere. Infatti Mattia a differenza del protagonista di uno, nessuno centomila, Moscarda, si sente sperduto in quella nuova e ritrovata libertà che lo rende un forestiero della vita, egli infatti, per questo attaccamento all’identità, cerca di ricostruirsene un’altra, dandosi il nome di Adriano Meis. La famiglia e l’inettitudine Nel tema della libertà si accennava del matrimonio, visto come “forma”. La duplicità della famiglia, vista come nido o come prigione, rappresenta uno degli altri temi che intercorrono nel romanzo. La famiglia iniziale fondata sul rapporto tra Pascal e la madre è minacciata dall’avidità dell’amministratore, Batta Malagna; invece il rapporto con la moglie Romilda, figlia di Malagna, e la suocera è vista come prigione. In questo secondo caso sembra possibile solo l’evasione. Un altro dei temi presenti è quello del gioco d’azzardo, poiché grazie alla vincita a Montecarlo, Mattia potrà ricrearsi una vita lontano dalla sua famiglia di origine, tutto questo non fa altro che rafforzare la teoria sulla relatività della condizione umana, sottolineando i limiti della volontà e della ragione. Mattia rappresenta un inetto in tutto, quasi come la figura di Zeno Cosini (la coscienza di Zeno di Italo Svevo), egli sogna infatti un evasione che alla fine risulterà impossibile e farà di lui un antieroe reso inadatto alla vita pratica. La struttura del romanzo Oltre alla novità ideologica questo romanzo pirandelliano propone una novità anche sul piano strutturale. Innanzitutto si tratta di una narrazione retrospettiva in prima persona, che inizia a vicenda conclusa e in cui l’inizio coincide con la fine. Il romanzo è formato da tre blocchi che rappresentano tre diverse tipologie di romanzo. Negli ultimi due capitoli e nelle premesse iniziali (i primi due capitoli) il protagonista è il “fu” Mattia Pascal. Egli vive in una condizione di non vita, cioè di totale estraneità alla vita, nella biblioteca del paese che nessuno frequenta. Questa è una situazione statica dove non si può quindi sviluppare nessuna storia, ed il modulo è quello dell’antiromanzo. Una seconda parte la possiamo individuare nei capitoli III-IV, poiché qui il protagonista è Pascal, dove la civiltà industriale moderna penetra a causa dell’amministratore Batta Malagna che mette in crisi l’equilibrio famigliare di Mattia. La svolta tra la seconda e la terza parte, la troviamo nel capitolo VII, dove Mattia decide di cambiare identità. Comincia così la terza parte del romanzo, dove il modello romanzesco è quello di un romanzo di formazione (buildingsroman). Di questa terza parte il protagonista è la reincarnazione di Mattia, Adriano Meis, che cerca di costruirsi un nuovo io. In realtà la sua esperienza si risolve con un fallimento, quindi questo romanzo si potrebbe definire un romanzo di formazione alla rovescia. Giunti però agli ultimi capitoli si ritorna all’antiromanzo in cui il protagonista riprende la sua vecchia identità di Mattia Pascal, e decide di restare nel paese natale anche se vive estraniato dalla vita poiché ormai non può più ritornare nella sua vecchia identità. C'è, nel mestiere del contadino, la metafora perfetta di cosa intendiamo con "economia reale". In particolare, nelle doti morali che lo contraddistinguono: coraggio, prudenza, perseveranza. Infatti , nel suo lavoro, si vede la metafora perfetta di cosa intendiamo con "valore reale" in economia, poiché attraverso queste sue caratteristiche riesce a far dare frutto il suo lavoro. C'è, nel mestiere del commerciante, la metafora perfetta di cosa intendiamo con "finanza virtuale". In particolare nei vizi morali che lo contraddistinguono: paura, avventatezza, opportunismo. Infatti il trader vive del coraggio momentaneo di guadagnare tutto in un istante, alimentato dalla paura di perdere tutto nello stesso istante. Tutti i giorni, egli vive nella continua frenesia di spostare le proprie scelte opportunistiche d'investimento. C'è, nei frutti di questo lavoro, la metafora perfetta di cosa intendiamo con "valore fittizio" in economia. La metafora perfetta di cosa voglia dire economia della fratellanza è in una frase, scritta nella Libreria di Parigi di George Whitman,da sempre utilizzata come punto di riferimento socio-culturale, che così recita: "Be not inhospitable to strangers lest they be angels in disguise"(Non essere inospitale con gli sconosciuti per timore di essere angeli in incognito). In questa frase c’è il senso di una fratellanza universale che renderebbe la nostra società, pur senza negare la ricerca del profitto, migliore di quella attuale. Abbiamo smarrito il senso dell'ospitalità per cui, in epoche lontane certamente più dure e più povere della nostra, eppure più generose, a nessuno erano negati un pasto e un luogo in cui dormire la notte. Uno dei sintomi più gravi della nostra crisi economica e sociale è la progressiva sparizione di questa generosità e di questo senso dell'ospitalità. Abbiamo creato mercati e luoghi di lavoro spietati. In cui le nostre azioni sono ispirate a un'eccessiva competizione tra colleghi. La competizione fra uomo e uomo distrugge con brutalità tutti i valori. In imprese di questo tipo la gran parte dei nostri comportamenti sono ispirati dalla paura, o dal calcolo del nostro interesse a danno degli altri. Aziende così fatte sono i luoghi meno produttivi, creativi e innovativi che ci siano. Oltre che essere luoghi in cui l'uomo è un alienato. E anche, aziende nelle quali pochissimi comandano su moltissimi usando la paura. Imprese in cui ci si batte unicamente per la conquista e la conservazione del potere, non per l'esercizio della responsabilità o per la creazione di cose utili. L'individuo che opera in queste organizzazioni è dominato dalla paura di non farcela. Nessuna pietà per gli sconfitti. Eppure l'uomo non si è sviluppato e ha prosperato, nella sua lunga storia, grazie a questo tipo di organizzazioni. Torniamo all'economia dell'artigiano, sviluppiamo la cooperazione invece che la competizione tra individui, e riscopriamo i valori della fratellanza e dell'ospitalità. Su queste cose e principi potremo costruire una società sostenibile. Non certo in questo clima di concorrenza spietata, che produce l’esposizione a polveri sottili dannose per la salute, ritmi inumani, ordine militare e la firma di un patto di «non-suicidio» per i nuovi assunti. Questa è un’economia fondata sulla mercificazione dell'uomo, sul suo sacrificarsi a una produttività bruta che non conosce né rispetto né regole. Si è di fronte ad un uomo moderno che vive più miseramente del suo antenato selvaggio, mentre la sua capacità produttiva è mille volte maggiore. Abbiamo bisogno di costruire un mondo nuovo. La ragione è che quella che stiamo attraversando non è una crisi del denaro, ma una crisi dei valori. Il capitalismo sregolato di questi anni e la globalizzazione infatti, si sono limitati a riempire il vuoto lasciato vent'anni fa dal crollo delle ideologie senza preoccuparsi di costruire un'idea di società comune. Ecco perché ci sentiamo smarriti, ci manca un'idea di società alternativa a quella attuale, che ponga l'uomo e la sua dignità al centro, e in cui il lavoro non sia mercificato ma considerato per il suo essere momento pieno di valorizzazione dell'uomo e dei suoi talenti. Perché ciò avvenga, dobbiamo prima di tutto cambiare la nostra idea di lavoro. E dobbiamo immaginare una società fatta di organizzazioni costruite secondo principi differenti da quelli attuali: non gerarchici ma cooperativi. Tutto il nostro sistema educativo risente di questo male. E per farlo, cioè per realizzare una società in cui sia la cooperazione e non la competizione tra gli uomini a essere la regola, è essenziale modificarne l'obiettivo, che non deve essere il massimizzare bensì l'ottimizzare. A questo scopo, è di cruciale importanza il recupero di un ruolo forte da parte degli stati e della politica, che devono essere capaci di riscrivere le regole del nostro stare insieme anche andando contro i forti interessi economici. Così come, è essenziale ridare peso alla cultura e alla conoscenza in quanto beni collettivi. Bisogna, in altre parole, che la felicità sia fatta anche dal buon ambiente di lavoro, una città sicura e non inquinata, una conversazione tra amici, la partecipazione ad associazioni. Nella società attuale lo stato e la cultura si sono annullati dentro l'economia. Bisogna determinare il cambiamento e costruire una società a misura d'uomo fatta di comunità sostenibili, che sia in grado di soddisfare i propri bisogni senza pregiudicare le possibilità delle future generazioni. Una società fondata sui valori della cooperazione, della partnership e della relazione. ONLUS, una sfida alla crisi dei valori Il non profit è un fenomeno in continua evoluzione. Con il termine enti no-profit si individuano tutte quelle organizzazioni private/pubbliche senza scopo di lucro che forniscono servizi soprattutto di tipo assistenziale, ricreativo e culturale ed in cui gli utili sono destinati a fini solidaristici. Gli enti no-profit, o non profit, costituiscono il cosiddetto terzo settore che va acquistando un valore sempre maggiore non solo perché rappresenta la risposta, alla collettività, a bisogni che le pubbliche amministrazioni si sono dimostrate incapaci di soddisfare, ma anche per la sua incidenza nell’economia nazionale, soprattutto da un punto di vista occupazionale. Questa progressiva diffusione è legata alla crisi dello Stato sociale (Welfare state), con la conseguente riduzione dei servizi offerti dagli enti pubblici; l’accentuarsi di questa situazione di disagio non ha fatto altro che aumentare la parte di popolazione povera e incrementare ancora di più la ricchezza a quella parte di popolazione già privilegiata, che in questo modo è in grado di sviluppare in forma associativa sia attività culturali e ricreative sia attività assistenziali e di solidarietà. Gli enti no-profit si vanno sempre più diversificando sui settori di utilità sociale come l’assistenza (le comunità per tossicodipendenti, le associazioni di volontariato ospedaliero) la tutela dei diritti civili, dell’ambiente e dei beni culturali. Il fenomeno organizzativo è caratterizzato dal fatto che una pluralità di individui dà vita ad un ente per il perseguimento di specifiche finalità pur sempre perseguibili dai singoli ma a condizioni meno favorevoli. Un criterio di distinzione fondamentale degli enti si basa sullo scopo perseguito. Ve ne sono alcuni che perseguono uno scopo di lucro ed enti che perseguono uno scopo ideale. Tale ultimo tipo di scopo può essere perseguito mediante l’utilizzazione di diversi tipi giuridici a seconda dello schema adottato: le corporazioni che traggono i propri mezzi dalle contribuzioni volontarie od obbligatorie degli associati, le quali posso essere associazioni private o gli stessi enti territoriali; le fondazioni che sono costituite per volontà di una o più persone che vincolano, mediante lasciti o donazioni, un complesso di beni per la realizzazione di un obbiettivo sociale. Esse differiscono anche perché le prime stabiliscono le contribuzioni da richiedere agli associati dopo avere fatto un programma di spesa, viceversa nelle seconde, l’attività dipende dalle entrate. Talvolta l’ente no-profit, pur avendo fini altruistici, svolge in via prevalente od esclusiva un’attività commerciale lucrativa. In tal caso l’ente assume la qualità di imprenditore commerciale. Gli enti destinano gli utili prodotti da questa attività al perseguimento degli scopi altruistici ovvero li reinvestiranno nell’attività (lucrativa) che realizza direttamente lo scopo ideale, senza distribuirli tra i membri. Quindi il perseguimento di uno scopo altruistico non impedisce che tali enti esercitino un’attività d’impresa. Rientrano, pertanto, propriamente nella categoria "non profit" quelle organizzazioni cui sia applicabile la recente disciplina riservata alle Organizzazioni non lucrative di utilità sociale, ONLUS, cioè associazioni, comitati, fondazioni, società cooperative e altri enti di carattere privato, con o senza personalità giuridica, i cui statuti o atti costitutivi prevedono lo svolgimento di attività nei settori dell’assistenza sociale, socio-sanitaria e sanitaria, della beneficenza, dell’istruzione, della formazione ecc.. . BIBLIOGRAFIA Francese • Appunti e fotocopie utilizzate durante l’anno scolastico • Libro di testo: “Cité des lettres” edizioni Lang Inglese • Siti :http://www.luzappy.eu/romanzo_otto_novecento/schema.htm http://www.shmoop.com/ulysses-joyce/ http://www.shmoop.com/ulysses-joyce/ • Libro di testo : “Literary hyperlinks concise” editore Black Cat-cideb Italiano • Siti : http://www.skuola.net/universita/appunti/crisi-delle-certezze-tesina#p17 • Libro di testo: “La letteratura” Volume 6 editore Paravia
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