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La turchia e l'unione europea, Dispense di Storia Delle Relazioni Internazionali

Elaborato di storia delle relazioni internazionali sulla Turchia e la possibile entrata di questa nell'UE. Storia della Turchia

Tipologia: Dispense

2014/2015

Caricato il 02/12/2015

silvia_vitari
silvia_vitari 🇮🇹

5

(2)

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Scarica La turchia e l'unione europea e più Dispense in PDF di Storia Delle Relazioni Internazionali solo su Docsity! LA TURQUIE ET L’UNION EUROPÉENNE : Contrastes et différences d’une question encore ouverte « En 1987, la Turquie a dépose sa candidature d'adhésion à ce qui était alors la Communauté économique européenne, et sa vocation à devenir membre de l'Union a été reconnue en 1997. L'implication de la Turquie dans le processus d'intégration européenne remonte à 1959 et s'est traduite notamment par l'accord d'association d'Ankara (1963) visant l'établissement progressif d'une union douanière (entrée en vigueur en 1995). »1 Et encore : « La présente stratégie souligne que la Turquie est déjà largement intégrée dans l’UE grâce aux échanges commerciaux et aux investissements réalisés dans le cadre de l’Union douanière. Cependant, le pays doit poursuivre ses efforts en vue de satisfaire aux critères politiques d’adhésion. Il est crucial que les droits fondamentaux soient respectés, tels que la liberté d’expression, les droits de la femme et la liberté de religion. Sur la scène internationale, la Turquie joue un rôle de premier plan en ce qui concerne les évènements survenus en Afrique du Nord et au Proche- Orient en 2011. Ses relations sont cependant toujours tendues avec Chypre. La Commission compte mettre en œuvre un nouvel agenda positif de nature à permettre une coopération et un dialogue plus étroits avec le pays. »2 En Europe, et dans le monde arabe, l’attention de ces dernière années et concentrée sur la question de l’adhésion de la Turquie à l’Union Européenne. Comme nous pouvons lire dans les documents (qui se trouvent sur le site de l’Union) qui traitent ce adhésion, la Turquie est déjà ´largement intégrée’. Mais somme nous sûrs ? Est la Turquie « largement intégré » ? D’un côté, il y a l’Union Européenne, organisation sour nationale qui aspire à élargir ses frontières, et dans l’outre il y a l’opinion publique des citoyennes des pays européennes. On peut observer ce graphique publié sur le journal ´Huffington Post’ en mars 2014 (deux moins avant les élections européennes) : 1 Commission européenne ; http://ec.europa.eu/enlargement/countries/ detailed-country-information/turkey/index_fr.htm 2 Europa, http://europa.eu/legislation_summaries/enlargement/ ongoing_enlargement/el0031_fr.htm Généralement, les citoyennes d’Europe ne sont pas favorables à cette adhésion. La Turquie est vue, culturellement et économiquement, loin des leurs intérêts et les derniers événements terroristes ont renforcé cette conviction ; aujourd'hui l’islam, principale religion turque, est vu comme quelque chose à éviter. Les personnes musulmanes sont considérées, par la plus parte des européennes, comme une menace à la culture et à la sécurité. C’est une question très délicate. La mauvaise informations et la peur du terrorisme aveuglent l’opinion publique, et je pense que aussi le phénomène du euro scepticisme, qui porte beaucoup des personnes à douter des les Institutions et des leurs choies (dans lesquelles les travaux pour l’adhésion de la Turquie), est une des causes de cette pensée dominante. Parmi tous ces opinions divergentes, on ne peut pas oublié une chose très importante : on ne peut pas parles seulement de ‘Turquie’. Pour comprendre et pour avoir une opinion valide sur cette question nous devons penser à la Turquie mais plus précisément à l’empire ottoman. L’empire ottoman a été un grand force qui a façonné beaucoup des pays européens (pour exemple la Grèce) et extra-européenne (la Serbie, le Monténégro, et plus en générale les pays balkaniques) pour long temp. Et vice-versa, l’Europe a influencé ce grand empire. Nous pouvons penser, pour exemple, à tous les ouvres littéraires qui ont été traduit à Istanbul dans les dernier années du XIXe siècle : Comte, Renan, Gustave le Bon sont seulement des exemples. Pur ce qui concerne la politique et les réformes que l’empire ottoman a mise en place, on ne peut pas éviter de remarquer l’importance que le modèle Européenne a au sur les Tanzimat et tous les nouveautés que à fut et à mesure ont été introduites. Donc, on doit partir de ça ; un comparaison entre le deux pays et leur histoire. HISTOIRE OTTOMAN : Du 1299 à Erdogan Historiquement, en parlent de Union Européenne et Turquie et Ottomans, il y ont trois événements principaux à citer : • La chute de Constantinople, qui a porté à l’invasion ottomane de la Grèce ; • La bataille turco-grecque, avec laquelle la Grèce ré conquerra sa indépendance ; • La première guerre mondiale et l’avènement du Kemalisme en 1923. Déjà en l’antiquité, l’opposition entre Occident et Orient était origine des confits. Les réformes s’efforcent d’intégrer les non-musulmans et les non-turcs dans la société ottomane, en protègent leurs droits avec l’application du principe européen d’égalité. Les Tanzimat commençaient sous le règne de Mahmud II mais est sous le règne du sultan Abdul Mejid I que on’a la proclamation du 1839, suivie da le Hatt-i Hümayun (« rescrit impérial ») du 25 février 1856. Le Hatt instaure la liberté de culte et accorde le droit du créer des écoles privées communautaires en renforçant la place des dignitaires religieux non musulmans au sein de leur communautés, mais aussi dans la sphère publique. Ce rescrit est suivi, le 30 mars de la même année, du traité du Paris qui intègre l’Empire ottoman dans le « concert des nations » géré par le « droit politique entre les États d’Europe ». Le dernier acte juridique est la Arazi Kanunu (« loi foncière ») de 1858, qui officialise la pratique d’accorder aux utilisateurs le droit de disposer d’un titre de propriété sur la terre. Ces sont de nouveautés très importantes pour un empire qui, rapporté à l’Europe, reste toujours plus arrêté et ancien ; comme écrit Hamit Bozarslan dans Historie de la Turquie, « il est tout simplement impossible de comparer l’Empire ottoman de 1839-1876/1877 avec la France de la même période ». Les hommes des Tanzimat furent influencés du modèle et de l'acte rature européens ; après avoir si longtemps interdit l’imprimerie pour les langues de l’islam afin de combattre le bida (« innovation négative »), dans cette période la capitale ottomane est saisie d’une frénésie de traductions et de productions d’ouvres de synthèse sur l’Europe. Les Tanzimat implantent dans l’Empire le modèle d’un ancien régime européen d’un côté, d’un autre cette exportation se fait à partir des réalités institutionnelle de l’Europe de la première moitié du XIXe siècle. Les Tanzimat montrent aussi le vrai visage d’un Empire en transformation avec une série des contradictions et oppositions ; l’opinion publique mal accepte l’égalité interconfessionnelle (on peut citer l’attentat organisé contre le sultan Abdülmecid Ier). Les militaires eux-mêmes se rangent contre le sultan, rejoint par les étudiantes des medrese : ils parlent des « musulmans opprimés par le chrétiens ». Les Tanzimat trouvera sa fin en 1876-1877, avec les élections parlementaires. GUERRE D’INDÉPENDANCE GRECQUE L’occupation grecque par les Ottoman commence en 1453 avec la chute de Constantinople par le sultan Mehmed II et finit en 1829-1830 avec l’indépendance grecque. La soumission à l’Empire ottoman inspire différents mouvements révolutionnaires qui visent à l’indépendance, mais tous sont supprimés avec le sang ; beaucoup des hommes doivent abandonner leurs terres et se réfugier dans les montagnes. Ces « partisanes » du peuple agissent comme des guérilleros en dérangeant l’Empire ottoman, donc une milice des citoyens grecs vient instituée avec l’objectif de contraster ces « partisanes ». Même si cette milice est créée pour les combattre, cette milice finirai pour collaborer avec eux (en effet, dans les années d’indépendance ces groupes avaient perdu leur traits distinctifs pour devenir synonymes). À exception d’une seule révolte en 1718, la souveraineté turc reste incontesté pour tout le XVIII siècle. Le mouvement grecque pour l’indépendance commence à prendre vie en Europe, et pas en Grèce, en 1814, avec la fondation de Filiki Etairia, une organisation secrète présidée par Alexandre Ypsilántis, qui s’assure l’alliance avec Alì Pasha, ex collaborateur du sultan turc. Les premières combats commencent en 1821, avec une insurrection qui gagne dans toute la Grèce continentale ; en Epiro Alì Pasha conduite la sécession. Les Ottomans n’attendent pas à intervenir : en 1822 l’Empire ottoman re conquiert la région de l’Epiro, en rétablirent sa souveraineté avec le terroir. La situation se débloquera avec l’intervention des trois puissances différents : • L’Egypte : grâce à des troupes envoyée par le pacha égyptien Mehmet Alì, lès grecs re conquièrent Athènes ; • La Russie : avec la succession au trône du Nicola I et l’intention russe de se mobilisèrent pour l’indépendance grecque ; • Europe : France, Angleterre et Italie en 1827, après un tentatif de médiation avec les Ottomans, ouvrent les hostilités en battirent la flotte turc. La fin de la guerre et l’indépendance grecque a été ratifiés avec le protocole de Londres en 1830. Il faudra attendre la première guerre mondiale et le traité de Sèvres du 1920 pour avoir les dernier concessions territoriale en faveur de la Grèce. LA PREMIÈRE GUERRE MONDIALE La Première Guerre Mondiale est la Guerre finale de l’Empire. Au début de Première Guerre Mondiale, la promesse allemande d’appuyer la récupération des territoire perdus pousse le triumvirat, formé par Cemal, ministre de la Marine, Enver, ministre de la Guerre, Talat, ministre de l’intérieur, à abandonner l’initiale position de neutralité et entrer en guerre à côté du Empires centrales ; en plus, ces hommes voient dans la conflagration Européenne le signe que le temps de la victoire, donc le temp turc de revanche sur l’histoire, est venu. Les Ottomans contrastent efficacement les armées des Alliés, en Gallipoli et en Irak, mais ne sont pas capable a fermer la révolte arabe et les puissances anglaises et russes qui envahirent l’Anatolie. Débilité par les révoltes internes, la disette et les épidémies, l’Empire Ottoman se désagrège. Avec la fin de la Guerre, la Turquie perde les provinces arabes et balkaniques et pose les régions de l’Anatolie sous le control du puissances vainqueurs. En 1922, la Grèce envahie la l’Anatolie sud-occidentale : les humiliantes conditionnes de paix acceptés par le sultan, liée à l’invasion national, favorise la naissance d’un mouvement nationaliste turc, qui sous la guide de Mustafa Kemal Atatürk commence une guerre pour la libération de l’Anatolie et pour l’indépendance turque (1918-1923). Atatürk arrive à expulser da la Turquie les milices étrangères, en imposent l’abolition du traité du Sèvres et en le remplacent avec un nouveau traitait, le traitait de Lausanne, avec lequel les régions de la Thrace orientale et de l’Anatolie forment un Etat unique, national et indépendant. La République turque est proclamé et le gouvernement du sultan à Istanbul cesse d’exister. Après l’assemblé d’Ankara du 1920 et après avoir battu l’invasion grecque, Atatürk fonde, en 1923, l’a République Kémaliste. LA TURQUIE KEMALISTE ET LA DEMANDE POUR L’ADHESION À L’UE Avec une série des réformes réalisée entre les années Trente et Quarante, Mustafa Kemal tente de éradiquer son peuple de son passé ottoman et musulman. Le principe de fond du Kemalisme sont : 1. Populisme 2. Républicanisme 3. Nationalisme 4. Laïcité 5. Étatisme 6. Réformisme Contraire à l’idée d’un empire multinational, Kemal tente de donner vie à un état national homogène, en déportent et massacrent arméniens et grecs. Après, dépose le sultan et instaure un système politique républicain de type occidental : abolie le califat, cœur de l’autorité religieuse, dissoudre les tribunaux religieuses qui appliquèrent la loi islamique en les remplacent avec un nouveau système juridique fondé sur le code civile suisse, décrète la fin du traditionalisme religieuse. Pendant la Seconde Guerre Mondiale, la Turquie reste neutre mais, à la fin du conflit, revient à s’identifier avec l’Occident. En imitante les modèles occidentaux, la Turquie passe de un système à parti unique à un système des plusieurs partis, à différence de Kemal, qui explique, en 1923 : « cette nation a beaucoup souffert des partis politique ». Enfin, demande et obtient l’admission à la NATO en 1952. Avec cette adhésion, la Turquie finit à être considérée par l’Europe comme une sorte de confine contre l’expansion de l’Union Soviétique vers le Méditerranée, C’est une question ouverte et très difficile, surtout avec l’avènement des fondamentalistes islamiques et du terrorisme. Ce qui est sûr, aujourd'hui, est que l’a Turquie n’est pas prête à faire partie de l’Union dans le prochain future.
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