Scarica Irène Némirovsky breve biografia, stile letterario e più Appunti in PDF di Francese solo su Docsity! Irène Némirovsky est une femme de lettres russe. Elle est née au début du XXe siècle en 1903 à Kiev. Elle s’éteint un 17 aout 1942 à l’âge de 39 ans du typhus lors de sa déportation à Auschwitz. Irène est la seule femme littéraire à avoir reçu la récompense Renaudot alors qu’elle n’était plus de ce monde. Ce titre lui a été accordé pour le roman « Suite française », qui a été publié en 2004. L’enfance d’Irène Némirovsky Irène Némirovsky n’a pas eu une enfance heureuse. Bien qu’elle soit née dans une famille riche, elle a manqué cruellement d’une mère, qui n’a jamais eu l’envie de donner une éducation personnelle à sa fille. Irène dira, au sein de son ouvrage « le bal », que sa mère la haïssait. Malgré ce sentiment, Irène doit s’adapter à ce comportement et elle est élevée par deux gouvernantes, une anglaise et une française. Cette stricte éducation lui permettra de parler trois langues différentes ; le russe, l’anglais et le français. Durant son enfance, Irène voyage beaucoup en France. Elle découvre la Côte d’Azur, Biarritz ou encre Saint-Jean-de-Luz. Après le décès de sa confidente et gouvernante française, Irène se lance dans l’écriture. Elle s’inspire des plus grands romanciers russes. En 1918, la Révolution russe pousse le père d’Irène à fuir. Il embarque sa famille en Finlande avant de s’évader vers la Suède, puis vers Rouen et Paris. Ses premiers pas en tant qu’écrivain Pour oublier les tragiques évènements, Irène écrit ses premiers poèmes en prose avant de s’inscrire à la Sorbonne pour suivre des études de lettres. Elle décrochera sa licence avec mention en 1920. Pour partager sa passion pour l’écriture, Irène fait quelques piges sous forme de conte pour des magazines et des journaux. En 1923, son premier roman nommé « Le Malentendu » sera publié dans les Éditions « les Œuvres libres ». En parallèle, elle rencontre un riche homme d’affaires répondant au doux nom de Michel Esptein, son futur mari et père de ses deux filles dont la naissance aura lieu en 1929 et en 1937. À la naissance de sa première fille, la mère d’Irène enverra, contre toute attente, un ours en peluche. Un symbole touchant qui peut mettre en avant la notion de regret. Le regret, de ne pas avoir été présente, pour sa fille. L’écriture : une révélation Pour Irène, écrire est une passion qui permet de partager avec les lecteurs. Elle prend plaisir à écrire, écrire et encore écrire. En 1926, elle publie « Un enfant prodige », qui sera suivi par l’œuvre « L’enfant génial » en 1927. En 1929, alors qu’elle devient une mère comblée, son roman « David Golder » rencontre un succès inespéré. Son éditeur, Bernard Grasset, la propulse