Riassunto per capitolo Arsène Lupin Ladro Gentiluomo, résumé Gentleman cambrioleur, Sintesi del corso di Francese

Scarica Riassunto per capitolo Arsène Lupin Ladro Gentiluomo, résumé Gentleman cambrioleur e più Sintesi del corso in PDF di Francese solo su Docsity! I-L'ARRESTATION D’ARSÈNE LUPIN Ce récit se déroule à bord du transatlantique La Provence. Au cours de la traversée, un télégramme révélait que Arsène Lupin se trouvait parmi les passagers. Le télégramme: "Arsène Lupin à votre bord, première classe, cheveux blonds, blessure avant-bras droit, voyage seul, sous le nom de R...”. Car un coup de tonnerre les ondes électriques étaient interrompues et le reste du nom restait inconnu. Entre le narrateur et Miss Nelly il y avait une vague sympathie. Ils décident de conduire eux-mémes une enquéte. Par élimination, ils arrivent à la conclusion que Rozaine est probablement Lupin, mais il n'a pas de blessure. Puis il s'avère que les pierres les plus précieuses ont été volées. Tout le monde pensait que c'était Lupin. Rozaine a été arrété, mais faute de preuves il a été relàché. Ils ont cherché partout et le narrateur a dit à miss Nessy, que les pierres pourraient étre toutes parts, méme à l'intérieur de son appareil photo. Les investigations ne donnent aucun résultat et la montre du commandant lui était volée. Le lendemain, ils ont retrouvé la montre. Puis Rozaine, qui a été liée par Lupin, a été retrouvée sur le pont. C' était la terreur. Quand ils sont arrivés à destination, des hommes en uniforme avec Ganimard sont montés à bord. Le débarquement commengait. Ganimard ne semblait pas préter attention à la foule, qui descendait du bateau. Le narrateur a donné son appareil photo à Miss Nessy. Ganimard a arrété le narrateur, qui est Lupin et Miss Nelly a compris que les pierres étaient dans son appareil photo, qui elle a fait tomber dans la mer. Il- ARSÈNE LUPIN EN PRISON Lupin est incarcéré à la prison La santé, quand le baron Cahorn regoit une lettre d'Arsène Lupin. Le baron Cahorn, était appelé le baron satan à la Bourse car il s'était enrichi un peu trop brusquement. Il a une passion pour ses collections de meubles et de tableaux, de faiences et bois sculptés. Il habite dans un petit chàteau féodal ( du Malaquis) entouré par l’eau d’un grand fleuve. Dans la lettre Arsène Lupin lui dit de lui envoyer plusieurs des ses objets de valeur où il viendra pour les voler la nuit du 27 au 28 septembre. La lettre souligne que Arsène Lupin sait la disposition de tous les trésors. Le baron, qui a peur pour lés trésors qu'il a accumulés, décide alors d’écrire au procureur de la république de Rouen pour réclamer aide et protection, mais ils répondent que ce ne peut pas étre Lupin à avoir écrit la lettre car il est détenu à la Santé. Il ne sait pas quoi faire, mais il lit sur son journal que le célèbre Ganimard se trouvait à Caudebec, et décide de lui demander son aide. Ganimard rassure le baron. Mais le jour après, le baron recoit un autre télégramme et demande donc à Ganimard de rester chez lui la nuit du 27 septembre en échange de trois mille francs. Le lendemain, Ganimard arrive avec deux auxiliaires au chàteau du malaquis. Les deux agents s’installent dans la galerie centrale, lorsque Ganimard et le baron dorment dans une cellule . Le matin, ils se réveillent et ils trouvent les deux agents en train de dormir et la galerie vide. Ils comprennent que c'était Arsène Lupin parce qu'il est le seul à combiner une machination de cette envergure et d’y réussir, et c'est comme ca que Ganimard demande de passer une heure avec Lupin dans sa cellule. Est c'est comme ca que Lupin narre à Ganimard comment tout ca c'est passé. Il était intéressé au trésors dans le chàteau mais car c’était inaccessible Lupin a décidé de se faire inviter par le baron. Il a commencé en écrivant la lettre, et puis avec un ami qui était en relation avec un rédacteur du journal que le baron lit, il a annoncé dans le journal la présence du policier dans la localité voisine. Et comme ca le baron demande à Lupin, le pseudo-Ganimard, de le protéger. Lupin dit qu'il est probable que le baron est rentré en possession de ses bibelots et lui il a 100 mille francs. L’histoire termine avec le fin de la conversation entre les deux, quand Lupin affirme qu'il n’assistera pas à son procès. Ill-L’'ÉVASION D’ARSÈNE LUPIN Arsène Lupin est enfermé à la prison de la Santé, à Paris, pour de multiples vols et détoumements d'identités. Lupin sort de sa cellule pour faire la promenade et en ce moment deux inspecteurs pénètrent dans la cellule et trouvent des preuves et arrivent à la conclusion que Lupin est en train d’organiser son évasion. Ils décident donc de lui permettre l'évasion afin de trouver les complices. En fait Arsène ne parlait pas et ses interrogatoires avec le juge étaient complètement inutiles. Donc ils voulaient essayer de faire parler les complices. Pendant un des retours d’un interrogatoire dans une voiture pénitentielle Arsène réussit à s'échapper mais sachant que c'était un piège il retourne à la prison. Une fois de retour il annonce qu'il ne sera pas présent à son procès. Ils changent de cellule Lupin et dès ce jour jusqu’au jour du procès: silence. Il ne parle pas pendant deux mois et il tient la téte presque toujours toumée contre le mur. Le jour du procès arrive, il avait une attitude différente et quand on lui a demandé prénom et nom il répond “Baudru Désiré”. Son aspect était différent aussi, et méme sa voix. Après un moment l’inspecteur principal Ganimard avec l’air inquiet demande d'examiner l'homme et ensuite il déclare que ce n'est pas Arsène lupin. Ils arrivent donc à la conclusion que quand le changement de cellule s'est déroulé Baudru Désiré a pris la place de Lupin. Ils décident donc de mettre l'homme en liberté et Ganimard veut le suivre. Après beaucoup de déplacements très embrouillant Baudru s’assoit sur un banc. Ganimard décide alors d’aller parler avec l'homme. Maintenant il le reconnaît! C'était Arsène lupin! Il avait simplement trouvé des moyens pour se ressembler à Baudru Desire pendant le procès. Il avait rendu crédible une substitution qui ne s'était pas passé et tout le monde y avait cru parce que Arsène lupin avait annoncé qu'il ne serait pas présent à son procès et tous y avaient cru. IV - LE MYSTÉRIEUX VOYAGEUR Arsène Lupin décide d’aller chez des amis qui habitent les bords de la Seine. Donc il va à la gare de Paris pour prendre le train pour Rouen. Dans son wagon, il y a une dame qui est mariée avec un personnage important de la justice et il se présente comme un certain Guillaume Berlat. Dans le méme temps où ils sont en train de parler, dans le train entre un homme qui a un visage très familière pour Lupin mais il ne sait pas qui il pourrait étre. Cet homme attaque Lupin et la dame en leur volant les documents et les bijoux. La est très sùre que le voleur pourrait étre Lupin, mais elle ne sait pas que le vrai Lupin est l'homme avec qui elle a parlé tout le temps, et pas le voleur. Les deux, Lupin et la dame, appellent la police et Lupin va aider les deux agents à chercher...bon...soi.-méme! Le voyageur mystérieux est sorti du train à la première occasion quand il a ralenti et puis il s'est échappé vers un bois. à la fin Arsène Lupin réussit à prendre le voleur, qui s'appelait Pierre Onfrey. Le matin suivant sur les jourmaux Lupin lisait que quelqu’un avait compris de quelque manière qu'il était un imposteur et décrivait publiguement l’histoire avec les vrais noms; et cette chose n’était pas prévue par le gentleman cambrioleur... V- LE COLLIER DE LA REINE La comtesse de Dreux-Soubise, à l’occasion de solennités importantes, portait toujours « le Collier de la Reine », un fameux collier très ancien. De ce bijou historique les Dreux-Soubise s'enorgueillissent beaucoup, en fait ils avaient loué un coffre-fort au Crédit Lyonnais pour l’y déposer . Une soirée, la comtesse décide de porter le collier pour une féte et, quand elle rentré à la maison, elle le tend à son mari qui le met dans un cabinet voisin, complètement isolée de la chambre, dont l’unique entrée se trouvait au pied de leur lit. Le matin suivant, en pénétrant dans le cabinet, le collier n'était pas là, il avait disparu. Les Dreux-Soubise s'adressent à la police, mais, en enquétant (investigando), ils découvrent seulement qu' il n’y avait aucun passage pour le cabinet sauf la porte dans la chambre et une fenétre qui n’était condamnée qu’à mi-hauteur, par un bahut, lequel en outre ne touchait pas exactement aux croisées. Cette fenétre donnait sur une courette intérieure, mais elle était trop